Pour vous Mesdames,
pour vous inspirer,
(un beau texte par exemple)
vous faire rêver,
vous réchauffer...
Une manière de vous souhaiter un bon week end
plein de sensualité.

Celles qui viennent régulièrement sur mon blog, savent que j'aime l'idée que des femmes fassent l'amour entre elles, j'aime voir des photos de ces amours lesbiens et je rêve d'être voyeur d'une telle scène et aussi, éventuellement, acteur ! J'ai une photo comme celle-ci.

Mais vous Mesdames, que vous inspire ces photos d'hommes entre eux ?

Dites-moi...

Photo de Pascal Renoux

On y va !...

Je recherche :

Femme(s) passionnée (s),
aimant écrire,
pour échange de correspondances érotiques
sur ce blog...

Vos contributions, des textes érotiques de votre cru,
racontant un fantasme ou la réalité...
*** entre autre de femmes aimant
       faire l'amour avec des femmes
*** ou de femmes aimant
        la relation dominant/dominée
*** ou racontant votre première
        expérience sexuelle.

Je vous attends !

Furieuse envie de jouer avec elle,
de me laisser attraper,
de faire semblant de m'échapper
pour qu'elle s'accroche encore plus.
Furieuse envie de la serrer contre moi
de me laisser glisser tout le long de son corps,
de lui faire sentir ce qu'elle provoque en moi.

J'ai emprunté à la bibliothèque de ma ville « Les Mille et une Nuits », un gros bouquin de 1050 pages, petits caractères, sur papier bible. Non pas pour retrouver les contes de mon enfance. Mais attiré par la 4ème de couverture... « On raconte qu'Haroun Al-Rachid s'étant couché entre deux belles adolescentes qu'il aimait égalementne voulu pas exprimer sa préférence quant à la terminaison finale ». L'une d'elle se mit à sa tête et entrepris de lui caresser les mains. L'autres massait le pieds « et en profitait pour glisser sa main jusqu'à la marchandise du haut et la soupeser de temps en temps. Sous l'influence de ce souésement délicat, la marchandise se mit soudain à augmenter de poids considérablement ». Alors la fille qui le caressait ainsi s'empressa de prendre « la marchandise » dans le creux de ses mains ce que voyant, l'autre la repoussa « et s'empara du capital à son tour en le serrant soigneusement dans ses deux mains ». Elles se disputèrent et se justifièrent citant des phrases du Prophète. Alors le Khalifat « les trouva si justes qu'il satisfit également les deux adolescentes cette nuit là ».
Et oui ! Ce bouquin est rempli de passages très érotiques à ne pas laisser dans les mains des enfants. Jamais cru, jamais direct mais de toute beauté et très suggestif !
Ainsi l'histoire de portefaix qui se retrouve dans une maison avec trois jeunes filles seules. Tous les 4 se mirent à faire la fête, mangeant les mets les plus délicats, buvant les meilleurs vins. Au bout d'un temps, l'une d'elle plongea dans un bassin, se mit entièrement nue et vint se mettre sur les genoux de notre homme et lui dit « en faisant signe vers la chose située entre ses cuisses : o, mon chèri, sais-tu le nom de ça ? » Et lui de citer plusieurs noms : « Maison de la miséricorde... une vulve...ton frelon... » A chaque fois en riant la jeune fille le frappait et elle lui dit : « c'est le basilic des ponts ». Et il reburent et alors la deuxième fille à son tour se mit nue et lui posa la même question. « Ta fissure ? » Non, c'est « le sésame décortiqué ». Puis c'est la troisième qui se mit nue, même questionnement. Pour elle le nom est le «khan (auberge) de Aby Mansour». Alors c'est lui qui se mit nu et montrant son sexe posa la même question. « Ton zebb... ton outil... ». Non, c'est « le mulet puissant et non châtré qui broute et paît le basilic des ponts, se délecte à se rationner au sésame décortiqué et se loge à l'auberge de mon père Mansour »...
Un beau livre dans lequel j'ai plaisir à naviguer allant de page en page. Je tombe souvent sur une description, une situation pleine de sensibilité, de sensualité... Ce livre est rempli de belles jeunes filles, de jeunes adolescentes, de magnifiques esclaves, de harem... Je vous le conseille fortement...
Et je me prends à rêver que je suis le Calife Haroun Al-Rachid à la tête d'un magnifique Harem... Toutes ces beautés autour de moi, la possibilité d'en caresser une par ci, une par là, d'en prendre chaque nuit une différente ou plusieurs dans mon lit, de les regarder s'aimer entre elles, de me faire servir par ces jeunes adolescentes nues ou vêtues d'une seule tunique qui laisse suggérer les formes du corps... C'est un rêve... Les contes ne sont-ils pas fait pour faire rêver ?

Pour faire suite à mon texte précédent et aller plus loin,
deux sites à l'honneur des femmes qui s'aiment...

Complice d'ou vient cette photo



et Complicité féminines d'où vient celle-ci.



Sites découverts grâce à Palafleur d'où vient ce dessin.