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Le Démon de Midi
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31 octobre 2015

A l'Abbaye de Saint Plaisir - 5 : préparation

Réédition

Lire aussi "L'arrivée de Soeur Alice", "La prière du soir", "Soeur Marie" et "La leçon de Soeur Anne"

Cet après midi, après déjeuner, Soeur Anne vient trouver Soeur Alice dans sa cellule.
- Oh ma Soeur, que je suis heureuse, la Mère Supérieure et la Maîtresse des novices m'ont demandé de t'accompagner chez le Père Damien.
- C'est vrai ? Je suis aussi très heureuse. J'avais un peu peur d'y aller seule.
- Alors, allons-y !
Elles traversent l'Abbaye, sortent dans la cour, traversent le jardin et arrivent devant une petite maison, là où habite le Père Damien.
C'est Soeur Véronique qui leur ouvre. Soeur Véronique a la cinquantaine. Plutôt encore mignonne bien qu'elle n'ait plus la taille fine de ses jeunes soeurs. Elle sert le Père Damien. Elle les accueille avec un grand sourire.
- Ah vous voilà mes jeunes Soeurs, la Mère Supérieure m'avait annoncé votre arrivée et le Père Damien va vous rejoindre tout à l'heure. Entrez dans ce salon. Et préparez-vous. Vous savez que le Père Damien va vous faire vivre la grande joie qui est celle d'être auprès de notre Dieu. Au moins pour vous chère Soeur Alice. Cela va être pour vous comme une sorte de Baptème. Soeur Anne connaît déjà mais elle vous assistera et moi-même je ne serai pas loin, unie à vous dans vos dévotions.
- Oh merci ma Soeur d'être auprès de moi. Anne m'a dit ce qui allait se passer et je m'en réjouis mais j'ai un peu peur...
- Vous n'avez aucune raison d'avoir peur. Ayez confiance. Il vous faut maintenant vous préparer et vous mettre comme une enfant, humble, dans la tenue que Dieu vous a donnée à votre naissance.
Alors les deux jeunes Soeurs ôtent leur voile puis leur robe et se retrouvent comme elles étaient à la naissance, dans ce doux et beau vêtement qu'elles ont reçu de Dieu et dont elles n'ont pas à avoir honte. Soeur Véronique reprend :
- Que Dieu est grand, quelles merveilles Il a créées en vous... Commencez vos dévotions entre vous deux comme vous le faites parfois le soir avant de dormir.
Alors les deux Soeurs, nues, debout, s'enlacent. Leurs lèvres se rejoignent dans un profond et sincère baiser. Leurs mains parcourent leur corps, leurs jambes se glissent entre les jambes, elles appuient chacune leur pubis contre la hanche de leur soeur... Elles se caressent leurs seins aux seins de l'autres...
Soeur Véronique joint sa prière à la leur. Elle leur caresse le dos, ses mains glissent sur les fesses, le long du sillon et poursuit sa descente, entre les deux cuisses légèrement écartées jusqu'à l'entrée de leur grotte sainte. Elle constate avec grande satisfaction que déjà elles secrètent cette Liqueur Sacrée qui laisse présager de l'Extase de tout à l'heure...
- Le Père Damien va maintenant arriver. En l'attendant, agenouillez-vous sur ce tapis, les genoux écartées en signe d'humilité et de soumission à notre Tout Puissant et continuez seule, chacun pour vous, dans le plus secret de votre être, vos dévotions.
Soeur Anne et Soeur Alice s'agenouillent côte à côte et laisse glisser leur main vers l'entrée de leur Saint Tunnel où doucement elle s'agite, pénétrant légèrement, ressortant, titillant ce petit bouton qui en garde l'entrée...
Légèrement en retrait, Soeur Véronique a également ôté voile et robe et a rejoint ses jeunes soeurs dans leur prière...

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30 octobre 2015

A l'Abbaye de Saint Plaisir - 4 : la leçon de Soeur Anne

Réédition

Lire aussi "L'arrivée de Soeur Alice", "La prière du soir" et "Soeur Marie".

a1Ce soir, c'est Soeur Anne qui a eu l'autorisation de rejoindre Soeur Alice dans sa cellule pour la prière du soir. Elles ont terminé leurs oraisons et sont allongées toutes deux nues, enlacées.
- Oh, Soeur Anne, c'était merveilleux. Je ne me suis jamais sentie aussi proche de Dieu. Ton corps montre la perfection de Dieu. Que j'ai aimé caresser ta peau douce et soyeuse, caresser tes deux petits mamelons, les embrasser comme je l'aurais fait du Saint Sacrement, les lêcher, les frotter contre mes deux seins...
- Oui, Soeur Alice, moi aussi je suis heureuse de sentir le bout de tes seins contre les miens...
- Et tes fesses, si rondes, si belles... Et ces cuisses... Et que j'ai aimé quand tu as doucement et délicatement glissé ta main entre mes deux cuisses, que tu as tendrement caressé l'entrée de ma grotte, que tu y as fait entrer un doigt…
- Rendons grâce à Dieu.
- Oh oui, merci mon Dieu pour ces merveilles... Mais surtout ta sainte liqueur est... divine ! Abondante, au goût exquis... Et cette extase que j'ai eu sous tes caresses... On voit que tu as de l'expérience, Soeur Anne, tu m'apprendras encore à me rendre ainsi disponible à Dieu ?...
- Oui, ma soeur. Tu sais je suis rentrée dans cette Abbaye pour offrir mon corps pour la rédemption de mon âme et celle de mes soeurs... Alors je suis heureuse si je peux te servir.
Tout en devisant ainsi, elles continuent à se caresser mutuellement, à échanger des baisers pleins de douceurs. Soeur Alice a sa main en coquille sur le pubis rasé de Soeur Anne et caresse du bout d'un doigts le bouton que Dieu a rendu si sensible pour lui rendre grâce.
a1- Dis moi, Soeur Anne. Comment font nos frères les hommes ? Ils n'ont pas, me semble t'il, cette grotte sainte que Dieu nous a offerte à nous les femmes. Ne peuvent-ils pas atteindre eux aussi cette extase qui nous rend si proche du Tout Puissant ?...
- Bien sûr que si. Ils n'ont pas cette grotte sacrée mais ils ont autre chose. Ils ont une sorte de goupillon qui comme ton bouton et les parois de ton antre sainte est extrêmement sensible, qui peut changer de forme et d'où, lorsqu'il est proche de l'extase, jaillit une liqueur tout aussi délicieuse que la nôtre et beaucoup plus abondante... N'as tu jamais vu un homme nu ?
- Oh non ma soeur ! C'est péché m'a t'on dit... Je n'ai vu que mon petit neveu qui a quatre ans. Il a c'est vrai un petit bout de chair qui pend entre ses jambes et qui parfois devient plus dur. Est-ce que d'une aussi petite chose peut sortir une tornade comme celle dont tu me parles ?
- Déjà, le petit bout de chair de ton neveu est plus gros que le clitoris qui garde l'entrée de toi. Mais quand ton neveu sera homme, son petit bout aura aussi grandi, forci d'une manière impressionnante.
- Mais un homme et une femme ne peuvent pas unir leurs prières et atteindre de concert la béatitude de l'extase.
- Mais si, ma soeur. Avant de venir ici, n'as-tu jamais... euh... essayer de prier avec un garçon ?
- Non. Je n'ai jamais eu cet orgasme que j'ai découvert ici. Comment cela se passe t'il ?
- Et bien, l'homme et le femme se font des caresses comme nous nous faisons présentement. La femme peut prendre en ses mains ou dans sa bouche cet instrument que Dieu a donné aux hommes. C'est doux. C'est chaud. Tu le sens puissant. Tu sens que Dieu est en lui... Déjà, dans ta main il prendra de l'ampleur, il deviendra dur, fort, droit... Et au bout d'un moment, l'homme peut faire pénétrer cette sorte de goupillon dans la grotte sainte de la femme...
- Et c'est mieux que les deux doigts que tu y as introduit tout à l'heure ?
- Cela dépend, ma soeur. C'est certainement plus gros, plus long... Et il palpite... Il te remplit tout entière...
- Oh que ce doit être merveilleux ! Tout à l'heure j'aurais voulu que tu y glisses ta main toute entière... Et après ?
- Après tous deux atteignent cet état qui nous rend si proches de notre créateur. C'est Lui qui l'a voulu ainsi d'ailleurs. Et l'homme déverse en la femme, tout au fond de son antre, toute la liqueur qu'il a fabriqué pour Lui rendre gloire...
Soeur Alice est songeuse
- A quoi penses-tu, Alice ?
- Quand j'avais 15 ans, un cousin de mon âge chez qui j'étais en vacances, m'a entrainée dans la grange de ses parents... Il m'a allongée dans le foin, a relevé ma robe... Je me laissais faire, il ne faisait rien de mal et il inventait toujours de nouveaux jeux qui nous faisait rire. Alors il s'est allongé sur moi, a écarté ma culotte et m'a justement enfoncé dans ce lieu saint quelque chose de dur... Ca m'a fait très mal, j'ai voulu qu'il arrête mais il a continué... Il a gigoté un peu sur moi et j'ai senti quelque chose gonfler dans mon ventre et comme un liquide chaud qui s'y épanchait. Alors il s'est relevé et il est sorti... Moi je pleurais parce que j'avais eu mal et j'avais du sang et un liquide épais qui sortait entre mes jambes... J'ai eu honte d'en parler et j'ai plus jamais voulu jouer avec lui à ce jeu...
- Ce n'est pas bien ce que t'a fait ton cousin... Il a fait le péché d'égoïsme et d'orgueil... Mais dis-moi, Soeur Alice, n'as-tu pas encore vu le Père Damien, notre confesseur ? Un homme bon et pur. Il te montrera bien comme il faut ces choses là.
- Je dois le voir demain. Et je m'en réjouis après tout ce que tu viens de me dire...
Leurs lèvres se joignirent dans un profond baiser tandis que leurs mains jouaient à l'entrée de leurs lieux saints.

29 octobre 2015

A l'Abbaye de Saint Plaisir - 3 : Soeur Marie

Réédition

Lire aussi "L'arrivée de Soeur Alice" et "La prière du soir".

Cela fait presqu'un mois que Sœur Alice est arrivée à l'Abbaye de Saint Plaisir. Elle s'est habitué à son nouveau rythme de vie, entre temps de prières à la chaleur, travail au jardin ou aux cuisines, travail à la bibliothèque… Elle aime cette vie qu'elle a choisie par conviction. Elle aime ses nouvelles compagnes surtout les plus jeunes, les plus proches de son âge avec qui elle a beaucoup sympathisé mais elle ne s'est jamais retrouvée seule avec l'une ou l'autre pour se faire des confidences. Elle aime particulièrement et y est très assidue ses dévotions du soir, quand elle se retrouve seule dans sa cellule. Elle prend même plaisir à se réveiller en pleine nuit pour les recommencer et tâche d'avoir encore du temps le matin… S'offrir ainsi à Dieu est un grand plaisir pour elle. Se sentir si proche de lui, si proche de ce que doit être le Paradis…
Ce soir là, elle vient juste de rentrer dans se cellule. Elle entend frapper à la porte et voit entrer Sœur Marie. Elle en est heureuse car elle l'aime beaucoup et a beaucoup de sympathie pour elle. Elle a vraiment envie de la connaître davantage.
- Je ne te dérange pas, Sœur Alice ? C'est Sœur Adèle qui m'a demandé de venir passer un temps avec toi ce soir pour que nous unissions nos prières et pour que je complète ton initiation.
- Tu ne me déranges pas le moins du monde et je suis ravie de ta visite.
Sans en attendre davantage, Sœur Marie s'assied sur le lit entraînant auprès d'elle Sœur Alice. Elle passe son bras autour de ses épaules très affectueusement.
- Dis moi. Es-tu heureuse ici ?
- Oh oui, plus que je ne peux le dire. Ca dépasse toutes mes espérances…
- As-tu eu la visite le soir de notre maîtresse des novices ?
- Oui, plusieurs fois.
- Elle est belle et douce, n'est-ce pas ? Laisse moi à mon tour effleurer tes formes, admirer du bout de mes doigts la beauté que Dieu t'a donnée.
Et sans attendre, elle pose sa main sur les genoux d'Alice et commence à la faire glisser le long de sa cuisse, sous la robe…
Sœur Alice a un grand frisson. Elle retient la main de sa compagne.
- Non !… Attends
- Et bien quoi ? Aurais-tu honte de ce que Dieu t'a donné ?
- Non au contraire. Mais je veux aussi rendre grâce à notre Seigneur des merveilles qu'il a faites avec toi... Ne veux-tu pas que nous nous mettions tout de suite dans le costume qu'il nous a offert pour notre naissance et qui est beau, à son image ?
- Si, bien sûr. Tu as raison.
a1Et rapidement voiles et robes tombent à terre. Et voici nos deux nonnes, nues, debout, se faisant face…
Elles commencent à se caresser, découvrant mutuellement leurs corps offert… Elles suivent les courbes, les pleins et les déliés, ne cessant de rendre grâce de la perfection de la création de Dieu. Elles frissonnent d'émotion sous la caresse de l'autre. Et puis Sœur Marie joint sa bouche à ses mains. Avec le lèvres, la langue elle parcourt le cou, les épaules les seins de Sœur Alice… Et puis elle s'agenouille dans un grand geste d'humilité devant le Très Haut. Elle pose ses deux mains, doigts écartés, sur les deux lobes des fesses épousant parfaitement leur forme. Elle approche ses lèvres, tend la langue… Elle veut boire à la fontaine… Sœur Alice se raidit, électrisée, quand la langue effleure son petit bouton à l'entrée. Jamais elle n'a ressenti une telle sensation… La langue s'agite, titille, pénètre le plus qu'elle peut dans la grotte sacrée… Et Sœur marie se relève…
- N'as-tu jamais goutté le miel que tu produis ? Ce nectar que Dieu en toi a fabriqué ?
- Il m'est arrivé au milieu de mes dévotions du soir de porter à mon nez, à mes lèvres, mes doigts trempés de ce liquide sucré. J'aime son odeur enivrante. J'aime son goût suave et sucré. Mais dis moi, Sœur Marie, est-ce péché ?
- Non rassure toi. Pourquoi Dieu aurait-il fait un si bon liquide si ce n'est pas pour y goûter ? Mais c'est bien dommage, il ne nous a pas faites assez souples pour que nous puissions boire chacune à la source. A moins de nous arranger entre nous… Voudrais-tu goûter mon nectar pendant que je boirais à ta source ?
- Oh oui ! Mais comment allons-nous faire ?
aSœur Marie entraîne Sœur Alice vers le lit. Elles s'y allongent sur le côté, se faisant face, tête bêche. Elles replient le genoux afin de bien ouvrir les jambes et permettre à sa consoeur de poser sa tête sur la cuisse inférieure, comme sur un oreiller. Elles enlacent la taille de leur sœur, posent leurs mains sur leurs fesses…
- Rendons gloire à Dieu !
- Amen
Et leurs lèvres rejoignent les lèvres humides et ouvertes… Leurs langues jouent avec le petit gardien du Temple qui s'est redressé de fierté. Et leurs langues pénètrent de plus en plus loin dans le corridor saint, se délectant, s'abreuvant… Et plus elles boivent, plus la source abonde… Et ensemble, elles jouissent. Ainsi soit-il…
Ayant repris leur souffle, Marie se redresse et attire vers elle Alice. Elles joignent leurs lèvres, leurs langues se mélangent, elles mêlent leurs goûts…

28 octobre 2015

A l'Abbaye de Saint Plaisir - 2 : la prière du soir

Réédition

Après cette longue journée, Soeur Alice se retrouve seule dans sa cellule... 
Après les premières recommandation de Soeur Adèle sur la manière de considérer son corps comme un don de Dieu qu'il fallait honorer, elle a enfilé son habit : un ample robe grise qui lui arrivait sous les genoux serrée à la taille par un cordon et un voile blanc... Les premiers instants, ça lui avait fait une drôle d'impression d'être nue sous le tissus mais elle avait fini par trouver cela plutôt agréable et chaque mouvement lui procurait comme une caresse sur sa peau... 
Et puis elle avait été présentée à la Mère Supérieure. Une femme qui semble sympathique, la quarantaine d'années. Elle ne s'est pas levée de son bureau pour l'accueillir, lui demandant de s'approcher d'elle. Quand elle a été tout contre, la Mère Supérieure a glissé sa main sous la robe, est remontée le long de la cuisse jusqu'à atteindre les fesses nues. Elle s'est à peine attardée dessus disant seulement : c'est bien ma fille, ne déroge jamais à cette règle ! Nous devons offrir notre corps à notre Seigneur qui nous a créées ainsi pour son plaisir.
Ensuite, elle a été présentée à l'ensemble de la communauté. Certaines assez grincheuses, les plus âgées, l'ont à peine regardée. Les plus jeunes par contre lui ont fait la fête. Soeur Alice a été fort surprise par Sooeur Marie, qui a à peu près son âge et qui profitant qu'elles soient seules, lui a poser une main sur ses fesses, l'autre sur son sein et l'a embrassée goulument sur la bouche... Bienvenue ma soeur, Alleluia ! On va s'entendre. On va unir nos prières...
Et puis il y a eu la cérémonie à la Chapelle, le repas en silence au réfectoire... Et maintenant la voilà dans sa cellule, seule. aComme le lui recommandé la Maîtresse des Novices, elle se met entièrement nue avant de se coucher... Et elle commence à se caresser... Elle pose ses mains sur ses seins, joue avec les tètons qui se dressent... Elle les contourne, les soupèse, les presse... A son rythme... Elle ressent une bonne chaleur... C'est doux. C'est bon... Et elle fait glisser ses mains le long de son corps, joue avec sa toison, hésite un moment puis en glisse une entre ses cuisses qu'elle écarte doucement tandis que l'autre glisse sous ses fesses... D'un doigt, elle titille le bouton qu'elle trouve là.... Tandis qu'un autre doigt de l'autre main trouve son petit trou secret et entreprend de le pénétrer... Elle respire de plus en plus fort... C'est bon.... Délicieusement bon...
A ce moment la porte de sa cellule s'ouvre et entre Soeur Adèle, vêtue d'un peignoir...
- Tu es déjà couchée ? Comme je te l'ai demandé ?
Sans attendre la réponse elle tire les couvertures et constate avec satisfaction qu'Alice est bien nue et que de surcoit ses mains sont placées à des endroits qui ne laisse pas douter de ce qu'elles faisaient là.
- Et tu as commencé tes dévotions... C'est très bien... Attends, on va joindre nos prières...
Et elle ôte son peignoir apparaissant entièrement nue elle aussi. Un beau corps magnifique... Elle fait signe à Alice de se lever et de se mettre face à elle.
- Ce que je te fais, tu me le fais.
Et elle serre Alice contre elle. Alice la serre contre elle. Les lèvres d'Adèle rejoignent celles d'Alice et s'ouvrent. Celles d'Alice s'oivrent aussi. Et les langues se rencontrent. La Maîtresse des novices glisse ses mains le long du dos d'Alice jusqu'à ses fesses qu'elles pétrissent un moment puis remontent sur les côtés pour atteindre les seins qu'elles frôlent, caressent, contournent, puis redescendent vers le mileu du dos jusqu'aux fesses... Sur le corps de Soeur Adèle, les mains d'Alice suivent exactement le même parcours. Les jambes sont entrecroisées... Soeur Adèle frotte son pubis contre la hanche de Soeur Alice qui fait de même contre la hanche de Soeur Adèle... Puis Soeur Adèle se met de côté, pose une main sur les fesses d'Alice et glisse l'autre entre les cuisses écartée... Elle écarte les lèvres, d'un doigt titille le clitoris tandis que les autres pénètre dans le corridor chaud et humide... Soeur Alice, qui est en transe, fait de même...
Elle ne sait ce qui lui plait le plus. Offrir ou recevoir ? Qu'importe, elle n'a jamais ressenti ce qu'elle ressent là... Soudain elle a l'impression de perdre la tête, quelque chose comme une énorme décharge électrique part du mileu de son corps et l'irradie complètement... Elle perd son souffle... Elle a chaud... Elle craint de tomber... Soeur Adèle ne vaut guère mieux. Elle râle, a les yeux révulsés, suffoque... Elles se sont raidies l'une et l'autre. Là, Alice ne suit plus Adèle. A l'instinct...
- Mais qu'est-ce qui m'arrive ?
- C'est l'extase ma fille... Tu es proche de Dieu ! Alléluia
!...

27 octobre 2015

La philosophie de Saint Plaisir

Réédition

Dieu créa l'homme et la femme.
Et il vit que cela était beau !

a a1

Alors, il leur dit : "Croissez et multipliez-vous !".
A cet effet, il les dota de ce dont ils avaient besoin,
l'un et l'autre, ensemble et complémentaires.
Un membre érectile pour l'homme.
Une grotte extensible et auto-lubrifiante pour la femme,
de sorte qu'ils puissent s'emboîter l'un dans l'autre.
Et dans sa grande bonté -car Dieu est infiniment bon !-,
il fit ces outils extrêmement sensibles
afin que l'homme et la femme, en s'en servant,
puissent en tirer un énorme plaisir et puissent en jouir.
Et il vit que cela était bon.
Il y eut un soir, il y eut un matin,
et dans ce laps de temps entre ces deux instants,
l'homme et la femme s'accouplèrent.
Toute la nuit, ils forniquèrent
et jouirent.
Et ils virent que cela était bon.
Et ils recommencèrent
dans les siècles des siécles.
Et c'est pour cela que faire l'amour n'est point un péché
mais une sorte d'action de grâce.
Une manière de remercier notre Créateur
de nous avoir fabriqué de la sorte.
Aurait-il créé la beauté féminine si ce n'était pour l'admirer ?
Aurait-il créé le plaisir si ce n'était pour y succomber ?
Et je vis que cela était bon et je recommençai.

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26 octobre 2015

A l'Abbaye de Saint Plaisir - 1 : Arrivée de Soeur Alice

J'ai eu beaucoup de plaisir à écrire ces épisodes de "l'Abbaye de Saint Plaisir".
Et c'est avec autant de plaisir que je vous le re propose à votre lecture
J'espère que ceux qui ont déjà lu reliront avec bonheur. Pour ceux qui découvrent, merci de me laisser des commentaires.

- Ma chère enfant, je te souhaite la bienvenue dans notre Abbaye de Saint Plaisir. Je suis Sœur Adèle, la maîtresse des novices et je suis chargée de te former aux us et coutumes de notre congrégation, à la prière et à notre volonté d'être toute tournée vers le Seigneur notre créateur. Toi tu vas désormais t'appeler Sœur Alice. Tu es la plus jeune de notre communauté. Tout juste 18 ans, n'est-ce pas ? Vous êtes là 4 à avoir moins de 20 ans… Nous sommes 5 à avoir autour de mon âge, la trentaine. Et puis un certain nombre, plus âgées. La plus âgée de nous toutes a 75 ans !… Tu vas maintenant te débarrasser de tes vêtements civils pour enfiler notre habit. Mais avant, dis moi, qu'as-tu dans ce sac ?
a- Je sais que je serai habillée par la communauté. Mais j'ai tout de même apporté quelques sous-vêtements et des chemises de nuit. Aurais-je l'autorisation de les porter ?
- Non, ma fille. Dis-moi. Comment étais-tu habillée quand tu es née ? Quand tu es sortie du ventre de ta mère ?
- Et bien, je ne me souviens plus bien mais je suppose que comme tous les bébés qui naissent je devais être toute nue ! Pourquoi cette question ?
- Toute nue, oui. Dieu t'a créée toute nue. Il t'a donné ce beau vêtement qu'est ta peau, douce, élastique, qui te protège si bien… Pourquoi cacher ce vêtement que Dieu t'a si généreusement offert ? C'est terriblement vexant et humiliant pour moi si une personne à qui j'ai fais un cadeau ne se sert pas de ce cadeau, le cache… Et nous ne voulons ici, bien au contraire, ni vexer, ni humilier notre créateur. Alors, sous notre habit, nous ne mettons pas de sous vêtement. Et pour dormir, tu seras dans le vêtement que t'a donné Dieu !
- On dort toute nue ?
- Nue, si tu veux. C'est comme ça qu'on dit dans le monde. Ici on dit dans le vêtement offert par Dieu ! Donc ces vêtements qu'il y a dans ce sac, on les fera parvenir à une association caritative. Maintenant, veux-tu bien te déshabiller entièrement pour enfiler ton habit ?
- Là ? Devant vous ?
- Mais petite sotte ! Ne comprends-tu pas ? Pour moi, te voir nue n'a rien de vicieux. Je veux rendre grâce à Dieu… Je veux le louer pour ses merveilles… Voilà !… Quels merveilleux petits seins tu as là… Oui, oui, tu enlèves aussi ta petite culotte. Je t'ai dis qu'ici on n'en mettait pas… Quel corps magnifique tu as. Dieu est grand ! Laisse moi suivre les courbes de ta poitrine, de tes hanches, de tes fesses… Ces belles longues cuisses… Il faudrait que tu te rases le pubis. C'est mieux. C'est plus beau… Qu'est-ce qui t'arrive ? Je te sens frissonner sous mes doigts.
- Ce sont vos caresses ma sœur, je ne sais pas, elles me procurent une drôle d'impression…
- Mais ce ne sont pas des caresses mais des louanges à Dieu… Il faudrait que tu rendes gloire à Dieu de cette manière… Ne le fais-tu jamais ? Et là ? Que voici un lieu bien humide et bien ouvert… C'est bien, Sœur Alice, tu sais profiter de ce que Dieu t'a offert. T'arrive t'il souvent de glisser ta main là où j'ai la mienne, dans ce puits d'amour, dans cette grotte miraculeuse ?…
- Non, ma sœur, on m'a dit que c'était péché !
- Baliverne ! Si Dieu nous a donné ce lieu si sensible, c'est pour qu'on en use, pour qu'on en jouisse. Des parents seraient terriblement vexés si leur enfant ne jouait jamais avec le jouet qu'ils lui ont offert à Noël ! Ce qui est péché, c'est d'en faire commerce, c'est de s'exhiber, c'est de faire avec des vulgarités… Non, non, non, il faut que tu glisses ta main là, souvent ! Le soir, quand tu seras seule dans ta cellule, couchée, ce sera ta prière avant de t'endormir. Je viendrai ce soir t'apprendre…
- Bien, ma Sœur. Vous allez avoir beaucoup à m'apprendre. Je ne sais point prier de cette manière là.
- Oui je vais t'apprendre. Maintenant enfile ton habit que voici et je vais te montrer ta cellule puis te présenter à notre Mère supérieure et à toutes nos autres sœurs.

25 octobre 2015

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