Je suis jeune... 23 ans... Et oui, ça remonte à loin et ça ne me rajeunit pas de rappeler ce souvenir qui me remonte en tête aujourd'hui, allez savoir pourquoi.
En cette période, je fais un stage à l'Office national des forêts dans un petit village dans le pays de Bray, en Normandie. Je suis logé dans un petit hôtel-restaurant. Il est tenu par un couple, aidés les week-end par les filles de la famille qui font toutes les deux l'école hôtelière. Et il y a Maryse, une jeune fille, sensiblement de mon âge, qui est un peu la femme à tout faire : les chambres, le ménage, le service au restaurant en semaine... Elle travaille toute la semaine, dormant sur place, mais pas le week end ou ils prennent des extras. Cet hôtel restaurant fonctionne à plein régime les week-end. En semaine, les midi il y a des ouvriers qui travaillent dans le secteur ou des représentants de commerce... Le soir, quelques pensionnaiMaryseres...
J'ai bien sympathisé avec Maryse. J'aime passer du temps avec elle quand je rentre du travail... Parfois, je m'amuse à la draguer... Gentiment... Elle me laisse faire, en sourit... Je lui dis par exemple qu'elle sait où est ma chambre, si elle veut me rejoindre un soir... Et elle me répond en riant : on verra !...
Ce jour-là, un lundi, exceptionnellement je ne travaille pas. Les hommes avec qui je travaille d'habitude doivent aller soutenir un chantier non loin de là. Un travail qu'on me dit être trop délicat pour un petit stagiaire comme moi donc on me donne congé... Je ne demande pas mieux....

Je flâne donc dans mon lit. Je suis nu. J'ai rejeté draps et couverture au pied du lit... J'ai entendu la voiture des patrons partir. Le lundi, c'est le jour de fermeture et ils partent toujours dans leur famille. Seuls les pensionnaires sont nourris. Et c'est Maryse qui tient seule la maison !. Je rêve. Je ne sais plus à quoi. Sans doute aux filles...
Soudain, la porte de ma chambre s'ouvre brutalement. C'est Maryse qui doit venir faire le ménage de ma chambre me pensant au travail ! Nous sommes aussi surpris l'un que l'autre. Je me redresse, attrape le drap et m'en couvre le bas du ventre. Elle, elle va pour refermer vite la porte...
- Maryse !...
- Quoi ?
- Tu ne viens pas me faire ma bise ? (On a pris l'habitude de se faire une petite bise chaste chaque jour)
Elle rouvre la porte, entre, referme la porte derrière elle et vient vers mon lit... Nous nous embrassons gentiment sur la joue... Et elle se prépare à sortir. Je la retiens par le bras. A vrai dire, elle ne résiste pas beaucoup...

- Et bien voilà !... Tu es venue me rejoindre dans ma chambre, c'est sympa ça...
- Je venais y faire le ménage... Je ne pensais pas te trouver là, sinon je ne serais pas venue... Tu ne travailles pas ?
- Non, pas aujourd'hui. Mais tu as le temps ? Il n'y a presque personne dans l'hôtel...
- Je ne sais pas...
Je me laisse retomber sur mes oreillers l'entraînant avec moi... Elle se retrouve assise sur le bord du lit... Elle résiste légèrement, cherche à se relever... Je la retiens, la prends par les épaules et la plaque  contre moi... Elle fait encore semblant de résister... Puis pose sa tête sur ma poitrine... Je lui caresse les cheveux...
- On est bien, non ?
Elle ne me répond pas. Mais je la sens se relâcher... Sa main vient se poser à côté de sa tête sur mon sein qu'elle commence à caresser doucement... Mes mains glissent le long de son dos... C'est vrai qu'on est bien... Je la fais se remonter pour pouvoir l'embrasser... sur le front... sur les yeux... sur le bout du nez... sur la commissure de ses lèvres... sur les lèvres... Elle se laisse faire en continuant de caresser ma poitrine... Et quand mes lèvres sont sur les siennes, elle me rend mes baisers... Et nous finissons par nous embrasser sauvagement, à pleine bouche. Elle a pris ma nuque entre ses mains et me serre fort...
Ma main a glissé sur son genou... puis remonte le long de la cuisse, glisse sous la jupe... jusqu'à la petite culotte sous laquelle ma main pénètre pour se poser sur sa fesse nue. Je la sens frémir contre moi....
- J'ai envie de toi... Je veux faire l'amour avec toi...
Elle reste silencieuse un instant qui me semble une éternité... Et dans un souffle elle lâche :
- Moi aussi !...
Alors je me redresse, m'agenouille sur le lit tout contre elle et entreprend de déboutonner son corsage... Elle m'aide, le retire... Et tandis que je m'acharne à dégrafer son soutien-gorge, elle descend le zip de sa jupe, se lève et la laisse tomber au sol en descendant dans le même geste sa culotte... En moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire, elle se retrouve nue.
Nous roulons sur le lit. Corps emmêlés. Jambes nouées. Bouches collées. Mains qui découvrent l'autre, les seins, le sexe, les fesses, les cuisses, les épaules... Nous nous mordillons, nous léchons, nous nous suçons...
Je la fais mettre sur le dos, m'assoie sur son bassin, jambes écartées de part et d'autre... Je lui prends un sein dans chaque main... J'en garde encore la sensation dans le creux de ma main : petits, pointues, fermes... Elle prend mon sexe à deux mains et commence à la masturber... Je descends sur ses cuisses, caresse sa toison épaisse... De ce temps là, les jeunes filles ne se rasaient pas !... Lui fais écarter les cuisses, glisse mes doigts entre ses lèvres humides... Elle se crispe, me fait basculer sur le lit et à son tour elle me domine... Elle se met tête bêche, prend mon sexe dans sa main et le couvre de baisers avant de le prendre en bouche... A mon tour, je plonge mon visage entre ses cuisses et vais boire à sa source... Merveilleux 69 !
La tension est trop forte, je vais exploser ! Je lui fais lâcher prise... Nous nous retrouvons face à face, reprenons notre souffle, nous calmons...

Alors doucement, je la fais de nouveau se mettre sur le dos, lui fais écarter les jambes, me glisse entre elle et lentement je la pénètre... Elle referme bras et jambes autour de mon corps... Tour à tour, nous donnons la cadence jusqu'à la jouissance...
- Bon ! Il va falloir que je change les draps maintenant ! Debout !
C'était la première fois avec Maryse et il y en a eu d'autres pendant les 3 mois qu'a duré mon stage...

Allez voir le blog d'Irina.
Elle y publie des histoires et nouvelles érotiques.
La dernière publiée est de moi... Lisez la et dîtes-moi si vous aimez...

Deux heures à tuer entre deux trains. Il fait beau. Je vais m'installer à la terrasse d'une brasserie face à la Gare de Lyon. J'aime regarder, quand j'en ai le temps, le spectacle de la rue. Un bon demi (une Leffe, ma préférée)... Mon paquet de clopes sous la main... Un doux soleil, une douce chaleur... La vie est belle.
Les gens vont et viennent autour de moi. La table à côté s'est libérée. Un jeune couple qui se dévorait des yeux... J'imagine où ils sont allés, remarquant une sérieuse érection chez monsieur !
Une jeune fille s'y installe. 22 ans tout au plus. Mignonne. Elle commande son coca et sort son téléphone. C'est là que commence mon indiscrétion. Mais elle n'était pas trop discrète à vrai dire...

- Allo ! Myrian ? C'est moi. Ca va ?
- ...
- Devine d'où je reviens...
-...
- De chez Claude.
- ...
- Mais si tu sais ! Le prof de techno du bahut...
- ...
- Ce qu'on a fait ? Devine...
- ...
- On a couché ! On a baisé comme des fous...
- ...
- Ne ris pas. Mais non, j'te fais pas marcher. C'est vrai. J'te jure... Sur la tête de ma mère...
- ...
- Il est pas vieux ! 40 ans... C'est pas encore vieux ça...
- ...
- Oui c'était super. Il est doux, gentil, attentionné... Si tu le voyais à poils... Musclé, presque pas de poils... Il me faisait frissonner...
- ...
- Non, il ne m'a pas violée ni forcée. T'es con, toi ! Je voulais aussi...
- ...
- Un peu plus de deux heures... J'ai pas atterri pendant tout ce temps... C'est pas comme avec les mecs de nos âges...
- ...
- Lui ? Trois fois je crois...
- ...
- Arrête. Non c'est pas un taureau...
- ...
- Normale... Assez grosse, longue... J'en faisais juste le tour avec mes doigts...
- ...
- Oui, je l'ai sucé. Et alors ?... Lui aussi... Il m'a léchée sur tout le corps... Hummm ! Rien que d'te dire, j'en frissonne encore...
- ...
- Oh, écoute, j'te dis rien parce que tu couches avec Max ! C'est vrai, ça. Pourquoi tu couches avec Max. Il est moche et il baise mal...
- ...
- Comment je le sais ? J'ai couché avec lui aussi. Avant toi... Une fois mais pas deux. On se fout à poil, pas de caresses, pas de baisers... Il m'enfile en me faisant mal... Il tire son coup et il c'est fini. Nada pour moi, sauf sa merde !... Ah, non, c'est un con ce Max...
- ...
- Et bien, tant mieux pour toi si ça te plait de te mal faire baiser...
- ...
- Cédric ? Non c'est fini avec lui.
- ...
- Oui je l'aimais bien. J'aimais sa gueule de lascar du 9-3 ! Et puis il baisait pas trop mal...
- ...
- Il m'a cassé les couilles ! Un jour il se ramène avec l'autre pouffiasse...
- ...
- Si tu sais, la grande blonde qu'était avec Jérémy... Une belle pute celle-là !
- ...
- Il voulait qu'on fasse l'amour à trois... Il voulait que je baise cette nana... Ca va pas, non ! J'suis pas une gouine, moi ! Il m'a pas regardée !... J'ai pas voulu et j'ai dit salut !
- ...
- Ca va pas non ? Non, j'ai jamais fait avec une fille ! J'suis pas une gouine, moi !
- ...
- Ah bon ? Tu m'avais pas dit. Pourtant t'aimes les mecs...
- ...
- Et t'as aimé ?
- ...
- Ben il faut tous les goûts dans la nature.
- ...
- Chais pas si je vais le revoir. Il est marié mais sa femme était en vacances...
- ...
- A mon stage y'a que des tares ! Y'en a un qui drague tout ce qui bouge. Pas possible le mec, il a du se mettre en mode "drague"...
- ...
- Si, y'en a p'têt un qu'est pas mal... Mais il a sa meuf et il me regarde à peine...
- ...
- Oui, sinon le taf il me plait bien... Chais pas si j'ferai ça tout le temps mais c'est un stage...

Et elle continue à parler de son stage puis des vacances... Elle raccroche au bout de 20 bonnes minutes, paie et part, un sourire béat aux lèvres...
Oui, mignonne cette petite !...

Il semble que des femmes aiment les hommes !...
Bizarre non ?
Pour les satisfaire,
alors que je préfère éditer des photos de femmes
voici quelques photos d'hommes.
Pour vous faire rêver, Mesdames...

N'hésitez pas à commenter...

La tête posée sur ton ventre,
mes doigts caressent ta toison…
C'est doux ! C'est beau !
Au-delà de cette petite colline boisée,
mon regard voit tes longues cuisses fines,
légèrement écartées.
Ma main court sur l'une d'elle,
revient en frôlant l'intérieur,
et passe sur l'autre.

Au bout de plusieurs de ces voyages,
après être passée aussi sur le pli de l'aine,
puis de l'autre,
de nouveau elle se pose sur ce pubis
et de nouveau mes doigts caressent ta toison.
L'autre main ne reste pas inerte
et elle passe doucement sous ton corps
que doucement tu soulèves
pour qu'elle atteigne tes fesses.
Elle les caresse, les malaxe, s'insinue entre elles,
elle les pétrit, en fait le contour,
goûte l'extrême sensation de les sentir sur elle.
Et toujours mes doigts caressent ta toison,
ils s'attardent là pour exacerber ton impatience…
Pour me montrer que c'en est assez d'attendre,
que tu veux davantage,
tu écartes un peu plus les jambes
et tu donnes un léger coup de rein
pour que mes doigts ripent vers ta fente.
Légèrement, ils remontent
s'insinuant facilement tant elles sont humides
entre tes lèvres odorantes.
Et là ils trouvent ton petit bouton
qui, tel un phallus, se durcit et légèrement s'allonge.
Ils jouent avec, le titillent, le font rouler sous eux,
en font le contour, s'y mettent à deux
pour le saisir et le caresser.
Ton ventre se soulève. J'y entends battre ton cœur
de plus en plus fort…
Un nouveau léger coup de reins
et voilà mes doigts glissant dessus
ta grotte chaude et luisante.
Pas besoin de beaucoup s'acharner
pour en faciliter l'entrée,
ta liqueur l'a bien lubrifiée.
Doucement, presque discrètement,
un doigt y pénètre, puis deux.
Ils restent là, un moment,
goûtant la chaleur et l'humidité,
heureux de pénétrer ton intimité.
Puis ils s'agitent, pénètrent un peu plus,
caressent les parois, font semblant de sortir
pour mieux entrer plus loin encore…

J'entends ton cœur battre à tout rompre,
ta respiration s'accélérer.
Au rythme du mouvement de mes doigts,
tu soulèves tes reins,
permettant à l'autre main
d'être elle aussi aimante
avec tes fesses qu'elle tient…
Tu te raidis. Tu refermes tes cuisses,
enfermant ma main dans ton antre secrète.
Tu halètes, tu me tires les cheveux,
tu m'appuies la tête contre ton ventre nerveux.
Et tu jouis une première fois,
poussant un cri,
et, femme fontaine, secrétant abondamment.
Ca dure une éternité qui pourtant n'est qu'un instant.
Puis tu te relâches. Tes cuisses s'ouvrent,
libérant ma main pleine de ton foutre.
Et la tête toujours sur ton ventre,
je porte ces doigts vers ma bouche
pour goûter ce nectar dont tu les as imprégnées,
pour sentir cette odeur enivrante et sucrée
du plus profond de ton intimité,
du plus profond de ta jouissance.

Et de mon corps je couvre le tien,
mes lèvres vont à la rencontre des tiennes,
nous nous enlaçons fermement.
nos langues se mêlent et tu peux te goûter à ton tour.
Mais je ne veux pas en rester là.

Je me glisse tout entier vers le bas de ton corps,
entre tes cuisses que tu ouvres largement,
genoux relevés, les talons contre tes fesses.
A plat ventre contre toi, j'enserre tes jambes,
je les couvre de baisers, je les caresse.
Mille baisers je dépose aussi
sur le bas de tes fesses ainsi exposées,
et sur ton sexe ouvert ainsi présenté.
Je hume à m'en enivrer, le parfum de ton intimité.
A petits coups de langue,
je titille ton petit bouton, puis je l'aspire,
l'enserre entre mes lèvres serrées,
je le tête, je l'embrasse, je le lèche,
je l'aspire, je le presse…
Puis c'est toute ta fente qu'à grands coups de langue,
je lape. Langue que je fais pénétrer
après avoir écarté tes lèvres de mes lèvres,
au plus profond de toi, la faisant aller et venir
aussi loin que je peux.
De nouveau tu te tortilles, tu halètes,
tes reins venant à la rencontre de ma bouche,
cherchant un nouveau plaisir
qu'une nouvelle fois tu auras
dans un énorme spasme, un gigantesque orgasme.
Je bois directement à la source
ton copieux nectar,
m'en remplissant la bouche pour mieux te le redonner.

De nouveau je remonte sur toi,
nos lèvres se retrouvent, nos langues s'emmêlent,
partageant ce délice qui vient du fond de toi.
Au passage, mon sexe impatient
dans le tien s'est fiché,
et c'est tout enlacés,
sans presque bouger,
qu'à mon tour en toi,
j'ai trouvé l'extase
dans un orgasme décuplé
de l'avoir tant attendu.

Et c'est heureux et repus,
que nous nous sommes enlacés,
que nous nous sommes embrassés,
que nous nous sommes caressés et
que nous nous sommes endormis.

Photos prises chez Saphique

Pour mon retour,
cette grande envie !Baiser ! Avec toi ?

Photos prises sur ce blog, Mozi, que je vous ai déjà présenté...