Lesbos
J'aime beaucoup les dessins ou photos suggérant l'amour entre deux femmes. Ceux qui me connaissent le savent. Beaucoup de sensualité, de beauté... Deux beaux corps emmêlés.
L'autre jour, j'ai vu dans la rue deux jeunes filles, la vingtaine tout au plus. Elles se tenaient par la main, puis par la taille, de temps en temps s'arrêtaient pour échanger un baiser, poser sa tête sur l'épaule de l'autre... Manifestement, elles étaient amoureuses. Et je les ai vues s'engouffrer dans un immeuble... Alors je les ai imaginées chez l'une ou chez l'autre, rapidement déshabillées pour mieux s'étreindre et jouir l'une de l'autre...
Je voudrais être petite souris. Je voudrais pouvoir regarder.
Et vous Mesdames vous arrive t'il de faire l'amour avec une autre femme ?
Ou en avez vous envie ?
Racontez-moi...
Amour et l'amour
Bien des femmes le disent : pas de sexe sans Amour.
Elles n'imaginent pas faire l'amour avec un homme sans amour réciproque.
Il semble que les hommes soient plus frivoles.
C'est volontiers avec toutes les femmes rencontrées
et qui sont à leur goût (et en ce qui me concerne, elles sont nombreuses dans ce cas)
qu'ils feraient volontiers l'amour...
Mais qu'est ce que l'amour ?
Je ne sais pas si j'attends de la femme de l'amour,
mais au moins du respect, de l'estime,
le fait que nous nous sentions bien entre nous,
qu'elle soit active
qu'ensemble nous voulions recevoir et offrir
que nous soyions en confiance...
Sinon, autant aller voir des professionnelles.
Mais ça ne m'intéresse pas.
Et, selon vous, peut-il y avoir de l'Amour,
le vrai Amour avec un grand "A",
sans relations sexuelles ?
Comment continuer à aimer
quand l'être aimé nous laisse frustré ?
Donnez-moi votre avis.
Je vous laisse tout le week-end pour cela
car en ce qui me concerne, je pars en week-end prolongé.
Viens tout contre moi...
Ma première fois...
Je vous sens au fond de moi.
J'ai tant attendu, espéré, désiré ce moment.
Maintenant vous etes là, je suis sur vous étendue, fraîche encore de ma sortie du bain, parfumée, lisse et pure.
Je vous sens chaud et raide.
Vous
etes entré sans forcer, écartant simplement mes chairs désirantes, et
j'ai laissé échapper un profond soupir, comme un souffle de vent dans
les ramures à l'automne
Soulevée sur mes coudes pour mieux vous
voir, pour mieux vous connaître encore, je me noie dans vos yeux, mes
lèvres entrouvertes quémandent votre bouche.
Votre sourire est
tendre, votre main caressante sur ma croupe cambrée fièrement pour être
plus solidement encore empalée sur votre membre que j'enserre de toutes
mes forces.
Vous me sentez venir, vous relevez d'un geste paternel mes cheveux qui tombent sur votre visage.
Ma respiration se fait courte, saccadée.
Le plaisir monte et me bat les flancs.
L'incendie bienheureux s'est emparé de mon ventre
Vous souriez toujours, conscient de votre force,
Vous me savez à votre merci.
Alors...
« Raconte moi la première fois que tu as fait l'amour.
Tu avais quel âge ? Qui était ton partenaire ?
Comment était-il ? Comment cela s'est passé ?
As-tu joui cette première fois ?
Et lui ? L'as-tu revu ?
Vas-y ma chérie. Et regarde moi en me racontant cela.
Non ! Ne rougis pas. Tu n'as pas à avoir honte ».
Il faut que je me calme. Que je tente de rassembler ma mémoire
Malgré le séisme qui s'est emparé de mon corps.
Que je revienne à mes dix sept ans
A ces première vacances après le bac
(Avec mention je précise)
« ...Florac est une
charmante petite sous préfecture de Lozère, et c'est à quelques
kilomètres que la colo s'était installée sous tentes, pour les trois
semaines de ce mois de juillet qui s'annonçait radieux. Je venais de
passer mon BAFA et j'étais toute contente d'avoir pu décrocher ce poste
de monitrice de colonie de vacances d'un comité d'entreprise du
bâtiment. C'était une expérience nouvelle pour mois et surtout j'allais
gagner mon premier argent, c'est important à 17 ans. »
J'étais, avec
une autre mono, Nathalie, responsable d'un groupe d'une douzaine de
gamins de 10 – 12 ans, issues des banlieues nord de Paris, c'est dire
l'ambiance ! Ils étaient remuants et excités en diable, il fallait
vraiment avoir l'œil pour ne pas en perdre, compter sans cesse notre
petit troupeau, ramener l'ordre constamment car ils étaient prompte à
la chamaillerie, voir à la bagarre en règle. Mais bon c'était les
vacances, ils étaient là pour se détendre, et aussi pour découvrir un
milieu si différent de ce qu'ils connaissaient, qu'on restait quand
même assez cool avec eux.
J'avais même pris en affection un petit
Mamadou, noir comme de l'ébène et qui habitait Gennevilliers. Ses yeux
pétillaient de malice et il avait une gouaille qu'on connaissait
naguère aux titis parisiens. Bref, le camp était installé depuis une
semaine, on avait fait des grands jeux, la visite de Florac, et ce
matin là on partait avec pique nique et sacs à dos, pour une journée en
foret. Tout ce passa bien, Mamadou a bien disparu un moment, mais on
l'a assez vite récupéré, et nous étions sur le sentier du retour, notre
petite bande chantant à tue tête.
Je n'ai pas fait attention, ou je
regardais ailleurs, mais brusquement mon pied à roulé sur une pierre ou
une racine qui barrait le sentier, j'ai entendu un craquement à la
cheville gauche, et me suis retrouvée par terre, une vive douleur
m'arrachant un cri étouffé. Aussitôt la petite troupe s'agglutina
autour de mois, les commentaires fusèrent. « Elle s'est cassé la jambe »
«
ça saigne pas » « faut appeler l'hélico » « elle va mourir » conclut
Mamadou avec optimisme. Nathalie m'aida à me relever mais en vain. Je
ne pouvais pas poser le pied par terre.
Heureusement,
un groupe nous suivait, avec Jean Pierre, le directeur de la colo, une
vingtaine d'enfants et deux autres moniteurs. Il constata l'étendu des
dégâts « t'a une sacrée entorse » observa-t-il. C'est vrai que ma
cheville avait presque doublée de volume. « Tu peux pas rentrer comme
ça, je vais t'aider. » Il renvoya enfants et moniteurs devant, me pris
le bras pour le passer sur ses épaules, me pris par la taille de
l'autre main, et je me remis sur une jambe, la seule qui restait
opérationnelle, la droite. On se mit en route clopin-clopant, moi
boitillant, lui me serrant de près et me soutenant.
Jean Pierre
était un homme d'une quarantaine d'année, d'allure sportive, avec de
beaux yeux bleus qui fascinaient plus d'une monitrice. J'avais remarqué
une alliance à son doigt. Il était instit, il faisait des colos parce
qu'il aimait les enfants, et aussi pour arrondir ses ressources. Il
était sympa, surtout soucieux du bon fonctionnement du centre de
vacances. On progressait avec lenteur. J'avais le sentiment qu'il me
serrait vraiment beaucoup contre lui, et qu'il n'était peut être pas
nécessaire de me tenir la main qui était passée autour de son épaule,
mais ça ne me déplaisait pas, au contraire. Enfin je me faisais des
idées, car il était plein de sollicitude paternelle envers la pauvre
éclopée que j'étais devenue. Nous arrivâmes au camp presque une heure
après tout le monde. « Demain je t'emmène à l'hôpital de Florac pour
te faire plâtrer »
Ainsi fut fait, et les jours qui suivirent me
virent devenir la star de la colo. Tous les enfants voulurent dessiner
ou écrire quelque chose sur mon plâtre, les monitrices également, et
même Jean Pierre qui dessina un cœur transpercé d'une petite fleur.
J'aurai dû me méfier. Pour me rendre utile, puisque je ne pouvais plus
encadrer les enfants, il m'avait confié des taches administratives. Je
gérais l'intendance, faisait les comptes des achats et dépenses,
répondais au téléphone. J'aimais bien, et j'étais constamment près de
Jean Pierre toujours au petit soin pour moi. Insensiblement je me
sentais attirée par lui, non par un sentiment amoureux, je le trouvais
vraiment trop vieux,
Mais je sentais comme un mystérieux et insistant appel de mon corps.
J'avais
bien quelques amis, filles et garçons par ci par là, mais c'était
copain copain et j'étais sage comme une image. Et voilà que dans cette
ambiance de vacances, la chaleur, le soleil, mon immobilité forcée, et
surtout la présence attentionnée de Jean Pierre faisaient naître en moi
un élan de plus en plus troublant.
Ce jour là toute la colo était
partie en car passer la journée au Mt Aigoual. J'ai râlée, car j'aurais
bien aimé faire cette excursion d'où, paraît-il, on peut voir les Alpes
et la Méditerranée par temps clair, un panorama unique. Et bien sur il
faisait un temps exceptionnel. Tout le monde parti, je restais seule
avec Jean Pierre dans le camp devenu étonnamment silencieux. La matinée
passa comme d'habitude à faire des comptes et passer des commandes de
nourriture : ça dévore, une colo ! A midi, je me retrouvais seule face
à face avec Jean Pierre pour le déjeuner. C'était la première fois, je
me sentais étrangement gênée devant lui, trouvant rien à dire, n'osant
pas même le regarder dans les yeux. En fait un désir inavouable s'était
emparé de moi et je commençais à paniquer. Par cette chaleur je n'avais
mis qu'une brassière, sorte de léger soutien gorge moulant ma jeune
poitrine et une courte jupe plutôt rikiki, plus facile à mettre avec
mon plâtre. D'ordinaire j'aurais été fière d'exhiber mon nombril tout
bronzé, mais pour l'instant je me sentais contrariée, dans la crainte
d'être provocante.
Mais Jean Pierre en avait sûrement vu d'autre, il
plaisantait, évoquant des souvenirs de vacances, de colos, me parlant
des enfants, me donnant même des conseils pédagogiques. Plus il
parlait, plus je me troublais et le désirais. Le repas terminé, il me
conseilla d'aller faire la sieste. « Il fait trop chaud maintenant, va
te reposer un peu, ce soir les gamins seront excités, on est pas près
de dormir »
Sous la petite tente, je somnolais sans parvenir à
trouver le sommeil, énervée par le bourdonnement des mouches, et par
l'insidieuse moiteur que je sentais sourdre de mon ventre. Quand
j'entendis la fermeture éclair de la tente, je su que c'était lui.
C'est allé très vite. Il m'a embrassée, j'ai répondu à son baiser avec
fougue, laissant sa langue me fouiller, me sentant m'ouvrir, couler
chaudement, mon Dieu, pourvu que ça ne traverse pas la petite culotte.
Il était torse nu, je l'étreignait, j'avais perdu la tête, je fermais
les yeux, je me laissais emporter par ce feu qui brûlait en moi. Il
releva ma brassière pour libérer mes seins, les caresser tendrement. Il
se dégagea. Je le vis ouvrir un petit sachet. Un préservatif. Je
fermais de nouveau les yeux, m'offrant, écartée. Il eu quelque peine à
retirer ma jupe trop étroite, ma culotte qui collait. Je le senti au
bord. « Doucement, s'il vous plait...je suis vierge... » Il marqua un
temps d'arrêt. « Putain une vierge » murmura-t-il, sans que je sache si
c'était de ravissement ou de déception. Il s'enfonça lentement. Il buta
contre l'hymen, je senti une pression, une petite douleur. Il força, la
douleur se fit plus insistante. Il poussa encore. Je senti comme une
piqûre, comme une petite brûlure, je poussais un cri assourdi. Je le
senti pénétrer au fond, battre, gonfler, et quelque chose de chaud me
remplis. Un temps d'arrêt pour reprendre souffle, et il s'était déjà
retiré. A travers mes paupières mi-closes, je le vis ôter son
préservatif, qu'il entortilla dans un kleenex. Il redevenait mou. Il
essuya le petit filet de sang qui s'écoulait de moi. C'étai fini. Je
n'avais pas jouie, j'avais eu mal, j'étais devenue femme...Il
m'embrassa, me caressa un peu et se retira. Je m'endormi pour oublier.
La
dernière semaine du camp se passa sans autre incident. Nous ne nous
sommes plus retrouvés seuls, j'ai continué mes taches administratives,
Jean Pierre se montrait toujours aussi prévenant, mais j'avais
l'impression qu'il évitait mon regard désormais. La veille du départ,
il m'emmena de nouveau à l'hôpital pour faire enlever mon plâtre. On le
cassa en mille morceaux, je pu contempler ma cheville qui avait
retrouver une taille normale, encore bleuie par l'hématome. On me donna
une pommade à l'arnica, on me fit un bandage, et le lendemain ce fut le
départ.
Cris, excitation, nous avons recompté dix fois les enfants
pour ne pas en oublier. De mon aventure, quelques monitrices ont du
avoir des doutes. Nathalie, sûrement a deviné. Sur l'autoroute du
retour, alors que les enfants, pour une fois calmés, s'étaient
endormis, je serrais dans ma main un petit morceau de plâtre, où était
dessiné un cœur percé d'une fleur...
Vous ne devinez pas l'effort qu'il m'a fallu pour aller jusqu'au bout de mon récit.
J'ai
du puiser au fond de moi pour trouver la volonté de résister à la vague
qui à chaque instant voulait m'emporter, me noyer, lutter contre la
violence de cette irrésistible pulsion, juguler le désir et trouver les
mots.
Ma consolation est que ce fut sans doute aussi dur pour vous.
D'un léger mouvement je romps notre immobilité convenue
Votre visage se crispe
Vos mains enserrent mes seins
Une violence compulsive agite votre sexe dans mon ventre
Je m'écrase sur vous.
Un torrent brûlant coule en moi
Je gémis plus fort, je cris
Ouiiiiiiiiiii
Raconte-moi, ma chérie
Viens ma chèrie,
t'allonger nue sur mon
corps nu.
Voilà ! Comme ça ! Regarde moi !
Ecarte
tes jambes de part et d'autre des miennes.
Glisse toi vers le bas,
fais pénétrer mon sexe tendu
dans le tien, humide et
en attente...
Humm ! C'est bon... Redresse toi sur tes coudes
que
je puisse bien te regarder dans les yeux.
Laisse moi te caresser
sur tout ton corps,
du sommet de ton crâne à tes deux
fesses,
en suivant ta douce colonne centrale,
en m'échappant
pour te caresser les côtés
et tes deux seins qui
effleurent les miens...
On est bien ! Ne bouge pas !
Goûte
la douce et lente promenade de mes mains
sur ton magnifique corps
offert.
Sens la puissance de mon vit
dans ton con
ouvert.
Laisse moi picoter ton visage de mille baisers.
Et
raconte-moi une histoire.
Raconte moi la première fois que
tu as fait l'amour.
Tu avais quel âge ? Qui était ton
partenaire ?
Comment était-il ? Comment cela s'est passé
?
As-tu joui cette première fois ?
Et lui ? L'as-tu revu
?
Vas-y ma chérie. Et regarde moi en me racontant
cela.
Non ! Ne rougis pas. Tu n'as pas à avoir honte.
L'acomoclitisme
Je vous interrogeais hier : savez-vous ce que signifie "l'acomoclitisme" ? Bravo à Sofia qui a répondu juste quasiment immédiatement !
Mais qu'est-ce donc ce mot barbare ???........Il s'agit en fait du rasage pubien!!!
Le
rasage pubien est une pratique très ancienne d'origine orientale qui
retrouve actuellement une certaine popularité dans le monde occidental.
Il est très difficile de déterminer laquelle, de l'attirance sexuelle
ou de la pratique, est née en premier.
Mais qu'est-ce donc ce mot barbare ???........Il s'agit en fait du rasage pubien!!!
Le rasage pubien est une pratique très ancienne d'origine orientale qui retrouve actuellement une certaine popularité dans le monde occidental. Il est très difficile de déterminer laquelle, de l'attirance sexuelle ou de la pratique, est née en premier.
Les causes de la démocratisation de l'épilation pubienne
De nombreuses causes pourraient être à l'origine de la démocratisation de telles pratiques, citons par exemple:
- la recherche d'une meilleure hygiène,
- la généralisation du port du string trop échancré pour cacher la toison pubienne,
- la médiatisation d'un esthétisme 'lisse', que l'on retrouve également chez l'homme au niveau du torse. Cela pourrait provenir d'une volonté inconsciente de s'éloigner du modèle animal,
- la découverte de nouvelles sensations lors de rapports sexuels
Les causes de la démocratisation de l'acomoclitisme
Parallèlement, l'attirance sexuelle, donc l'acomoclitisme à proprement parlé, semble elle aussi naître de nombreuses sources:
- l'influence de la pornographie moderne, idée que certains réfutent,
- la recherche d'une virginité artificielle,
- la recherche d'une certaine humiliation ou soumission.
L'acomoclitisme est étroitement lié au rapport à l'enfance, et au passage parfois difficile à la vie adulte. Il existe également une ambiguïté, relativement troublante, entre le sexe rasé d'un adulte et celui d'un enfant, dépourvu de facto de poil.
L'Histoire et l'acomoclitisme
Les premières traces de l'acomoclitisme se trouvent chez les Égyptiens (même si les premières pinces à épiler se trouvent dans des tombes préhistoriques). Le pharaon Ramsès II imposait l'épilation intégrale à son harem. Les prêtres et prêtresses étaient également fréquemment épilés en signe de pureté. Dans le monde gréco-romain, l'épilation était d'usage et considérée comme allant de soi. Dans les religions musulmane et judaïque l'épilation intime est parfois pratiquée dans certaines régions.
En Europe, l’épilation, pourtant courante à certaines époques du Moyen-Âge, est devenue plus rare à la suite principalement de deux événements :
- Catherine de Médicis aurait exigé, dans les derniers jours de se vie, que les femmes de sa cour cessent de s'épiler .
- A la découverte des indiens d'Amérique, les colons découvrirent ces individus presque imberbes, qu'ils considéraient comme des sauvages. Les colons se devaient de différencier leur civilisation et auraient alors choisis d'être plus poilus que les indiens .
Plus récemment, les mouvements féministes de la fin des années 60 s'opposaient à l'épilation.
Il aura fallut attendre la fin des années 90 pour que le monde occidental redécouvre l'acomoclitisme.
Vocabulaire
Je viens de découvrir un mot nouveau...
Je viens de découvrir que je suis acomoclitique !
Et oui ! Pas mal, hein !
Vous savez ce que c'est ?
Faites vos propositions...
Réponse demain dans la journée...