Réponse à l'invitation !
Il y a quelques temps, j'ai écris un texte en pensant à une amie du blog... Viens là, près de moi... Et bien voici la suite... racontée par elle. Elle souhaite pour le moment garder l'anonymat... Tant mieux. Je la garde pour moi tout seul...
Tu me lis, tu me regardes, tu me veux. Ton invitation ne se refuse pas, elle est trop tentante. Oublions le virtuel, place au réel !
Tu as parcouru cette route, tu es venu jusqu'à moi. Tu as choisi un lieu propice à notre rencontre, un endroit calme et entouré de nature. Cette attention m'a enchantée.
Et maintenant que je suis là, que j'attends ton arrivée, je suis perdue. Ce que tu as vu et lu de moi est une chose. Qu'en penseras-tu dans la crudité du concret, dans la vérité du réel ?
On frappe à la porte. Je m'agite. Je jette un regard furtif au miroir. Cette jupe courte, légèrement bouffante et couleur prune, devrait te plaire. Du moins, je l'espère.
J'ouvre... et te découvre. Malgré un sourire intimidé sur mes lèvres, je te lance un "Bonjour" éclatant.
- Bonjour ma douce et belle amie. Tu es encore plus ravissante en chair et en os !
Je rougis et t'invite à entrer.
Nous prenons notre temps. Tu t'installes confortablement dans le fauteuil de la chambre, je te sers un peu de vin que j'avais pris soin d'amener avec moi. Nous trinquons joyeusement à notre rencontre.
La conversation bat son plein, comme à notre habitude. Dernières confidences échangées, impressions détaillées, opinions partagées. La seule différence est notre présence charnelle. Mais cette différence a toute son importance.
Tu me redis ton désir, je succombe à nouveau à l'entendre. Je me rapproche. Ma jambe se montre curieuse et remonte lentement le long de la tienne, jusqu'à ton entrejambe. Sourire en coin, oeil mutin, je prends conscience que tu ne mens pas. Tu es déjà dur, trop à l'étroit.
L'appel du pied se mute en appel du corps. Je me lève et m'assois sur toi, à califourchon. Sans prononcer un mot, je t'embrasse doucement, puis effrontément. Tu réponds à mon audace avec beaucoup d'engouement. Tes mains me parcourent, soulevant ma jupe, lui donnant encore plus de bouffant. Tu ne tardes pas à découvrir ma surprise. Aucun barrage n'arrête ta main exploratrice et tu souris à cette attention.
Tu me trouves donc déjà humide et prête à t'accueillir. Je ne te laisse pas le temps de me dévêtir, je ne fais moi-même. J'ôte donc mon petit haut, libérant par la même occasion mes seins nus de toute lingerie. Tu y plonges immédiatement tes lèvres, m'arrachant quelques gémissements de plaisir.
Je prends les choses en main. Déboutonne ta chemise, déboucle ta ceinture et offre à ton vit tout l'espace qu'il mérite et dont il a besoin. Plus je le caresse, plus il se dresse, fier et droit, insolent presque. Je te laisse encore goûter à ma bouche avant de décider de te prendre dans la mienne.
Ma langue s'enroule autour de ton gland déjà décalotté, je te suce avec gourmandise. Je m'active pendant que tes mains pétrissent mes fesses et s'enduisent de ma cyprine.
Et quand la brûlure de mes reins devient trop pressante, je t'invite à pénétrer en moi. Mes lèvres s'ouvrent doucement tandis que je descends sur ta verge turgescente pour mieux te sentir monter en moi. La chevauchée prend de l'ampleur, nous partons au galop. Et avant que je n'exulte, tu me bascules soudainement sur le sol et m'infliges tes derniers coups de reins souverains et dévastateurs. Nous nous perdons alors dans nos cris de jouissance.
Photos empruntées à Chimères érotiques