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Le Démon de Midi
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30 décembre 2009

La ronde des jurons

Rien d'érotique dans cette chanson de l'ami Georges (Brassens). Mais pour le seul plaisir !...

Voici la ron-
de des jurons
Qui chantaient clair, qui dansaient rond
Quand les Gaulois
De bon aloi
Du franc-parler suivaient la loi
Jurant par-là
Jurant par-ci
Jurant à langue raccourcie
Comme des grains de chapelet
Les joyeux jurons défilaient

Tous les morbleus, tous les ventrebleus
Les sacrebleus et les cornegidouilles
Ainsi, parbleu, que les jarnibleus
Et les palsambleus
Tous les cristis, les ventres saint-gris
Les par ma barbe et les noms d'une pipe
Ainsi, pardi, que les sapristis
Et les sacristis
Sans oublier les jarnicotons
Les scrogneugneus et les bigr's et les bougr's
Les saperlottes, les cré nom de nom
Les pestes, et pouah, diantre, fichtre et foutre
Tous les Bon Dieu
Tous les vertudieux
Tonnerr' de Brest et saperlipopette
Ainsi, pardieu, que les jarnidieux
Et les pasquedieux

Quelle pitié
Les charretiers
Ont un langage châtié
Les harengères
Et les mégères
Ne parlent plus à la légère
Le vieux catéchisme poissard
N'a guèr' plus cours chez les hussards
Ils ont vécu, de profundis
Les joyeux jurons de jadis

Tous les morbleus, tous les ventrebleus
Les sacrebleus et les cornegidouilles
Ainsi, parbleu, que les jarnibleus
Et les palsambleus
Tous les cristis, les ventres saint-gris
Les par ma barbe et les noms d'une pipe
Ainsi, pardi, que les sapristis
Et les sacristis
Sans oublier les jarnicotons
Les scrogneugneus et les bigr's et les bougr's
Les saperlottes, les cré nom de nom
Les pestes, et pouah, diantre, fichtre et foutre
Tous les Bon Dieu
Tous les vertudieux
Tonnerr' de Brest et saperlipopette
Ainsi, pardieu, que les jarnidieux
Et les pasquedieux

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30 décembre 2009

Ce matin...

... dans la solitude...


aa

29 décembre 2009

Songeuse

aa

29 décembre 2009

Vibrations...

aa

28 décembre 2009

Grâce !

Elle fait rêver, non ? Hommes et femmes !


aa

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27 décembre 2009

Soirée spéciale...

Une jeune amie m'envoie ce texte. Fantasme quand tu nous tient !... Merci à toi et bises.
Et vous autres, sachez que je suis preneur de vos textes érotiques...

Dimanche soir. C’est toujours triste le dimanche soir, la veille du lundi. Le week-end déjà fini. Pourquoi ne pas profiter de cette fin de week-end ? Je sors boire un verre dans le bar que tiens un ami. J’y aime l’ambiance festive ou simplement m’installer seule à la terrasse et regarder les gens passer, regarder les gens vivre… Mais pour l’heure, il fait nuit et les derniers clients quittent déjà le bar, seulement quelques habitués disputent une partie de carte dans le fond de la salle. Je suis seule au comptoir avec mon ami. Sa femme est déjà couchée, l’heure tardive, les quelques verres de whisky que l’on a partagé, notre conversation devient de plus en plus intime. Il me fait partager ses plus beaux moments, ses plus beaux souvenirs. Comme cette fois où rentrant de la plage avec sa fiancée du moment, sous une chaleur étouffante qui persistait depuis des jours, un orage se mis à sévir. Le plaisir de la pluie au contact de leur peau, l’envie irrépressible de se dévêtir pour savourer ce bonheur, et leurs deux corps en chaleur et mouillés qui s’unirent. Puis, nous parlons chacun de notre couple, s’accordant sur le fait que la monogamie a le désavantage de ne plus permettre le plaisir de la rencontre, le jeu de la séduction,  ces moments magiques où l’on découvre l’autre, où tout est permis… Je lui confie mon envie de faire l’amour, partager un moment avec un homme, inconnu qui me ferait vibrer et vivre cette sensation que nous convoitons.« -Ose. Fais-le.
- Chiche. Mais où le trouver ? Et surtout, comment le choisir ? Comme savoir qu’un homme sera un bon coup ? Qu’il me fera jouir ?
- Viens, je t’emmène »

Nous voilà, sur sa moto, en route pour une destination qui m’est encore inconnue. L’air frais qui s’engouffre dans mon casque, le contact de mes mains sous son blouson, cette escapade à l’aventure me grisent.
Il s’arrête devant un bâtiment dont le perron est à peine éclairé de son enseigne « le Manoir ». Il m’informe qu’il s’agit d’un club libertin où il aime aller.
Je suis déçue, je ne m’attendais pas du tout à cela. J’imaginais bien d’autres lieux où il aurait pu m’emmener. Il sent ma réticence et me prends pas la main, me rassure, m’explique que si je suis mal à l’aise nous partirons immédiatement.
Puisque nous y sommes autant entrer. Nous sommes accueillis par une charmante hôtesse que mon ami semble bien connaître vu le bonjour chaleureux qu’ils s’adressent. Nous sommes conduits dans le salon d’accueil où je suis surprise par le décor, l’atmosphère. La décoration est douce, raffinée, les couleurs sont accueillantes, les gens discutent amicalement autour d’un verre. Rien de trash, de vulgaire, d’oppressant. Les hommes sont prévenants envers les femmes qui sont élégamment vêtues. L’on croirait assister à un diner chez des amis. Nous nous asseyons et commandons un cocktail. Je m’excuse pour rejoindre les toilettes. Mais en réalité je ne veux que m’égarer dans les différents recoins de ce lieu pour les découvrir seule. Plusieurs salles, toutes aussi sublimes se succèdent dans un long couloir. Des petits panneaux aux noms évocateurs indiquent leur usage. « Salon des rencontres », « chambre d’amis » « plaisirs charnels » « amours saphiques » « tourbillon de saveurs » « plaisir des sens », toutes ces salles sont assez petites mais toutes ont des vitres en guise de cloison permettant à tout un chacun d’en observer les personnages.

Je me laisse guider de salle en salle, à découvrir ces couples d’un jour qui se découvrent, s’embrassent, se caressent. Ils ne se connaissent qu’à peine mais ici, ce soir, ils vont s’aimer sans retenue. Je suis abordée par quels hommes qui me proposent de les accompagner sur un divan pour « faire connaissance ». Je refuse toutes ces propositions. Oui, j’ai bien dit que je voulais faire l’amour avec un inconnu … mais pas comme cela, je ne peux me résoudre à imiter les femmes présentes. Et pourtant j’avoue que la vision de tous ces couples m’excite.
Cela fait quelques temps que j’ai laissé mon ami, je vais le rejoindre. Je le retrouve à une table de salon entouré de deux charmantes demoiselles. Six mains. Une main posée sur une épaule, deux mains sur des cuisses ; une main glissée dans un décolleté, deux autres mains que je ne vois pas …

En me voyant arriver, il se dégage et me rejoins en m’enlaçant et m’embrassant tendrement sur la joue. Je suis surprise de ce geste de sa part. Il me demande mes impressions ; je lui explique que je ne suis pas prête à franchir le pas mais lui confesse l’émoi ressenti.
Toujours en me tenant pas la main, il m’attire vers une porte que je n’avais pas remarquée lors de mon périple initiatique et la ferme grâce à une petite clé qu’il porte en pendentif à son cou, privilèges des habitués me dit-il. Nous nous retrouvons seuls, à l’abri des regards, dans une grande pièce tapissée de miroirs meublée uniquement d’un lit rond. La décoration y est digne d’un hôtel trois étoiles.
Il m’allonge sur le lit et s’étend à mes côtés. Comme une évidence, nos lèvres s’aimantent, nous mains parcourent nos corps avec habilité. Il est calme, posé, attentif et délicat alors que moi je suis excitée, impatiente, avide de goûter avec lui aux plaisirs de l’amour. Ce contraste entre nos deux attitudes est la cause du moment magique que nous avons passé ensemble.

En quittant ce club au petit matin, je me suis rendue compte que chaque libertin, en partant, passant forcément devant la pièce où nous avons pris tant de plaisir … qui est dotée de miroirs sans tain. Cette révélation m’a procuré une nouvelle décharge d’excitation, et nous avons à nouveau fait l’amour sous le porche devant lequel était garée la moto.

26 décembre 2009

Un peu de douceur dans ce monde de brutes !

aa

bb

26 décembre 2009

Ce n'est pas moi...

... mais ça pourrait l'être !
Baisers les amies.


aa

25 décembre 2009

Lettre ouverte au Père Noël

Salut, Père Noël,
Excuse cette familiarité, mais je ne crois pas en toi. Ben non ! Que veux-tu ! On pourrait attendre tellement plus de toi. Encore cette année : je t'avais demandé les coordonnées d'une belle femme qui habiterait près de chez moi et qui aurait envie de faire l'amour de temps à autre avec un homme comme moi. Pourtant pas difficile. Il y en a certainement. Au lieu de quoi j'ai eu ma 19ème cravate alors que je n'en mets pratiquement pas, une eau de toilette qui pue, une boîte de petits cigares alors que je veux arrêter de fumer. Bon, les CD c'était pas mal. Mais j'en avais donné très précisément les références...  Mais bon, je passe. Encore une fois. Je ne te dis pas merci à toi.
Alors, fainéant. Tu as fini ton travail maintenant. Un an à ne rien foutre. Alors que tu pourrais tellement faire. Tu es connu dans le monde entier. Tu as des relations, du fric... Alors pense à peu. Imagine ce que tu pourrais faire au lieu de te branler et de lutiner Madame Noëlle.
Je te conseillerais de faire des cadeaux collectifs. Pas des jouets à la con qui abrutissent nos enfants et son cassés au bout de 3 jours. Non. Des cadeaux pour tout le monde.
Par exemple la paix dans le monde. Tu pourrais pas arrêter ces guerres de bandes dans nos quartiers ou ces guerres entre pays ? Entre parenthèse, si tu avais offert des poupées Barbie à Bush au lieu de lui offrir des armes en plastique et des soldats de plomb, le monde n'en serait peut être pas là ! Tu vois les conséquences de tes conneries. Alors tâche de changer la mentalité des hommes (et des femmes aussi) : moins d'orgueil, moins de mépris, de volonté de puissance et de domination... Tu peux faire ça, non, quand on voit comment au moment de ta venue, tout le monde ou presque devient un peu plus doux...
Ou alors qu'il n'y ait plus de misère. C'est lié d'ailleurs. La guerre provoque la misère et la pauvreté provoque les tensions et la guerre. Mais attention. Pas n'importe comment. Pas en assistant les pauvres. Ils en ont rien à foutre de l'assistance, les pauvres. Ce qu'ils veulent c'est des droits : droit au logement, à la santé, à l'éducation, au respect, à vivre au milieu des autres... C'est pourtant simple. Les mêmes droits que tous. Ni plus ni moins. Les africains, qui s'y connaissent question assistance, disent que la main de celui qui donne est toujours au dessus de la main de celui qui reçoit. Celui qui donne se donne à lui un pouvoir sur celui qui reçoit. "Tenez mon brave ! Voilà 50 centimes. Mais surtout n'allez pas boire avec !". Qu'est-ce que ça peut foutre. On lui donne, on lui donne. Et s'il veut boire un coup pour se réchauffer ou oublier la merde où il est, c'est son droit. "Tenez, cher Pays, on vous donne une subvention pour construire une école. Mais votre gouvernement doit être comme le nôtre. Et puis vous nous laissez piller vos quelques richesses : votre bois, votre or, votre pétrole, votre café... Et puis encore, vous nous laissez implanter nos usines chez vous et on y fera travailler votre population en la payant presque pas. Ok ? Donnant, donnant"... C'est ça l'assistance. Alors, Père Noël, invente autre chose...
Tu pourrais aussi faire qu'il n'y plus d'enfants malheureux. Un enfant heureux sera un adulte à l'aise dans ses baskets. C'est pas en leur donnant des jouets que tu les rends heureux. Mais en faisant qu'ils aient une vraie éducation, qu'ils ne soient pas utilisés pour travailler ou faire la guerre ou comme esclaves sexuels. En faisant qu'ils soient dans leurs familles qui aient les moyens de leur apporter ce dont ils ont besoin et en premier l'amour. Et oui, les pauvres aiment leurs enfants même si parfois ils n'ont pas les moyens de le montrer... Alors retirer les enfants de leurs familles, y'a rien de pire.
Voilà le genre de choses que tu pourrais offrir au monde. Pas mal, non ?!... Et si tu y arrives, y'aurait plus besoin de tes cadeaux pour faire semblant d'être heureux le temps d'une nuit. On le serait tous tout le temps.
Et si tu y arrives, alors certainement je croirais en toi, Père Noël.
Allez, salut. Et au boulot.

PS : j'écris la même lettre à ton compère Dieu. Je ne crois plus en lui non plus. Que veux-tu ! Voilà un Dieu qu'on dit être partout et qu'on ne voit nulle part et jamais là où il faudrait. Et ses accolites disent qu'il est un père aimant. Moi, mes enfants, même s'ils sont grands, je n'accepte pas qu'ils souffrent ou se déchirent. Je cherche à les aider... Allez, cette fois, ciao !

Je n'ai pas résisté au plaisir de re publier cette lettre que j'avais écrite l'année dernière au Père Noël. Elle est toujours valable. Je n'y ai pas touché même si j'aurais pu y rajouter quelques petites touches à propos de notre ami le petit Président de la France, ou à propos de Copenhague où nos gouvernants se sont bien foutu de la gueule du monde, ou à propos de nos chers banquiers qui se sont vite remplumés sur le dos de nous tous, ou de ces gros c... de racistes qu'on trouve de plus en plus même chez nos gouvernants... Oui, vraiment inutile ce Père Noël !... Il aurait tant à faire !

24 décembre 2009

Cadeau

C'est Noël...
L'heure du Père Noël
Alors, je vous offre ces corps.
Corps de femmes.
Corps d'hommes.
Selon qui vous êtes.
Selon vos préférences.
Vous choisirez celui ou celle qui vous plaira.
Pour rêver. Imaginer. Fantasmer.
Du désir. Du plaisir.
Quoi de plus beau à offrir.

Faa
Haa
Fbb
Hbb
Fcc
Hcc
Fdd
Hdd

Quand à moi... je ne suis pas exigeant.
Je me contenterais du vôtre. Mesdames.
Pour me blottir contre lui,
le couvrir de caresses et de baisers.
Pour le faire frémir.
Pour lui offrir tant de plaisir...

Joyeux Noël

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