Je pique à "Orage" son idée.

Le jeu de la Vérité.

Posez-moi les questions que vous voulez.

Je tâcherai d'y répondre... en vérité.

Vraiment, l'un de mes fantasmes les plus forts.
Me retrouver ainsi avec deux femmes qui s'aiment.
Pas forcément les pénétrer d'ailleurs.
Tout simplement jouer au voyeur.
Les regarder. Les effleurer.
L'une et l'autre, les caresser.
Accompagner leurs caresses pour les intensifier.
Mettre mon corps, mon sexe, à leur disposition
pour qu'elles s'en servent comme d'un godemiché...
Ne voudriez-vous pas m'inviter ?

J'aime ainsi me laisser porter par un dessin, une photo,
laisser mon imagination s'envoler portée par ce que ce dessin ou cette photo évoque.
Pour me renouveller, ne voudriez vous pas m'en envoyer ?...
D'avance merci.

A toutes les femmes qui fréquentent assidûment mon blog,
à vous toutes qui me dites l'aimer et y revenir régulièrement ,
à celles particulièrement qui me racontent les sensations qu'elles ressentent
en se promenant de jour en jour à travers mes textes et mes illustrations,
qui me disent le chemin de leurs mains pour calmer leur désir
provoqué par mes textes et mes fantasmes,
à celles aussi qui me font, en échange, entrer dans leur intimité,
qui me dévoilent leurs envies, leurs fantasmes, leurs rêves,
à vous toutes, je veux dire un grand merci
et combien vous me faites rêver …

Il me prend parfois de rêver que je vous invite toutes,
en même temps, pour une soirée, un week-end,
où nous ferions pour de vrai connaissance,
où nous nous dirions ce que nous nous écrivons,
où nous nous autoriserions à vivre tous ensemble
certains de nos fantasmes, certaines de nos folies.
Ce serait la fête de l'érotisme. Nos corps se libèreront.
Telle et telle, vous vous rencontrerez :
toutes deux m'avez avoué cette envie d'aimer une autre femme.

D'autre fois je m'imagine maître d'un Harem
où chacune de vous aurait sa place, dans le respect mutuel.

Ou alors, pour rester dans le virtuel, pourquoi pas un nouveau blog,
dont nous serions ensemble et chacun les rédacteurs,
où chacun à sa guise adressera aux autres du groupe
un mot d'amour, une caresse, une envie.
Un Harem virtuel dont je resterais l'unique mâle
mais où chacune aurait le droit d'aimer aussi une autre.
Nous serions acteurs et spectateurs les uns des autres.
Ce serait notre Harem virtuel où nous nous exprimerions
d'abord pour notre propre plaisir et puis aussi celui de nos visiteurs.

Une idée ainsi lancée. S'en saisira qui le voudra bien…
Trois ont déjà dit oui.
Il en faut d'autres pour que ce soit plus drôle !
Et alors, pourquoi pas…

Rappel :
Des femmes qui aiment mon blog et auraient envie de s'amuser
voudraient-elles rejoindre... mon Harem ?
Merci de me dire.

Viril ? Vous en pensez quoi, Mesdames ?
(ceci est un clin d'oeil à mon amie Volcane)

Cet instant délicieux,
quand dans la séquence déshabillage
alors qu'il ne nous reste plus grande chose
sa main force ce dernier barrage
et se faufile entre peau et tissu.
Instant délicieux de ce premier contact,
premier effleurement
ou sa main atteint ce lieu,
centre névralgique du plaisir à venir.

photo emprunté à Diablo

La suite, je vous la laisse deviner.
Je vous la laisse même raconter !
Mesdames, qu'allez-vous faire maintenant
de cet objet que vous tenez à pleine main ?

En lisant les aventures de l'Abbaye de Saint Plaisir, particulièrement "la leçon de Sœur Anne", une jeune lectrice, Anne justement (ce n'est tout à fait pas un hasard), a eu quelques émotions. Elle m'écrit :
On y découvre une soeur Anne plus vrai que nature, sensuelle et généreuse, usant de sa (courte) expérience pour enseigner soeur Alice. Mon Dieu, comme tout cela est tendrement pervers. A le lire, et le relire, j'ai laissé une main s'égarer à l'endroit du péché, tout humide d'impatience. C'est en rougissant de honte que je vous avoue avoir connu alors un plaisir intense. Il reste que nous devrons nous confesser au Père Damien, dont nous connaissons la sévérité, et redoutons déjà la pénitence. Sur ces pieuses pensées, je vous quitte pour ce soir. Mon ami rentrera tard de son entraînement de volley. Comme soeur Anne, ne voyant rien venir, j'attendrai le sommeil et accompagnerai mes rêveries érotiques de consolantes caresses.

Je lui réponds :
Mais cet endroit n'est pas le lieu du péché, ma soeur ! Au contraire, celui où on se rapproche de la grâce de Dieu. Sinon pourquoi l'aurait-il fait si attirant, si sensible, si compatible avec celui du sexe opposé si ce n'est pour en user et en tirer du plaisir. S'en servir donc est une sorte d'action de grâce. Alors va en paix, ma fille, et joue autant que tu veux avec...
Je ne crois pas que le père Damien sera sévère. Il est bon et est là pour apprendre aux jeunes souers tout le plaisir que Dieu peut leur offrir... Mais cela reste à écrire !...
Que j'aurais voulu être là quand tu lisais ce texte et attendais ton sportif de copain ! Quoi ! Etre responsable d'une telle émotion et ne pas pouvoir aider à la canaliser... Ne même pas être là pour consoler...
Permet moi un baiser sur cet endroit qui a attiré ta main....

Elle m'écrit de nouveau
Cher Démon
Quel réconfort de vous lire, de bénéficier de votre indulgence. Oui, de vieux restes d'éducation chrétienne me culpabilisent encore, mais soyez sans crainte, je m'émancipe de jour en jour, et pour cela l'aide de mon ami m'est précieuse. Mais la votre aussi certainement. Il est vrai que vous auriez du partager cet instant où ma main et parti à la recherche du plaisir naissant, l'autre étant occupée à actionner la souris pour faire défiler votre récit si touchant. Mais pourquoi diable cet homme bleu en érection ? sa décoloration m'a bloquée, j'aime trop le naturel pour qu'un artifice quelconque ajoute à mon émoi. Vous décrirai-je la lente progression du majeur s'insinuant dans la fleur humide qui s'ouvrait ? Oui, car cela fut grace à vous. Mon pouce éfleurait un clitoris fièvreux, alors que la progression se poursuivait, avec l'aide de l'index cette fois. Vous décrirai-je la palpitation du plaisir dans mon ventre ? Oui, car je vous la doit. Bien sur j'ai résisté, vous imaginez bien que j'aime attendre, que j'aime prolonger le temps qui précède la fulgurance, mais quand elle survient et me tord, je m'y livre sans résistance, elle m'emporte irrisistiblement vers le bonheur suprême. Quand mon ami me retrouva au lit, chaude et désirante, il sut avec délectation profiter de cette bonne fortune.

Je lui ré-écris...
Chère Soeur Anne,
Dans quel état tu te mets ? Et dans quel état tu me mets ?... Mais j'imagine bien le chemin de tes doigts dans ton puits d'amour, les caresses sur ton clito, le long des parois... J'aime regarder mes amies le faire... Et bien sûr souvent ma main a remplacé la leur et a suivi ce même chemin... C'est fascinant de voir, de sentir dans tout son corps ce que peut provoquer une si petite caresse en un lieu si délicat... Pas besoin d'une grande amplitude ni d'une forte pression... Trouver l'endroit avec précision. Mais sans doute ne ressens-tu pas la même choses quand c'est ton ami qui te fait cette caresse que quand c'est toi qui te la fais. De même je ne ressens pas la même chose quand les soirs de solitude je me caresse que quand je suis avec une amie qui m'offre ces caresses. C'est certainement meilleurs avec elle, parce qu'il y a tout le reste avec...
Je suis heureux que mes textes t'aident à atteindre le 7ème ciel, ma soeur.

C'est pour une enquête de la Sofres...
Mesdames,
- quelle est la caresse que vous préférez recevoir ?
- quelle est la caresse que vous préférez offrir ?
Comment ? Pourquoi ? Racontez...
Merci pour vos réponses.