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Le Démon de Midi
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22 octobre 2014

Lorsque...

Réédition

Lorsque pour la première fois je l'ai vue,
chez des amis communs, la belle inconnue,
j'ai été impressionné par tant de beauté,
sa finesse, ses courbes et son port altier.

Lorsque nous avons commencé à parler,
j'ai été touché par la douceur de sa voix,
sa finesse, son humour et son franc-parler.
Nous ne nous sommes plus quittés de la soirée.

Lorsque nos mains se sont jointes dans la voiture,
alors que je la reconduisais chez elle,
je me suis senti de bonheur frissonner
et une boule de chaleur dans mon ventre se créer.

Lorsque mes lèvres se sont posées sur sa joue,
et que les siennes furtivement  ont effleuré ma peau,
alors que, à sa porte, nous devions nous séparer,
je me suis mis à terriblement espérer.

Lorsqu'elle m'a invité à monter prendre un café
mon coeur a bien failli de joie exploser,
tant j'étais devenu à elle si attaché
que je ne voulais point en être séparé.

Lorsque la porte fut refermée, que dans l'entrée
nous nous sommes mutuellement, fermement enlacés,
je me suis mis, sur tout son corps à la caresser
appréciant sur le mien la promenade de ses mains.

Lorsque nos corps furent entièrement déshabillés,
que nos peaux l'une à l'autre se sont collées,
j'ai été d'autant plus impressionné
par sa douceur, sa fraîcheur et sa beauté.

Lorsque mes mains vives ont pu la caresser,
suivre chacune de ses courbes de la tête aux pieds,
couvrant et découvrant chaque rotondité,
par une telle perfection j'ai été émerveillé.

Lorsque sur le grand lit elle s'est allongée,
que de ma bouche je me suis mis à la goûter,
sur sa poitrine et dans son intimité,
par son goût et son odeur j'ai été ennivré.

Lorsqu'après tant de caresses mutuelles échangées,
doucement, de ma virilité dressée
ses chairs roses, chaudes et humides j'ai écartées,
je l'ai sentie de plaisir et d'attente se cabrer.

Lorsque je me suis en elle, lentement promené,
que sous mon corps, vivement elle s'est agitée,
en échangeant sur tout le corps caresses et baisers,
au bout d'un temps, tous deux, nous avons explosé.

Et lorsque nos esprits, nous avons retrouvés,
que nous nous sommes de nouveau très fort enlacés,
caressés, embrassés, pour nous remercier,
tous les deux nous étions parfaitement comblés
de cette merveilleuse félicité et déjà prêts... à recommencer.

 

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Commentaires
M
Et c'est à ce moment là que le réveil a sonné ?<br /> Parce que moi c'est ce qui m'est arrivé<br /> pas plus tard que ce matin<br /> au grand dam de mes reins ;-)
Répondre
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