Plaisirs...

La tête posée sur ton ventre,
mes doigts caressent ta toison…
C'est doux ! C'est beau !
Au-delà de cette petite colline boisée,
mon regard voit tes longues cuisses fines,
légèrement écartées.
Ma main court sur l'une d'elle,
revient en frôlant l'intérieur,
et passe sur l'autre.

Au bout de plusieurs de ces voyages,
après être passée aussi sur le pli de l'aine,
puis de l'autre,
de nouveau elle se pose sur ce pubis
et de nouveau mes doigts caressent ta toison.
L'autre main ne reste pas inerte
et elle passe doucement sous ton corps
que doucement tu soulèves
pour qu'elle atteigne tes fesses.
Elle les caresse, les malaxe, s'insinue entre elles,
elle les pétrit, en fait le contour,
goûte l'extrême sensation de les sentir sur elle.
Et toujours mes doigts caressent ta toison,
ils s'attardent là pour exacerber ton impatience…
Pour me montrer que c'en est assez d'attendre,
que tu veux davantage,
tu écartes un peu plus les jambes
et tu donnes un léger coup de rein
pour que mes doigts ripent vers ta fente.
Légèrement, ils remontent
s'insinuant facilement tant elles sont humides
entre tes lèvres odorantes.
Et là ils trouvent ton petit bouton
qui, tel un phallus, se durcit et légèrement s'allonge.
Ils jouent avec, le titillent, le font rouler sous eux,
en font le contour, s'y mettent à deux
pour le saisir et le caresser.
Ton ventre se soulève. J'y entends battre ton cœur
de plus en plus fort…
Un nouveau léger coup de reins
et voilà mes doigts glissant dessus
ta grotte chaude et luisante.
Pas besoin de beaucoup s'acharner
pour en faciliter l'entrée,
ta liqueur l'a bien lubrifiée.
Doucement, presque discrètement,
un doigt y pénètre, puis deux.
Ils restent là, un moment,
goûtant la chaleur et l'humidité,
heureux de pénétrer ton intimité.
Puis ils s'agitent, pénètrent un peu plus,
caressent les parois, font semblant de sortir
pour mieux entrer plus loin encore…

J'entends ton cœur battre à tout rompre,
ta respiration s'accélérer.
Au rythme du mouvement de mes doigts,
tu soulèves tes reins,
permettant à l'autre main
d'être elle aussi aimante
avec tes fesses qu'elle tient…
Tu te raidis. Tu refermes tes cuisses,
enfermant ma main dans ton antre secrète.
Tu halètes, tu me tires les cheveux,
tu m'appuies la tête contre ton ventre nerveux.
Et tu jouis une première fois,
poussant un cri,
et, femme fontaine, secrétant abondamment.
Ca dure une éternité qui pourtant n'est qu'un instant.
Puis tu te relâches. Tes cuisses s'ouvrent,
libérant ma main pleine de ton foutre.
Et la tête toujours sur ton ventre,
je porte ces doigts vers ma bouche
pour goûter ce nectar dont tu les as imprégnées,
pour sentir cette odeur enivrante et sucrée
du plus profond de ton intimité,
du plus profond de ta jouissance.

Et de mon corps je couvre le tien,
mes lèvres vont à la rencontre des tiennes,
nous nous enlaçons fermement.
nos langues se mêlent et tu peux te goûter à ton tour.
Mais je ne veux pas en rester là.

Je me glisse tout entier vers le bas de ton corps,
entre tes cuisses que tu ouvres largement,
genoux relevés, les talons contre tes fesses.
A plat ventre contre toi, j'enserre tes jambes,
je les couvre de baisers, je les caresse.
Mille baisers je dépose aussi
sur le bas de tes fesses ainsi exposées,
et sur ton sexe ouvert ainsi présenté.
Je hume à m'en enivrer, le parfum de ton intimité.
A petits coups de langue,
je titille ton petit bouton, puis je l'aspire,
l'enserre entre mes lèvres serrées,
je le tête, je l'embrasse, je le lèche,
je l'aspire, je le presse…
Puis c'est toute ta fente qu'à grands coups de langue,
je lape. Langue que je fais pénétrer
après avoir écarté tes lèvres de mes lèvres,
au plus profond de toi, la faisant aller et venir
aussi loin que je peux.
De nouveau tu te tortilles, tu halètes,
tes reins venant à la rencontre de ma bouche,
cherchant un nouveau plaisir
qu'une nouvelle fois tu auras
dans un énorme spasme, un gigantesque orgasme.
Je bois directement à la source
ton copieux nectar,
m'en remplissant la bouche pour mieux te le redonner.

De nouveau je remonte sur toi,
nos lèvres se retrouvent, nos langues s'emmêlent,
partageant ce délice qui vient du fond de toi.
Au passage, mon sexe impatient
dans le tien s'est fiché,
et c'est tout enlacés,
sans presque bouger,
qu'à mon tour en toi,
j'ai trouvé l'extase
dans un orgasme décuplé
de l'avoir tant attendu.

Et c'est heureux et repus,
que nous nous sommes enlacés,
que nous nous sommes embrassés,
que nous nous sommes caressés et
que nous nous sommes endormis.

Comments

[La Hussarde]

C'est un vrai plaisir de vous retrouver ;) JE pense qu'en venant me visiter vous me reconnaîtrez cher ami...Je vous mets tout de suite dans mes "hommes d'armes" car je sais que vous le avlez bien.