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Le Démon de Midi
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17 octobre 2013

Dans le petit bois, derrière chez moi...

Réédition

Derrière chez moi, y'a un bois, le plus joli des bois... Non ! faut pas exagérer ! Mais j'aime aller y faire un tour, surtout le soir des beaux jours, après le dîner... Et ce soir là, ce petit bois avait un charme particulier...
Un moment, le sentier que je suis longe un parking aménagé le long de la nationale qui passe là. Et ce soir-là, une petite Fiat y est arrêtée. Et, appuyées contre la carrosserie, deux femmes sont enlacées et s'embrassent à pleines bouches, leurs mains parcourant leurs corps. L'une d'elle, belle femme, fine, élégante, n'est pas loin de la quarantaine. Elle est vêtue d'une robe légère boutonnée sur le devant. L'autre, beaucoup plus jeune. Elle pourrait presque être sa fille. 25 ans maximum. Jolie aussi, menue, vêtue d'une minijupe et d'un tee-shirt.
Le spectacle est beau. Je me cache discrètement derrière un bosquet et admire !
Au bout d'un temps, l'ainée s'écarte, ouvre le coffre de la voiture, y prend une couverture et entraîne sa jeune amie à l'intérieur du bois. Tout en marchant, elle commence à déboutonner le haut de sa robe. Elles s'arrêtent non loin de moi. Elle étale la couverture au sol, là où il y a de l'herbe. Et en se redressant, tout en ôtant ses escarpins en les lançant d'un coup de pied, elle fait passer sa robe par dessus sa tête et se retrouve avec uniquement un joli petit string en dentelles noires, les seins, magnifiques, en pleine liberté. Elle s'approche de la fille qui a également ôté ses sandales. Sans attendre et sans hésiter elle lui enlève son tee-shirt. Elle non plus ne porte pas de soutien-gorge. Ses seins sont menus, mignons, semblables à deux petites poires haut placées et bien rondes. La femme prend la fille par la taille, frotte doucement sa poitrine contre la sienne tout en dégraphant la jupe qui tombe elle aussi au sol... La fille porte aussi un string rouge pétant...
aAlors elles s'enlacent, cuisses contre cuisses, pubis contre pubis, seins contre seins et leurs bouches se rejoignent de nouveau dans un long et fougueux baiser... Elles se caressent mutuellement, leurs mains s'attardant sur les fesses de leur amie, remontant le long de la colonne vertébrale, glissant sur le côté, effleurant les seins comprimés les uns contre les autres...
L'ainée glisse sa main entre elles deux. Elle descend le long de leurs ventres, s'arrête à la lisière de leurs strings puis se faufile sous l'élastique rouge, continue à glisser encore un peu, s'immobilise. Alors la gamine se tend, se crispe, gémit comme si elle avait reçu une décharge électrique ! L'autre la retient en plaquant sa main libre contre ses fesses... Leur baiser se fait plus violent encore ! La jeune s'accroche au fin élastique du string en dentelles noires comme si elle voulait l'arracher. Elle faufile sa main à l'intérieur... Elles restent un moment ainsi, offrant et recevant, se branlant mutuellement, goûtant l'immense et délicieuse sensation, s'humectant les doigts de la liqueur de la chérie...
a2C'est la plus jeune qui se sépare la première, enlève son ultime rempart. Son pubis apparaît, rasé de près... L'ainée enlève aussi le sien, montrant sa magnifique toison que l'autre, qui se trouve déjà à genoux à ses pieds, broute à pleine bouche, pétrissant violemment les deux fesses de l'amie. Celle-ci se laisse faire, écarte les cuisses pour faciliter l'accès de la langue, ondule du bassin, va à la rencontre des sensations, du plaisir... Elle respire fort... Femelle en chaleur, elle veut jouir ! Mais elle n'est pas égoïste, s'agenouille contre son amante, la fait s'allonger sur la couverture, lui fait écarter les jambes, plonge son visage entre elles et s'active avec sa bouche contre la vulve tant désirée, tout en pétrissant un sein puis l'autre...
Mais la fille veut encore se désaltérer à la source... Elle glisse sa main vers la toison, se faufile là, disparaît presque entre les belles cuisses galbées, entre les lèvres humides...  Et force ainsi l'autre à s'allonger à son tour, tout contre elle, têtes-bêches, cuisses ouvertes... Et elle retourne laper la précieuse cyprine...
Elles s'agitent ainsi un moment, les doigts chargés d'humidité pénétrant sans mal aucun le cul de l'amante... Elles se tortillent, ondulent, louvoient des hanches, vont et viennent contre le corps de l'amie, se masturbent contre lui et masturbent la chérie, elles râlent, gémissent, poussent des petits cris... Puis se tendent, se crispent, crient presque... et jouissent.
Elles restent ainsi de longues minutes enlacées, visages contre sexes. Puis la grande se sépare, se lève et, sans un mots, se rhabille... La jeune fait de même... Un dernier baiser. Elle ramasse la couverture et elles repartent, main dans la main, vers la voiture. Qui démarre doucement...
Et moi ? J'ai hésité à me montrer. Pourquoi faire ? Elles n'avaient pas besoin de moi et j'aurais, assurément saccagé leur bonheur... Je me suis contenté, bêtement, d'ouvrir mon pantalon, de sortir mon sexe dressé et de le caresser... J'ai joui en même temps qu'elles, violemment, solitairement, bêtement...
Je suis revenu le lendemain. Elles n'y étaient pas. Pourtant j'ai attendu un peu... Décidément, on ne peut compter sur personne !

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