Plaisir d'offrir...
Réédition
Alina est la fille
d'un couple ami qui habite non loin de chez moi mais loin de ses
parents. Alors ses parents, malgré qu'elle ait plus de 25 ans,
m'ont demandé un peu de la parrainer ce que je fais volontiers
car elle est fort sympathique et je pense qu'elle m'apprécie
aussi. Et, par dessus le marché, ce qui ne gâche rien,
elle est plutôt mignonne et moi qui aime les femmes, cela ne me
déplait pas... Mais il n'y a jamais rien eu entre nous et je
ne l'ai même jamais envisagé.
Ce samedi après
midi, il fait un temps exécrable et comme je n'ai rien de
particulier à faire, je lui téléphone pour lui
proposer de venir lui faire une petite visite comme cela m'arrive de
temps à autre. Elle accepte avec enthousiasme.
Je me rends
donc chez elle et nous nous installons sur son canapé. Elle me
sert un thé, met un bon disque de jazz, un goût que nous
avons en commun, et nous parlons de choses et d'autres. Et dans le
courant de la conversation, elle me demande :
- je peux te dire
quelque chose que tu ne répèteras pas aux parents ?
-
Bien sûr...
- Depuis un moment, je me suis trouvé un
job pour arrondir mes fins de mois...
- Ah bon ! C'est
bien. C'est quoi ?
- Je fais modèle
pour un photographe.
- Ah bon ? Tu as là
des photos qu'il fait de toi ?
Elle tend le bras et attrape un
album. Elle me le tend mais avec une certaine réticence.
- Tu ne diras rien,
hein ?...
- Non, non...
Et je commence à
regarder. Sur les premières pages, des photos noires et blancs
d'Alina dans différentes pauses. Belle. Je continue à
tourner les pages.
Et puis je tombe sur une photo d'elle, torse
nu, seins pointés vers l'avant...
- Ouah ! Et bien je
comprends tes recommandations de silence... Ils sont magnifiques ces
seins. La photo est retravaillée ?
- Dis donc, tu es
vexant ! Non, ce sont mes seins comme ils sont. Tu veux que je te
montre ?
Sans attendre ma
réponse, elle se lève, ôte son tee-shirt et son
soutien gorge. Ses seins apparaissent, bien hauts, fermes, joliment
en courbe, de bonne taille... Je ne sais que dire. J'ai la gorge
sèche. J'ai envie d'y toucher... Je ne peux que dire :
- Jolis...
Et je continue à
tourne les pages...
- Et là ce sont bien mes fesses,
regarde !
Et elle laisse tomber sa jupe et enlève dans la
foulée sa culotte... Elle se tourne et me met presque ses
fesses sous le nez... Bien rondes, bien fermes elles-aussi, tout en
courbes... Elles sont si proches de mon visage, que je ne peux
m'empêcher cette fois de déposer un baiser sur l'une
d'elle.
- Ouah... super...
Tu te rinces l'oeil, coquin !... Tu veux toucher ?
Et sans
attendre ma réponse, elle m'enlève l'album des mains,
le pose sur la petite table et s'assoit sur mes genoux en m'enlaçant
le cou et en coinçant sa tête contre mon épaule...
Et, timidement
d'abord, puis plus fermement, ma main caresse son corps sur tout son
long, longeant ces courbes, mesurant la fermeté, suivant les
pleins et les déliés... Ses épaules, ses seins,
son ventre, ses hanches, ses fesses, ses cuisses... Puis cette main
glisse entre ces cuisses légèrement ouvertes... Et tout
en lui embrassant, épaule et seins, je la masturbe longuement,
je pénètre des doigts son sexe dégoulinant, je
joue avec son clitoris qui se dresse... Je vais et viens en elle
jusqu'à sa jouissance...
Elle, n'aura aucun
geste vers moi pour m'apaiser et je lui en suis gré. Elle
s'offre à la jouissance que je veux et peux lui offrir. Elle
se laisse faire, se laissant guider vers l'absolu. Elle s'offre à
moi pour que je la fasse jouir. Elle me laisse lui procurer cet immense
plaisir. Que peut-elle m'offrir de plus. Elle me fait déjà
le cadeau royal de son corps nu tout contre moi. Elle m'offre le
plaisir de me sentir puissant en la faisant frémir. Elle me
donne la satisfaction, enfin, de me sentir responsable de cette
explosion finale qui lui fait perdre toute notion de tout pendant de
magnifiques secondes... Plaisir immense qu'est le mien de l'observer
dans cet extrême moment d'abandon...
Ayant
retrouvé ses esprits, elle me dit merci en m'embrassant sur le
front. Puis elle se lève et se rhabille.
- Tu ne diras rien
à mes parents hein ?!
Bien sûr que
je ne dirai rien, Alina...