Les deux amantes

Je les ai rencontrées à l'aéroport d'une capitale européenne.
On prenait le même avion pour rentrer sur Paris.
Je les ai vues d'abord dans le grand hall de l'aéroport,
puis dans la salle d'embarquement. 
Et j'étais juste derrière elles dans la queue
au moment du dernier contrôle avant de rentrer dans l'avion.
Deux jeunes fillles. La vingtaine.
Pas très grandes. Fines. Mignons petits minois
Il faisait très chaud et comme toutes les filles et femmes,
elles étaient habillées léger : toutes deux, un mini-short
moulant leurs petites fesses et mettant en évidence leur belles et longues jambes.
Un haut à fines bretelles pour l'une, un tee shirt sans manche pour l'autre
moulant leurs petits seins...
Plus que des bonnes copines, plus que de bonnes amies,
je les pense amantes.
Elles marchent se tenant par la taille, hanche contre hanche...
Elles se font face, la jambe de l'une glissée entre les jambes de l'autre.
De temps en temps elles d'étreignent, 
leurs seins s'écrasant les uns cointre les autres, pubis contre cuisses...
Baisers rapides sur les cheveux, sur le front, sur la pommette,
sur la joue, au coin des lèvres...
Leurs regards sont pleins de douceur, d'amour, de sensualité...
Parfois une main glisse et effleure furtivement un sein, une fesse...
Elles sont belles. Pleines de sensualité, d'envie de sexualité...
Je les regarde... Je bande, évidemment ! 
Et je les imagine... 
Leurs sexes chauds et humides qui ne demandent qu'à exploser...
Je les vois seules, dans l'intimité... Nues évidemment.
Leurs mains courent sur le corps de l'autre...
Et c'est le bouche à bouche, le bouche à seins, le bouche à sexe...
Je les vois s'offrant un magnifique cuni chacune buvant à la source de l'autre...
Je les vois jambes en ciseaux frottant leurs sexes l'un contre l'autre...
J'ai envie de les prendre dans mes bras, de me mêler de ce qui ne me regarde pas... 

Ce ne sont pas elles sur ces photos... Ces photos viennent d'ici !
Elles étaient encore plus jeunes... 
ET surtout, elles n'avaient aucune raison de me convier à leurs éventuels ébats !
Et, toutes à elles, elles ne m'ont sans doute même pas vu !