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Le Démon de Midi
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28 mai 2008

Avec toi... Sofia

a

Sofia m'a fait parvenir cette photo d'elle. Cela fait un moment que tous les deux nous nous fréquentons... virtuellement. J'aime aller visiter son blog où elle se découvre bellement. Blog qu'elle tient avec son homme. Et oui ! Rien n'est parfait : Sofia a un homme et j'ai pas l'impression qu'elle veut lui être infidèle... Donc notre relation ne sera jamais que virtuelle.. Merci quand même, chère Sofia, de m'avoir fait parvenir cette photo... Elle m'inspire...

Lorsque je rentre dans la chambre, tu es déjà allongée, nue, offerte à la vue, en attente du plaisir. Pendant un long temps, je ne peux que te regarder, te détailler, assis sur le bord du lit, tout contre toi mais je ne te touche pas.
Et puis je me lève et commence à me déshabiller. Tout doucement, en prenant le temps de te laisser à ton tour le temps de me découvrir. Tu me regardes. Je te regarde. Nous percevons ces parties du corps qui attirent la main, que chacun de nous a envie d'effleurer, de faire frémir...
Je suis nu. Mon sexe tout en raideur semble t'hypnotiser. Je m'agenouille sur le lit tout contre toi, genoux écartés, assis sur mes talons. Et je pose ma main, légèrement sur ton épaule et commence la douce ballade en ce corps que je découvre. De l'épaule, ma main glisse vers tes deux seins, passent entre eux, revient en arrière en contournant l'un d'eux, puis revient vers l'autre. L'un après l'autre, elle les escalade, en mesure la fermeté, les soupèse... Délicieux. J'ai toujours pensé que tout corps de femme est une oeuvre d'art. Mais ton buste à toi est un chef d'oeuvre !
Puis ma main continue sa promenade, s'enfuit sur ton ventre plat, tourne autour du nombril ; un doigts taquin s'y introduit... Ma main se repose là, elle est bercée au rythme de ta respiration. Puis elle continue son chemin et se trouve à la croisée des deux jambes... De nouveau, elle marque l un temps d'arrêt, au sommet de ce petit Mont de Vénus, entièrement dégarni, à la peau si douce, comme j'aime... Un doigt commence à s'insinuer le long de la fente. Il y trouve une source de chaleur et d'humidité. Il ne va pas très loin, rencontre assez vite ton petit vit déjà dressé. La encontre est électrique. D'un coup tu te raidis, tu bandes tes muscles, tu gémis... Non, pas déjà !... Alors mon doigt remonte et toute ma main glisse le long de l'aine et file sur la cuisse.
Merveilleuse cuisse, jambe magnifique... Toute en finesse, en rondeur et en longueur... Mon autre main vient en renfort et toutes les deux enveloppent cette belle jambe de bas en haut, de haut en bas, et encore et encore... C'est si doux... Chère Sofia, tu as des jambes de reines, de celles que tout homme rêve d'avoir serrées autour de ses reins... Mes mains passent sur ton autre jambe et lui font subir le même traitement...
Tes mains se promènent aussi le long de mes cuisses... L'une d'elle grimpe au mât de cocagne jusqu'au sommet, se laisse glisser jusqu'en bas puis remonte. Pendant ce temps, l'autre joue un moment avec mes couilles qui pendent, les fait rouler entre les doigts, puis passe derrière, longe le périnée, se faufile elle aussi le long de ma raie jusqu'à mon trou secret... Un doigt en force l'entrée... Il n'y a qu'à une femme comme toi que j'en autorise l'accès.
Je me détache de toi avant qu'il ne soit trop tard et que tu ne déclenches le feu du ciel et le jaillissement du geyser laiteux... Ce serait irrémédiable pour un bon moment et il est encore trop tôt...
Tu écartes tes cuisses comme une invitation. Toujours à genoux, je me faufile entre elles et je me prosterne devant tant de beauté. Ma bouche, mes lèvres et ma langue refont le même chemin que me mains viennent de faire : épaule, seins, ventre, nombril, pubis, une cuisse puis l'autre, l'intérieur de la cuisse puis de l'autre... Et après un si beau chemin, elle veut se désaltérer à ta source : délicieux nectar, enivrant parfum... Ma langue trouve à son tour le bouton qui t'a tant électrisée tout à l'heure quand mon doigt l'a effleurer... De nouveau tu te raidis, tu cries, tu m'invites à venir, à te pénétrer, à te remplir...
Alors je remonte sur mes coudes. Ma poitrine frôle ton pubis, ton ventre, tes seins, ma bouche rejoint la tienne et nous nous embrassons.... Et automatiquement, la Nasa ne ferait pas mieux, notre arrimage se fait : ma partie mâle glisse et s'enfonce dans ta partie femelle...
Comme j'en rêvais tout à l'heure, tes belles et longues jambes m'enferment. Tes bras aussi se referment autour de moi. Me voilà ton prisonnier. Tu ne me libèreras que lorsque je nous aurai libéré de cette immense désir de jouir.
La jouissance monte en toi. Je le sens à mille signes annonciateurs... Tes yeux révulsés, ton rythme cardiaque accéléré, tes gémissements de plus en plus poussés, tes ongles qui me labourent le dos, tes cuisses qui me serrent tel un étau... Tu veux me faire entrer en entier en toi... Et puis tu cries, tu me tires les cheveux, tu secoues la tête en tout sens...
Tout cela provoque une brusque montée de la lave du fond de mes entrailles. Aux tremblements sismiques de ton corps correspond l'éruption violente de mon sperme tout au fond de ta chair...
Epuisés, nous nous relâchons. C'était si bon...
Merci Sofia.

Vous avez aimé ? Vous voudriez que j'écrive un tel texte à votre intention ? Rien de plus facile ; il vous suffit de faire comme Sofia et de m'envoyer une photo érotique de vous.

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Commentaires
S
Merci pour ce joli texte.<br /> Délicieux moment de plaisir que cela m'a procuré en le lisant ce soir...<br /> Bises à toi.
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