Avec toi... Sofia
Sofia m'a fait parvenir cette photo d'elle. Cela fait un moment que tous les deux nous nous fréquentons... virtuellement. J'aime aller visiter son blog où elle se découvre bellement. Blog qu'elle tient avec son homme. Et oui ! Rien n'est parfait : Sofia a un homme et j'ai pas l'impression qu'elle veut lui être infidèle... Donc notre relation ne sera jamais que virtuelle.. Merci quand même, chère Sofia, de m'avoir fait parvenir cette photo... Elle m'inspire...
Lorsque je rentre
dans la chambre, tu es déjà allongée, nue,
offerte à la vue, en attente du plaisir. Pendant un long
temps, je ne peux que te regarder, te détailler, assis sur le
bord du lit, tout contre toi mais je ne te touche pas.
Et puis je
me lève et commence à me déshabiller. Tout
doucement, en prenant le temps de te laisser à
ton tour le temps de me découvrir. Tu me regardes. Je te
regarde. Nous percevons ces parties du corps qui attirent la main,
que chacun de nous a envie d'effleurer, de faire frémir...
Je
suis nu. Mon sexe tout en raideur semble t'hypnotiser. Je
m'agenouille sur le lit tout contre toi, genoux écartés,
assis sur mes talons. Et je pose ma main, légèrement
sur ton épaule et commence la douce ballade en ce corps que je
découvre. De l'épaule, ma main glisse vers tes deux
seins, passent entre eux, revient en arrière en contournant
l'un d'eux, puis revient vers l'autre. L'un après l'autre,
elle les escalade, en mesure la fermeté, les soupèse...
Délicieux. J'ai toujours pensé que tout corps de femme
est une oeuvre d'art. Mais ton buste à toi est un chef
d'oeuvre !
Puis ma main continue sa promenade, s'enfuit sur ton
ventre plat, tourne autour du nombril ; un doigts taquin s'y
introduit... Ma main se repose là, elle est bercée au
rythme de ta respiration. Puis elle continue son chemin et se trouve
à la croisée des deux jambes... De nouveau, elle marque
l un temps d'arrêt, au sommet de ce petit Mont de Vénus,
entièrement dégarni, à la peau si douce, comme
j'aime... Un doigt commence à s'insinuer le long de la fente.
Il y trouve une source de chaleur et d'humidité. Il ne va pas
très loin, rencontre assez vite ton petit vit déjà
dressé. La encontre est électrique. D'un coup tu te
raidis, tu bandes tes muscles, tu gémis... Non, pas déjà
!... Alors mon doigt remonte et toute ma main glisse le long de
l'aine et file sur la cuisse.
Merveilleuse cuisse, jambe
magnifique... Toute en finesse, en rondeur et en longueur... Mon
autre main vient en renfort et toutes les deux enveloppent cette
belle jambe de bas en haut, de haut en bas, et encore et encore...
C'est si doux... Chère Sofia, tu as des jambes de reines, de
celles que tout homme rêve d'avoir serrées autour de ses
reins... Mes mains passent sur ton autre jambe et lui font subir le
même traitement...
Tes mains se promènent aussi le
long de mes cuisses... L'une d'elle grimpe au mât de cocagne
jusqu'au sommet, se laisse glisser jusqu'en bas puis remonte. Pendant
ce temps, l'autre joue un moment avec mes couilles qui pendent, les
fait rouler entre les doigts, puis passe derrière, longe le
périnée, se faufile elle aussi le long de ma raie
jusqu'à mon trou secret... Un doigt en force l'entrée...
Il n'y a qu'à une femme comme toi que j'en autorise
l'accès.
Je me détache de toi avant qu'il ne soit
trop tard et que tu ne déclenches le feu du ciel et le
jaillissement du geyser laiteux... Ce serait irrémédiable
pour un bon moment et il est encore trop tôt...
Tu écartes
tes cuisses comme une invitation. Toujours à genoux, je me
faufile entre elles et je me prosterne devant tant de beauté.
Ma bouche, mes lèvres et ma langue refont le même chemin
que me mains viennent de faire : épaule, seins, ventre,
nombril, pubis, une cuisse puis l'autre, l'intérieur de la
cuisse puis de l'autre... Et après un si beau chemin, elle
veut se désaltérer à ta source : délicieux
nectar, enivrant parfum... Ma langue trouve à son tour le
bouton qui t'a tant électrisée tout à l'heure
quand mon doigt l'a effleurer... De nouveau tu te raidis, tu cries,
tu m'invites à venir, à te pénétrer, à
te remplir...
Alors je remonte sur mes coudes. Ma poitrine frôle
ton pubis, ton ventre, tes seins, ma bouche rejoint la tienne et nous
nous embrassons.... Et automatiquement, la Nasa ne ferait pas mieux,
notre arrimage se fait : ma partie mâle glisse et s'enfonce
dans ta partie femelle...
Comme j'en rêvais tout à
l'heure, tes belles et longues jambes m'enferment. Tes bras aussi se
referment autour de moi. Me voilà ton prisonnier. Tu ne me
libèreras que lorsque je nous aurai libéré de
cette immense désir de jouir.
La jouissance monte en toi.
Je le sens à mille signes annonciateurs... Tes yeux révulsés,
ton rythme cardiaque accéléré, tes gémissements
de plus en plus poussés, tes ongles qui me labourent le dos,
tes cuisses qui me serrent tel un étau... Tu veux me faire
entrer en entier en toi... Et puis tu cries, tu me tires les cheveux,
tu secoues la tête en tout sens...
Tout cela provoque une
brusque montée de la lave du fond de mes entrailles. Aux
tremblements sismiques de ton corps correspond l'éruption
violente de mon sperme tout au fond de ta chair...
Epuisés,
nous nous relâchons. C'était si bon...
Merci Sofia.
Vous avez aimé ? Vous voudriez que j'écrive un tel texte à votre intention ? Rien de plus facile ; il vous suffit de faire comme Sofia et de m'envoyer une photo érotique de vous.