Rencontre dans un ascenseur - 2
Cixi a raconté ce jour où elle était troublée après avoir lu mon blog... Elle croit reconnaître le Démon dans l'ascenseur... Voici ma version des faits...
Hum ! Mignonne cette belle femme qui rentre dans l'ascenseur... Dommage
qu'il y ait du monde. Je la draguerais bien... Chance. Elle se poste
devant moi... Cette poitrine ! Comme je les aime ! Pas trop grosse mais
elle semble bien ferme, bien haute... Deux petites poires que j'aurais
plaisir à tenir dans le creux de ma main... Les caresser, les
contourner, les soupeser, les malaxer doucement, jouer avec les
pointes, les lêcher, les téter... Mais, elle n'a pas mis de soutien
gorge ! Et elle lit dans mes pensées ! Ses pointes pointent ! Ses seins
bandent. Et ça me fait bander...
Allons bon, voilà une autre femme
qui rentre avec tous ses paquets. Y'a plus de place ! Quelle intimité !
Frustrant d'être face à une telle beauté et de ne rien pouvoir dire ni
faire sans craindre de heurter la compagnie... Oh ! Mais super. Elle
est obligée de se serrer contre moi. Caresse furtive de la pointe de
ses seins contre mon torse... Elle s'excuse ! Il n'y a pas de quoi ! Au
contraire. Tout le plaisir est pour moi. Fallait pas vous redresser...
Regard
plongeant dans l'échancrure de son haut... Oh ! Dieu me damne ! Je les
veux ces seins... Si elle savait comme je bande ! Si elle voyait mon
sexe dans quel état elle me le met ! Pourquoi elle rougit ainsi... Elle
semble suffoquer !
Elle est presque indécente ainsi collée à moi,
les jambes écartées, les tétons dressés, le haut de ses seins à la vue
de tous... Je ne m'en plains pas... De sa hanche, elle effleure mon
sexe. Elle va sentir que je bande ! Elle va crier au satyre !...
Pourquoi
diantre ai-je ce journal en main... Il m'embarasse. Je pourrais sinon,
par inadvertance, lui effleurer le bassin, les hanches, le haut de la
cuisse, la naissance de ses fesses...
Oui, oui, il fait chaud...
Mais on est bientôt arriver au rez-de-chaussée. Elle va sortir. Et mois
je vais continuer au sous-sol prendre ma voiture... Ca y est. On est
arrivé. La dame chargée de ses sacs sort la première. Les autres la
suivent... Et elle ? Elle sort pas ? Zut. Si. Dommage !
- au revoir Monsieur.
- au revoir !
Oh ! Ce cul moulé dans son jean. Digne de ses seins. Aussi attirants, aussi appêtissants !
Les
portes commencent à se fermer. Tant pis pour ma voiture. je ne suis pas
pressé ce matin. Je me glisse vite entre elles et manque buter contre
celle qui me met en rut.
- Oh ! Excusez-moi ! Je n'avais pas réalisé qu'on était arrivé en bas ! Perdu dans mes rêves.
- Oh ! Y'a pas de mal.
- Je vous offre un café ? Vous êtes pressée ?
Pourvu qu'elle dise oui. Pourvu qu'elle ne m'envoie pas c... J'ai gaffé ! Je sens que j'ai gaffé !...