Rencontre dans un ascenseur - 4
Suite...
Je lui tends le bras pour l'aider à se relever... Il doit y avoir un
Dieu pour les libertins ! Elle voulait me plaquer comme ça devant la
porte de l'ascenseur. Mais ce n'était pas son destin de m'échapper. Et
elle rentre du coup en plein dans le jeu. Elle a mal...
- euh … bien …je … j’aime
pas le café mais je vous offre un thé si vous m’aidez à rentrer...
Et comment que je vais te ramener chez toi !
Je
la fais s'accrocher à mon épaule et je la prends par la taille en la
serrant contre moi... Humm !... Ce corps fin et léger contre moi !
Cette belle courbe de sa hanche ! Je sens contre moi la courbure de son
sein... Je marche à petits pas vers l'ascenseur, elle sautille tout
contre moi sur son pied valide.
Oui, j'ai envie d'elle mais je crois
bien que c'est réciproque... Je n'ai pas été sans voir son regard sur
ma braguette quand elle était tout à l'heure à quatre pattes devant moi
! Et elle a bien vu combien elle était gonflée !...
Nous sommes dans
l'ascenseur. Seuls cette fois. Ele appuie sur le bouton de son étage.
Les portes se ferment... Nous sommes seuls. Elles s'accrochent à la
rambarde. Je n'ai plus besoin de la soutenir. Alors je glisse
nonchalamment ma main qui la soutenait sur sa fesse, sous sa fesse...
J'étale ma main sur toute la surface de cette si belle fesse, bien
ronde, bien ferme, bien haute... Elle se laisse faire...
- Vous êtes belle... Sexy, même... Désirable !...
Pour toute réponse, elle rougit un peu et pose sa tête contre mon épaule...
Mais
l'ascenseur arrive à destination. Je la reprends sous la hanche, elle
sautille, je marche à petits pas... Elle me montre la porte de son
appartement, cherche les clés dans son sac à main... Et nous voilà chez
elle... Nous entrons dans son petit salon... je la mène jusqu'au canapé
où elle se laisse tomber... C'est mignon chez elle... Un peu le bordel
comme chez quelqu'un qui est parti vite ce matin... Et puis ce soutien
gorge accroché aux étagères ! Il a du être enlevé dans une certaine
précipitation...
Je m'agenouille à ses pieds. Enlève ses
chaussures... Prends sa cheville entre mes deux mains et commence à la
masser doucement... Je veux remonter le bas de son jean mais il est
trop serré...
- Il faudrait que vous enleviez votre jean pour que je puisse bien vous masser...
- Vous croyez ?
Elle me regarde. Ecarte les jambes. Je craque.
Je
me glisse entre ses deux belles et longues jambes et la serre contre
moi. Mon visage se retrouve entre ses seins... Hummm. Ils sentent bon.
Mes mains glissent sur son corps et chacun d'elles se saisit, à travers
le tissus, d'une de ces deux belles petites poires bien fermes et
juteuses...