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Le Démon de Midi
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6 septembre 2014

Me glisser en toi

Réédition

Nu, me glisser entre tes bras
que tu refermes sur moi
sentir tes mains parcourir tout mon corps,
de la nuque au rebondi de mes fesses.
Refermer mes bras aussi autour de ton corps nu.
Mes mains courent le long de ton corps,
ta nuque, tes épaules, ton dos, le haut de tes fesses,
provoquant les premiers frissons du plaisir.
Et je ressens une légère démangeaison dans le bas de mon ventre.

Glisser ma langue entre tes lèvres,
forcer avec elle le barrage de tes dents,
Chercher ta langue, les faire se rencontrer,
les faire danser ensemble,
moi aspirant la tienne,
toi aspirant la mienne,
nos deux langues dans ta bouche
nos deux langues dans ma bouche,
mélangeant nos salives,
chacun goûtant l'autre.
Et je ressens un léger gonflement dans le bas de mon ventre.

 

Glisser ma main entre tes deux seins,
en saisir un, le couvrant de la paume,
contournant l'autre, pour mieux l'amadouer,
jouant avec un têton qui pointe vers le haut,
puis avec l'autre qui la laisse aller.
Passer de l'un à l'autre, les soupeser,
les malaxer doucement, les effleurer,
essayer de les prendre ensemble...
Et je sens mon sexe s'allonger de tout son long.

Glisser mes doigts le long du sillon entre tes deux fesses,
de bas en haut, de haut en bas,
à chaque passage s'insinuer un peu plus entre les deux lobes,
chercher l'entrée du petit passage secret,
le trouver et, pour relâcher le muscle qui le tient fermé,
du bout des doigts imprimer des pressions circulaires.
Enfin, pénétrer un doigt dans cet anus délicat
provoquant de ta part un soupir de contentement.
Et je sens la raideur de mon sexe contre mon ventre.

Glisser tout mon corps entre tes jambes ouvertes,
les sentir se refermer autour de moi,
et la caresse de tes pieds sur mes fesses.
Poser ma tête sur tes seins,
et  rester là, écouter ton coeur battre la chamade.
Sentir contre mon ventre la toison humide de ton bas ventre.
Caresser tes côtés, tes longues cuisses
qui m'enserrent entre elles.
Apprécier ta caresse dans mes cheveux,
sur ma nuque, sur mes épaules...
Et mon sexe sursaute d'impatience.

 

Alors, glisser cette raideur
à l'entrée de ta grotte qui est tout aussi impatiente
de s'ouvrir pour elle.
Et doucement, pénétrer.
M'arrêter
pour que nous goûtions l'un et l'autre cet instant.
Que tu prennes conscience de ce gland palpitant,
frétillant d'être en toi.
Qu'avec ce gland je ressentes la douceur,
la chaleur, l'humidité de l'endroit.

Glisser un peu plus profondément en toi,
m'arrêtant de temps à autre, reculant même
pour que la paroi de ton sexe épouse parfaitement
la forme du mien.
D'un coup de rein, tu me signifies que je peux aller plus loin encore.
Mon membre tout entier est en toi
mais je veux aller plus loin encore
et c'est avec tout mon corps
que je veux te pénétrer.

Nous restons ainsi un moment, essoufflés.
Et nos deux corps commencent à s'agiter.
Chacun veille à la fois à offrir et à recevoir
tout le plaisir de nos sens exacerbés.

 

Soudain tu te raidis.Ta respiration s'accèlère.
Tu retiens un hurlement de plaisir.
Tu me tires les cheveux, tu me laboures le dos.
Tu te saisis de mes fesses à pleines mains,
tu les pétris et entre elles tu te frayes un chemin.
D'un doigt violent tu me pénètres
augmentant ainsi l'énorme fièvre qui m'a aussi saisi.
Je veux aller encore plus loin en toi,
et tu veux m'y aider en venant à ma rencontre.

Tu ne peux retenir un gémissement de bonheur,
je me sens proche du point de non retour.
Nous ne faisons qu'un, profondément unis,
nous serrant l'un contre l'autre
soudés par la bouche et le sexe...
Et nous explosons ensemble,
énorme jouissance.
Je sens mon sexe gonfler en toi
et lâcher violemment ses jets brûlants.
Et je sens tous tes muscles m'enserrer encore plus fortement.

Et c'est fini !
Après avoir repris nos esprits,
je me glisse près de toi,
nous restons fortement enlacés,
nos mains parcourent nos corps épuisés et rassasiés.
Nous nous regardons yeux dans les yeux.
Inutile de parler pour le moment.
Nous sommes beaux après l'amour.
Nous sommes heureux.
Des yeux nous nous remercions mutuellement
de ce beau moment de félicité.
Nos lèvres se rejoignent.
De nouveau nos langues s'emmêlent.

 

Et ensemble nous glissons dans une douce torpeur
et, enlacés, nous nous endormons.

 

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