Avec toi... Malaury
Aujourd'hui,
c'est la très jeune et belle Malaury qui m'envoie cette photo
d'elle “pour que lui fasse l'amour avec mes mots”. J'ai toujours
beaucoup apprécié les quelques commentaires que tu as
pu laisser tout au long de mon blog. Malgré notre différence
d'âge que tu connais (“il pourrait être mon père...”
c'est ainsi que tu as commencé l'un de tes com.), tu as une
grande sensualité qui me plait bien et c'est pour cela que
j'ai eu envie de faire l'amour avec toi, avec des mots,
virtuellement... Uniquement virtuellement ! Tu as commencé un
blog que tu ne continues pas mais qui fait fonctionner mon
imagination... Merci à toi, belle Malaury.
Tu es
déjà couchée lorsque j'arrive... Tu as remonté
le drap jusque sous tes aisselles et je ne vois de toi que tes
épaules et ton cou... Ce cou que tu me tends comme si tu
l'offrais à un vampire. Mais ce n'est pas ton sang que je veux
boire... Je veux t'amener au plaisir suprême. Je veux t'offrir
la petite mort...
Je m'allonge près de toi. Je te regarde.
Doucement, je dépose mes lèvres sur ta peau. Elle est
douce... Je t'embrasse, je te lèche doucement tout le long de
ce cou, sous ton menton... Ma main s'en mêle... Elle épouse
la belle forme de tes épaules... Je te caresse les clavicules
si finement dessinées...
Et puis lentement, un peu
timidement, je repousse légèrement le drap. Tes deux
petits seins apparaissent... Ils sont fiers, arrogants, gonflés
d'orgueil. Ils semblent plein d'énergie, bien fermes... Les
tétons pointent vers le haut. Ma main épouse leur
forme. Elle se fait légère. Je joue du bout des doigts
avec les pointes qui bandent encore plus, qui gonflent au milieu de
leur aréole... Et je les prends en bouche, je les pince entre
mes lèvres, je les titille avec ma langue. Je lèche, je
lape, je tête, j'aspire, je pinçote... Tu aimes... Ta
poitrine se gonfle au rythme de ta respiration...
Je pose ma tête
sous ce deux belles petites poires et je glisse ma main vers ton
ventre plat en repoussant encore un peu plus le drap. J'entends ton
coeur battre contre mon oreille... Mes doigts jouent sur ton ventre,
tournent autour de ta cicatrice de naissance. Il est mignon, ce
nombril... Tes muscles se raidissent sous la caresse...
Tu as
glissé ta main sous le drap et je la vois s'agiter là
où tes jambes écartées se rejoignent... Je
t'entends respirer de plus en plus fort, le rythme de ton coeur
s'accélère, tu te raidis toute entière, tu
geins...
Du bout de mes doigts, je longe ce bras jusqu'à ta
main qui s'est insinuée dans ta petite culotte que tu as
gardée. Là, tes doigts s'agitent à l'orée
de ton intimité... Entre deux d'entre eux tu écartes
tes lèvres tandis qu'un troisième joue avec ton petit
bouton magique.. Sous ta main, je devine ton pubis rasé. Pubis
d'adolescence que tu viens de quitter, Mont de Vénus, Mont
Pelé...
Mes doigts se posent sur les tiens déjà
chargés de ton humidité... Je suis tes mouvements, les
accentue...
Alors, je rejette complètement le drap, ôte
le léger vêtement qui te couve encore... Tu te laisses
faire, soulevant les reins pour m'y aider...Je m'allonge à
plat ventre entre tes deux cuisses ouvertes et je joins mes lèvres,
ma langue aux mouvements de tes doigts. Toi, tu remontes tes genoux
largement écartés, m'offrant à la vue toute ta
fente de ton clito dressé à ton trou secret fermé...
Et tu me prends la tête entre tes deux mains, dirigeant mes
mouvements, me donnant un rythme, posant mon visage là où
tu veux... Mes mains se sont posées sous tes fesses tendues...
Ma langue pénètre ton con ouvert, va et vient, joue
avec ton clito, l'aspirant, le mordillant entre mes lèvres...
Tu es bonne. Tu sens bon, là... Et je suis cette fente de la
langue du haut vers le bas, du bas vers le haut, lubrifiant au
passage de ma salive et de ta liqueur l'entrée de ton anus...
Anus que je peux pénétrer bientôt d'un
doigt...
Et c'est ainsi que, bientôt, tu te crispes, tu
halètes, tu cries et dans ma bouche et sous mes doigts tu
jouis, profondément, abondamment me remplissant ma bouche de
ton excès de cyprine...
En attendant que tu retrouves ton
calme, mes doigts toujours en toi, je pose ma joue sur ton aine
glabre et t'embrasse ton pubis si doux... Puis tu m'attires vers toi,
te saisis à pleine main de mon phallus gonflé et prêt
à exploser. Tu en approches le visage, déposes mille
baisers sur le gland puis le lèches, l'aspires et le prends en
bouche, ta main continuant à aller et venir le long de ma
hampe. Il ne me faudra pas beaucoup de temps pour à mon tour
jouir.
Et c'est seulement alors que nos lèvres se soudent
et que dans nos bouches unies, nous mélangeons avec nos
langues nos deux liqueurs dans un profond baiser plein de passion...