Le Démon de Midi

Réédition...

Pardonnez moi mon père parce que j'ai péché.
Oui, le péché de la chair... J'ai aimé regarder dans la rue, dans les transports en commun, partout, les jolies femmes. Caresser leurs formes de mes yeux, les déshabiller du regard... Essayer de deviner si elles avaient le pubis rasé... Les imaginer lorsqu'elles entrent dans l'extase de la jouissance... Regarder avec plus d'insistance leurs seins, leurs fesses, leurs jambes...
...
Si je regrette ? A vrai dire, pas tellement... Le spectacle est si beau. Quand on va au boulot ou qu'on entre crevé le soir, ça remonte le moral...
...
Ah, si je regrette de m'être contenté de les regarder ? Mais je ne m'en suis pas contenté. Il m'est arrivé que certaines aient accepté de venir dans mes bras. Ah, mon père, serrer une femme contre soi, se sentir puissant, sentir ses seins s'écraser contre les miens, respirer son odeur, caresser à travers le vêtement ses formes... Joindre mes lèvres aux siennes, jouer avec notre langue l'une contre l'autre, serrer son visage entre mes mains...
...
Oui, je le confesse, j'ai été plus loin. Certaines, quand elles le voulaient bien, je les aie déshabillées
et je me suis mis nu aussi contre elle. Caresser leur peau de la mienne, goûter cette peau, suivre la forme du sein, du ventre, des hanches, des cuisses, des fesses... Et ce lieu si doux, si odorant, si accueillant entre leurs jambes...
...
Euh !... Oui... Ca m'est arrivé... Beaucoup plus rarement... Des jeunes garçons, à l'âge dépassant la majorité sexuelle et s'ils étaient consentant... C'est vrai que j'ai aimé tenir leur jeune sexe en main, le sentir gonfler dans la bouche, les sentir frémir et se raidir au moment où le sperme monte le long de leur fine verge...
...
Vous aussi ?... Ah oui, les enfants de choeur... Mais franchement mon père, je préfère les femmes. Se frotter corps nu contre corps nu, essayer des positions différentes, chaque soir innover... Goûter à sa bouche, à son sexe... Et puis la pénétrer de la langue, des doigts, du sexe... Aller et venir en elle, la faire hurler de plaisir... Jouir...
...
Finalement, non, mon père, je n'ai pas pêché. Contrairement à ce que vous voulez nous enseigner, la femme n'est pas le suppôt de Satan. Si Dieu existe, la femme est son messager. Elle apporte tant de bienfait. Elle est Béatitudes ! Et jouir n'est-il pas le propre de l'être humain ! Si votre Dieu existe et qu'il nous a fait capable de jouir ainsi, il serait bien cruel de nous interdire d'en profiter ! Baiser n'est pas seulement acte de reproduction de l'espèce. C'est un acte pour se faire plaisir. C'est ce qui nous distingue des animaux ! Je regarde parfois mon chien monter la chienne du voisin ! Passivité des deux bêtes. Lui s'agite en elle mais point de plaisir ! Il jouit davantage et frétille plus de la queue quand je lui donne sa pâtée ! Alors que serrer femme contre soi et jouir ensemble, c'est une véritable communion. Nous ne faisons plus qu'un ! C'est comme une prière, une action de grâce à dieu qui nous a ainsi faits !
Mais, mon père, qu'est ce que c'est cette tache sur votre soutane, là, entre vos deux jambes ?...

Réédition

Ces beaux corps affalés,
ces jambes emmêlées,
ces caresses appuyées,
ces poitrines magnifiées,
ces pubis rasés,
ces sexes rapprochés,
ces plaisirs recherchés...

Ces deux filles amoureuses
qui s'offrent cet instant de bonheur,
on les voudrait avec soi
et participer à leurs ébats.
Mais sans doute ne le voudraient-elles pas !
Elle n'ont pas besoin de l'homme dans sa lourdeur,
elles ont pour elles toute leur douceur,
et de leurs doigts, de leurs lèvres,
elles peuvent mutuellement se mener à l'orgasme
salvateur.

Ces photos qui me font rêver et me donnent envie d'être petite souris
viennent de là !

... dans ce monde de brutes !

Cadeau pour les femmes... et les hommes qui aiment les hommes...

Cadeau pour les hommes... et les femmes qui aiment les femmes...

Cadeau pour les femmes qui aiment les femmes...

Cadeau pour les hommes qui aiment les hommes...

Et cadeau pour les couples hétéros...

VOUS QUI PASSEZ ICI, QUI NAVIGUEZ DE PAGE EN PAGE,
SANS DOUTE AVEC BEAUCOUP DE PLAISIR
PUISQUE VOUS VOUS Y ATTARDEZ,
POURQUOI NE PARTAGERIEZ-VOUS PAS
CE QUE CES IMAGES ET CES TEXTES PROVOQUENT EN VOUS,
VOTRE PASSION ET VOTRE DESIR ?

J'aimerai beaucoup avoir des dialogues érotiques avec vous...
Ecrivez-moi !

Oui, jeune fille,
achève de te déshabiller...
Au risque de paraître indécent,
oui, je te veux dans mon lit,
ne serait-ce qu'une nuit.
Une nuit dans une vie...
Tu m'as donné espoir
en m'avouant ton fantasme :
faire l'amour avec un homme plus âgé.
Achève de te déshabiller
et vient me rejoindre.
Laisse-moi suivre tes courbes,
flatter tes si beaux seins,
étreindre la cambrure de tes reins,
te serrer toute nue contre moi.
Tu ne vas pas le regretter.
Je vais te câliner,
te caresser, t'embrasser.
Je vais chercher ton plaisir
avant le mien.
Je veux te faire frémir et jouir.
Bises ma chérie. Viens.

photo de Boris

Les mains qui te caressent ne sont point celles d’homme
Mais bien de moi déesse qui aime ces deux pommes
Que tes rondes douceurs échouent sur mon visage
Et moi dans ma candeur j’admire cet ouvrage

Deux formes arrondies entourent une faille
Et dans ce paradis le fruit de tes entrailles
Un petit trou plissé me tente d’y goûter
Ma langue à son entrée vient te le caresser

Ton corps tout en émoi émet un doux frisson
Je tente alors un doigt qui se fait polisson
Au fond de ton trésor tu sens venir l’ivresse
Tu cries me dis « encor » bientôt vient l’allégresse

Un peu plus bas j’explore des lèvres ta forêt
Tendrement tu m’implores de ne pas arrêter
Un beau bouton de rose éclos d’entre tes lèvres
Il explose il m’arrose il me donne la fièvre

Ainsi je me délecte de tes saveurs sucrées
Qui me versent direct tes perles de rosée
Ma langue dans tes secrets titille avec aisance
Ta belle voie lactée jusqu’à ta jouissance