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Le Démon de Midi

Le Démon de Midi
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16 février 2019

Amie, raconte moi une histoire...

aaJ'ai décidé de rééditer certains textes que j'ai écrits au début de ce blog.
N'hésitez pas à me laisser un commentaire. Ce texte vous inspire ?

Amie, raconte-moi une histoire...

Une belle histoire de rencontre avec une autre femme...
La rencontre... Le feeling... L'envie qui monte...
L'envie avouée, partagée...
Les corps qui se rapprochent,
qui se frôlent, qui se touchent...
Les mains qui s'égarent, qui effleurent...
Votre premier baiser, lèvres contre lèvres,
langue contre langue...
Son sein au creux de ta main...
Le frisson qui te parcourt quand elle prend le tien...

Les vêtements qui tombent,.
Peau contre peau, seins contre seins,
pubis contre cuisses...
Fesses pétries, malaxées, écrasées, écartées...
Doigts qui s'insinuent, qui pénètrent...
qui se chargent de sa cyprine.

Raconte moi son goût, son odeur...
Son corps qui frémit et se tend sous ta caresse.
Le tien qui s'ouvre, qui veut la prendre en entier...
Raconte moi vos corps emmêlés
bbla recherche du plaisir offert et reçu...

Et puis le long frisson qui parcourt vos échines,
la tornade du sommet de la tête à la pointe des pieds,
le tourbillon au creux du ventre,
et le barrage qui craque, la jouissance qui est là,
qui explose, qui vous laisse pantois...


Allez, s'il te plait ! Raconte moi...

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10 février 2019

Pour une photo...

J'ai décidé de rééditer certains textes que j'ai écrits au début de ce blog. Celui-ci date du 27 septembre 2010.
N'hésitez pas à me laisser un commentaire. Ce texte vous inspire ?

- J'aime beaucoup ton blog. Je voudrais t'envoyer une photo de moi pour ton album "les Portes du Paradis"...
- Hummm ! Ce serait avec grand plaisir. Envoie moi cette photo à mon adresse mail...
- Mais le problème, je n'ai pas de photo. Et je n'ai pas d'appareil !
- Ne peux-tu en emprunter un à un ami ?
- Non. Je ne crois pas. Et je ne sais pas m'en servir...
- Ah ! Veux-tu alors que je vienne prendre cette photo ?
- Je n'osais pas te le demander...
Surprise. C'est l'échange de mails que j'ai eu avec Léa.


Nous nous retrouvons donc le jour dit dans un café, non loin de chez elle, au coeur de Paris. Malgré la quarantaine annoncée, elle a encore une silhouette de jeune femme. Taille moyenne, fine, beaux arrondis... Visage avenant malgré, effectivement, quelques rides naissantes...
Autour de notre café, nous faisons plus ample connaissance. Elle m'apprend qu'elle vit seule, qu'elle n'a jamais voulu avoir un homme attitré souhaitant garder sa liberté mais elle ne rechigne pas à recevoir un homme de temps en temps dans son lit même si ça fait longtemps que ça lui est arrivé... Et elle précise les clauses du contrat : on va chez elle, je prends des photos, on en choisit une ensemble pour mon blog et je détruis le reste. Et on en reste là. Bien évidemment, je ne la touche pas. OK. Sinon que j'ai amené mon ordinateur et si elle le souhaite, je pourrais lui laisser un CD avec les photos prises.
- Alors on y va !
Il ne nous faut pas 5 minutes pour arriver chez elle. Nous nous installons dans le séjour largement éclairé par une grande baie vitrée.
- Bon, alors je me mets nue...
et sans attendre elle se déshabille complètement. Nue. Belle. Attirante. Je bande. Mais j'ai promis de ne pas la toucher... Belle poitrine bien ferme encore. Belle cambrure, belles fesses bien rondes et hautes, longues cuisses effilées... Pubis caché par une belle toison noire...
aaJe commence à la mitrailler. Elle prend des poses. Je la prends de dos, de face, en gros plan, plan américain, plongée, contre-plongée... Plan sur ses épaules, ses seins, ses fesses, ses cuisses, son sexe bien sûr, c'est ce que je suis venu chercher...
Elle s'assoit sur le canapé, prend de nouvelles poses : jambes croisées, écartées, mi-allongées, elle glisse ses mains sur ses seins, sur son sexe... Très suggestive. Très provocante. Je me tais pour cacher mon émotion... Mon sexe gonflé de désir me fait mal dans mon jean serré... J'aurai du mettre un pantalon plus large !...
Je fais une cinquantaine de clichés... Elle me demande à les voir... Je m'assois à la table, allume mon ordi, y connecte mon appareil photo et charge les photos... Nous les regardons une à une... Je suis assis. Elle est debout, nue, tout contre moi... J'avale ma salive... Je sens la courbe de sa hanche contre mon épaule... Je sens son odeur... Je sens la chaleur de son corps...Grande envie de la prendre par la taille, de glisser mes mains sur ses fesses, entre ses cuisses... Je résiste... Elle se recule...
- Dis donc, dis-moi ce que tu penses. Ca fait un moment que j'hésite à me raser le pubis... T'en penses quoi ? C'est pas terrible cette touffe, non ?!... Et je me souviens que dans ton album, la plupart des femmes ont le pubis rasé ou épilé... Tu crois que ce serait mieux que je me rase ?...
- Euh !... Je ne sais pas, moi... C'est toi qui vois... Non, tu es bien comme ça... Mais c'est vrai que, personnellement, je préfère les sexes de femmes nus, sans poils... Mais c'est chacune qui voit et je respecte... Je ne sais pas quoi te dire...
- Bon, alors je vais me raser... Tu viens avec moi ?
bbJe la suis dans la salle de bain... Elle attrape un gant de toilette qu'elle passe sous l'eau chaude et elle se mouille le Mont de Vénus... Elle prend une bombe de mousse à raser, en met une grosse noix dans le creux de sa main et s'en couvre le bas du ventre... Et attrape un rasoir jetable et me le tend :
- Vas-y, toi... J'ai peur de me faire mal...
Et elle s'assoit, jambes largement écartées, sur le bord de la baignoire...
J'hésite... mais j'ai tellement envie... Alors je prends le rasoir et m'agenouille entre ses jambes ouvertes... Et doucement pour ne pas la blesser, je commence à enlever la mousse sur le bas du ventre... J'entends le crissement des poils coupés... Je repasse plusieurs fois au même endroit pour la raser au plus près... Délicatement, je pose le bout des doigts de ma main libre pour tendre la peau... Je descends de plus en plus, m'approche de la partie délicate, le bord de ses lèvres... Elle pose un pied sur le rebord de la baignoire pour rendre plus accessible...Elle me présente ainsi son sexe grand ouvert... Je sens ses fragrances... Mes doigts glissent au bord de sa béance pour ôter les plis de la peau qui pourraient être dangereux... Puis elle change de pied...
ccJ'ai fini... Je prend le gant, le rince à l'eau chaude et enlève de son pubis maintenant nu et lisse comme celui d'une petite fille le reste de mousse, les quelques poils qui restent là... Je l'essuie longuement, le regard obnubilé par la beauté de ce lieu maintenant vierge de tout poil !... Et je ne peux m'empêcher de déposer en ce doux lieu un baiser... Elle frémit mais laisse faire... Alors j'ose un deuxième baiser... Elle se tend... Alors j'ose un long et appuyé coup de langue du bas en haut de sa fente offerte... Ce goût ! Cette odeur ! Elle pousse un profond soupir... prend ma tête à deux mains et la presse contre son sexe... Alors je la prends par les hanches, ma main glisse sous ses fesses et je lui offre un délicieux cunnilinctus... Elle aime, elle va à la rencontre de ma bouche, de mes lèvres, de ma langue... Je me remplis la bouche de sa liqueur... Elle se raidit, me serre le corps entre ses jambes... Elle jouit.
Je me redresse... La serre contre moi... Elle reprend son souffle quelques instants puis se relève à son tour, me repousse doucement et sort de la salle de bain...
- Allons ! Viens prendre d'autres photos...
Et elle reprend des poses de plus en plus lascives, de plus en plus provocantes... debout, couchée, assise, jambes grandes ouvertes ou au contraire pudiquement serrées... Elle mime la masturbation, la jouissance... Je prends photo sur photo, de face, de dos, de profil, de près, de plus loin, d'en bas, d'en haut...
- fais voir ce que tu as pris...
Docile, je me remets devant l'ordinateur...
Quand nous avons regardé toute la série, elle m'entraîne par la main et va s'asseoir sur le canapé... Elle me fait rester debout entre ses jambes écartées.
- Je veux te remercier... malgré le contrat passé...
Et sans attendre, elle ouvre mon pantalon, le fait glisser avec mon shorty à mi-cuisses... Mon sexe tendu jaillit... Elle le prend à deux mains, le porte à sa bouche, lèche le gland luisant de désir puis le gobe tout entier... Elle suce, aspire, tandis que ses mains vont et viennent... Je sens la jouissance monter. Je sens que je vais atteindre le point de non retour... Je veux me retirer mais elle s'accroche.
Et je jouis longuement et abondamment dans sa bouche...
Puis elle remonte mon pantalon me faisant ainsi comprendre que c'est fini !
Et elle me demande de lui graver le CD promis...

5 février 2019

Un week end de canicule

J'ai décidé de rééditer certains textes que j'ai écrits au début de ce blog. Celui-ci date du 1er octobre 2015.

Eté 2003. Eté de la canicule. Femme et enfants sont partis en vacances. Je dois les rejoindre dans quelques jours.
Samedi matin. Je ne travaille pas ce week-end et je n'ai rien de prévu. Farniente absolu. 10H du matin. J'ai pris ma douche, mon petit-déj. Il fait déjà chaud. J'ai enfilé un slip de bain et me prépare à aller me vautrer sur la chaise longue sur la petite terrasse de mon appart. Je n'ai là aucun vis-à-vis et c'est bien ainsi. Mon journal, un bon disque... voyons... oui, le Concert de Cologne de Keith Jarret. Super !...
Au moment où je vais m'installer, ça sonne à l'entrée ! Le facteur ? Je vais voir. Ah, non, c'est Daphnée, la copine de ma femme. Une belle femme presque aussi grande que moi, toute fine, toute mignonne, très sympathique... J'ai parfois rêvé à elle !... Elle est vêtue d'une petite robe légère retenue par deux fines bretelles et qui lui arrive à mi-cuisses. Elle a des jambes longues et magnifiques…
Nous nous faisons la bise.
- Oh ! Bonjour. Tu sais que ma femme n'est pas là...
- Oui, je sais. Mais cette fois, c'est toi que je viens voir. Ta femme m'a demandé de veiller sur toi.
- Ah bon ? Et bien rentre... Regarde, la maison est rangée et propre, la vaisselle est faite, mon linge sale et dans la corbeille... Ah, je n'ai pas encore fait le lit... Tu pourras lui faire ton rapport...
Nous rions et elle me suit dans le séjour. Debout, nous faisant face, nous parlons de tout et de rien : de la grosse chaleur de ces derniers jours et qui va durer, de nos travail, des dernières nouvelles...
- Je manque à tous mes devoirs. Tu veux un café, un thé ?
- Un thé, je ne suis pas contre...
Je file dans la cuisine le préparer et reviens avec le plateau... Elle est toujours debout et feuillette mon journal.
- Il fallait t'asseoir... Ecoute, je vais quand même enfiler un short et un tee-shirt. Je ne suis pas très décent ainsi mais je ne t'attendais pas...
- Mais non, reste ainsi... ce serait dommage...
Je suis surpris de sa réaction... D'autant que sa voix a changé... un peu enrouée comme si elle se faisait violence, se forçait à dire ce qu'elle n'osait dire...
- S'il te plait...

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Elle prend le ton d'une petite fille capricieuse avec une petite moue... Je ne sais quelle attitude avoir.
Et je remarque son regard qui frôle mon entre-jambes... Déjà tout à l'heure, quand nous parlions, j'ai remarqué plusieurs fois ses yeux braqués sur ce lieu qui commence à ressentir quelques fourmillements et à gonfler... Alors, moi aussi, j'ose...
- Mais... Je suis gêné... Tu me donnes des idées coquines... et... ça se voit !
- Justement ! Ca fait plaisir aux femmes de voir l'effet qu'elles font sur les hommes...
Elle se rapproche de moi...
- Je me mettrais bien comme toi... Mais je ne peux pas... Je n'ai rien sous ma robe !
Ouh la la !.... Est-ce là une simple information ? Une provocation ? Une invitation ? Je choisis la troisième possibilité. Tant pis si je me ramasse un râteau !
Je la prends par la taille…
- Ah bon ? Tu es… toute nue sous cette petite robe…
Elle aussi passe un bras autour de ma taille…
- Oui…
Et elle pose sa tête contre mon torse. Alors je l’enlace, commence à lui caresser le dos…Elle aussi met ses bras autour de moi et me serre contre elle…
Ma main explore à travers le tissus. Effectivement, pas trace de bretelles de soutien-gorges… Et plus bas, jusqu’aux fesses… Pas trace du moindre élastique…
Ses mains aussi glissent le long de mon dos et se posent sur mes fesses…
aaMa main remonte et redescend en entrainant le zip… jusqu’au bas du dos… Une main caresse le dos tandis que l’autre glisse sur ses fesses nues. Elles sont rondes, hautes, fermes…
Ses mains suivent le même parcours sur mon corps… Une main caresse mon dos, une autre s’est glissée sous l’élastique de mon slip et caresse mes fesses…
Je sens la pointe de ses seins fermes contre mon torse. Je sens mon sexe gonflé contre sa hanche. Elle aussi le sent… Elle ondule, accentuant la pression…
Une de mes mains passe devant, se met en coquille sur son pubis... Très agréable surprise de le découvrir parfaitement lisse, parfaitement épilé... Un doigt de faufile... Lèvres ouvertes, humides de désir...

Nos lèvres se cherchent, se trouvent, se frôlent, se collent, s’entrouvrent laissant le passage à nos langues qui entrent en action l’une contre l’autre, se mêlant, s’enroulant, s’aspirant…
Ce sont ses deux mains qui sont maintenant dans mon slip et, avec autorité, elles le font descendre sur le haut de mes cuisses. Une main passe devant pour dégager mon sexe dressé qui entrave la descente du vêtement…

Je fais glisser les bretelles de la robe sur ses épaules… Elle me lâche un moment pour en sortir ses bras, nos corps se séparent pour laisser le léger tissus tomber au sol… Elle le ramasse pour le jeter sur une chaise… je profite de ce court instant pour achever d’enlever mon slip qui suit le même chemin sur la même chaise…
Et nos corps se ressoudent. Nos bras embrassent. Peau contre peau…
Je glisse un genoux entre ses cuisses… Je sens l’humidité de son sexe contre ma cuisse… Je lui malaxe les fesses… Une main se glisse entre elles…
Elle se saisit de ma raideur et fait aller et venir sa main le long de la hampe…
Je l’entraîne vers la chambre… Nous tombons sur le lit défait…
Pas une seule parcelle nos corps n’aura reçu une caresse, un baiser, un coup de langue… Nous nous attardons l’un et l’autre sur les parties les plus sensibles de l’autre… Cunnilingus, fellation, 69, …

Nous reprenons conscience après notre petite mort commune…
- Le thé va être trop infusé et il doit être froid maintenant.
Nous rions. Nouvelle étreinte…
Et puis nous avons constaté que Daphnée n’avait non plus aucune obligation ce week-end… Alors elle est restée. Nous sommes restés nus. Nous avons baisé comme des fous : dans la cuisine, au salon, sur la terrasse, sous la douche… dans le lit aussi. Souvent.

28 janvier 2019

J'imagine

Réédition

J'ai décidé de rééditer certains textes que j'ai écrits au début de ce blog. Celui-ci date du 1er novembre 2011 !

Je suis levé tôt ce matin .
A l'autre bout du monde, vous vous endormez seulement.
tumblr_kpilnstjR61qzikyio1_500Alors je vous imagine. Evidemment, je vous magnifie.
Je vous vois nue entre vos draps.
J'imagine la forme parfaite de vos seins,
deux aimants pour les mains ;
la courbe de vos hanches ;
la rondeur et la fermeté de vos fesses ;
le galbe de vos longues cuisses fines ;
votre pubis épilé ne gardant de votre toison
qu'un petit triangle soigneusement taillé.
La pointe du bas semblant indiquer
l'entrée de votre antre sacrée...
D'ailleurs, avant de dormir,
j'imagine que votre main s'est glissée par là,
vos doigts s'insinuant entre vos lèvres,
s'y agitant d'abord doucement puis de plus en plus rapidement
jusqu'au spasme final, violent,
qui cabre votre corps...
J'imagine... Belle nuit.

20 janvier 2019

Le Week-end initiatique de Léa. Partie 7/7 et fin !

Il frappe deux fois et sans attendre de réponse, il ouvre et ils rentrent... En passant la porte, il lui souffle à l'oreille :

- Surtout, ne faites rien qu'on ne vous demande pas !
Une belle pièce meublée en moderne, pleine de lumières. Une moquette épaisse au sol, une grande table basse au milieu entourée de canapés et de fauteuils qui semblent confortables. Au mur, comme dans la chambre en haut chez Wilfried des gravures érotiques. Le plafond, au-dessus de la table, est couvert d'un vaste miroir. Madame Sophie est là.
- Ah ! Entrez les amis. Vous avez bien un petit instant ?
- Un petit, oui.
- J'ai cru comprendre que Mademoiselle Léa n'était pas insensible à mes jeunes gens, n'est-ce pas ? Alors je voudrais lui faire un petit cadeau. Et vous, cher Monsieur, asseyez-vous dans ce fauteuil. Vous verrez tout. Je vais appeler Clara et Armand.

Léa est toute excitée en se demandant malgré tout ce qui va se passer. Va-t-elle lui proposer de faire l'amour avec ces deux jeunes gens ? Ça ne la surprendrait pas. Plus rien ne la surprend maintenant.
Madame Sophie revient avec Armand et Clara.
- Bien ! Léa, veuillez-vous agenouiller devant ces jeunes gens et leur retirer leurs strings.

 

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Léa ne se le fait pas dire deux fois. Elle s'agenouille et attire Clara vers elle. Doucement, elle fait glisser l'élastique le long des longues cuisses de la jeune fille dévoilant le pubis parfaitement épilé. Puis, elle se tourne vers Armand et fait la même opération, mettant à l'air le sexe du garçon. Il est lourd, pend encore entre ses jambes. Il a gardé une fine toison juste au-dessus de la racine du phallus. Léa est fascinée par ce sexe qu'elle a tenu tout à l'heure en main. Il avait alors une autre vigueur ! Elle reste toujours émerveillée de la capacité du sexe masculin à changer ainsi d'apparence.
- Bien ! Ne sont-ils pas magnifiques tous les deux ?!... Maintenant, veuillez-vous asseoir les fesses au bord du canapé et vous appuyer au dossier et vous allez écarter légèrement les jambes... Voilà, comme ça, c'est parfait.
Puis elle prend Clara et elle la fait asseoir sur les cuisses de Léa, ses jambes de chaque côté des siennes ce qui les lui écarte encore plus. Et elle la fait s'appuyer contre le corps de Léa. Clara se retrouve ainsi le sexe ouvert, offert à la vue de tous.
- Si vous le voulez, vous pouvez lui caresser la poitrine et le ventre jusqu'au pubis. Mais pas plus bas, n'est-ce pas. Pas touche à son sexe, on est d'accord ?
- D'accord Madame !

Et sans tarder Léa commence à prendre en mains chacun des seins de la jeune fille. Fermes, haut montés, ni trop gros ni trop petits... Les pointes se dressent déjà sous les caresses.
Sophie s'adresse à Armand.
- Et bien mon garçon, tu connais le jeu, n'est-ce pas ? Tu vas t'agenouiller entre les cuisses de Léa et tu vas offrir un joli cunnilingus à ton amie Clara. Tu peux caresser les cuisses de Clara, Léa s'occupe du haut.

Armand approche son visage du sexe ouvert devant lui. Léa est déçue. Elle ne voit rien. Mais elle sent soudainement la jeune fille se crisper sur elle, sans doute quand la langue effleure son clitoris.  Elle sent aussi les mouvements du corps d'Armand entre et contre ses cuisses. Elle précise alors ses caresses sur les seins, les côtés, le ventre. Elle descend jusqu'au pubis, aux aines où le bout de ses doigts rencontrent ceux d'Armand... Elle remonte ses mains, serre contre elle Clara qui commence à gémir, à se raidir de plus en plus, à respirer fort, à se tortiller pour aller à la rencontre des lèvres, de la langue du garçon. Elle serre ses cuisses autour du corps d'Armand. Elle sent les fesses de la fille contre son pubis qui se serrent, se resserrent de plus en plus fort. Elle regrette de ne pas être nue pour mieux sentir ce contact... Les vibrations qui remplissent le corps de Clara se répercutent dans son corps à elle. Elle sent une onde d'excitation et de plaisir la gagner...

Une main sur un sein, elle serre Clara de plus en plus fort... Elle fait pression de son autre main sur le pubis, limite imposée par Sophie. Elle donne des à-coups pour aller à la rencontre de la bouche d'Armand comme si c'était elle qui recevait la caresse...

Tous les muscles de Clara se bandent soudainement. Elle crie. Elle jouit. Léa voit dans la glace son visage déformé. On dirait qu'elle souffre. Elle se demande intérieurement pourquoi l'extrême jouissance s'exprime sur les visages et sur les corps de la même manière que la souffrance. Idée passagère qu'elle oublie vite.
Clara se détend. Elle caresse doucement son corps... Léa est un peu déçue. Certes, elle ressent un grand bien-être, elle a l'impression que son short est trempé de sa liqueur. Mais elle n'a pas joui.
- Ne bougez pas les filles. C'est pas fini, dit Madame Sophie. Reprenez votre esprit ma petite Clara. Il faut maintenant que vous soulagiez ce pauvre garçon. Regardez dans quel état il est.

Armand se relève. Sexe dressé. Puissant. Il a un grand sourire.
- Waouh ! Quelle érection ! Que j'aimerais soulager ce garçon ! s'exclame Wilfried déclenchant un grand éclat de rire...
- Non, non, non ! Une autre fois si vous voulez. Je sais que vous aimez ces jeunes éphèbes. Vous les avez d'ailleurs fort bien formés pour le plaisir des hommes mais aussi des femmes. J'en sais quelque chose.

Nouveaux rires.
- Allez Armand, pénétrez ce joli con que vous avez si bien préparé à vous recevoir et qui n'attend plus que vous. Et vous, Léa, vous faites ce que vous voulez. Sauf prendre la place de Clara !
- Dommage ! souffle Léa. Mais... est-ce que je peux me mettre nue ? Pour mieux sentir le contact de Clara contre moi...
- Oh oui ! s'exclame la jeune fille.
- Bon ! Eh bien d'accord. Mais je te rappelle la consigne, Armand. C'est Clara que tu pénètres. Ne te trompe pas d'entrée.
Sans attendre plus, Clara se lève, se retourne pour aider Léa à enlever son haut puis son short. Léa se rassoit comme elle était et Clara reprend sa position sur elle...

Le garçon s'approche. Il prend son temps. Caresse les corps des deux femmes, leurs cuisses... Il prend son sexe d'une main, le tire vers le bas, prend appui sur les cuisses et lentement commence la pénétration...  Léa pousse un petit cri de surprise : c'est elle qu'il pénètre. Elle regarde Sophie qui ne semble pas s'en être rendu compte. Elle se raidit. Dieu que c'est bon. Le sexe continue sa progression...
- Armand ! Qu'est-ce que j'ai dit ?
Il se retire brutalement.
- C'était pour rire, Madame !
Mais il est le seul à rire. Léa est furieusement frustrée !

 

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Maintenant, il prend appui sur les épaules de Léa, se penche en avant, est presque à plat ventre sur le corps de Clara. Sans le guider, le gland écarte les lèvres de Clara. Cette fois c'est elle qui se raidit. Doucement, lentement, il s'enfonce en elle. Lorsqu'il est au plus profond qu'il peut, vu leurs positions, il s'arrête un temps. Puis il se retire tout aussi lentement, tout aussi doucement... Il sort complètement... Puis recommence... Très lentement. Très doucement. Il sait y faire le bougre.
Clara transpire. Sa respiration devient saccadée. Elle donne des coups de reins... pour aller à la rencontre du sexe...
Léa la caresse... Elle glisse une main entre les deux corps des jeunes, se saisit de la racine du sexe et le maintient... Elle pose son autre main sur les fesses d'Armand... Elle les voit dans la glace du plafond... Rondes... Elle a envie de les pénétrer...

Enfin, Armand change de rythme... Maintenant, Léa glisse ses mains sous les fesses de Clara, elle les écarte, trouve son anus et le pénètre d'un doigt...
De nouveau elle est gagnée par le plaisir que lui transmet la jeune fille...
Soudain, le garçon arrête tout mouvement, se raidit. Léa le regarde. Il a le visage défiguré. Il fait des efforts qui semblent insurmontables pour se retenir. Mais il a dépassé la zone de non-retour.. Vite, Léa glisse de nouveau sa main sur le pubis de la belle, descend ses doigts, masse le clitoris au passage et atteint le sexe qu'elle sent gonfler... Armand se laisse tomber, donne de violents coups de reins... Il jouit. Et sa jouissance entraine celle de Clara... Encore plus violente que la précédente...

Léa est au bord de l'extase... Elle veut se masturber pour arriver à ses fins mais ne peut atteindre son sexe... Alors elle serre les fesses, les sphincters... Elle respire fort... Le garçon se rend compte de la situation et se retire. Léa plonge alors une main vers son sexe tandis qu'elle pénètre de l'autre le con de Clara rempli de sperme. Et elle les masturbe au même rythme... Les deux femmes crient en même temps de jouissance.

Long silence. Repos. Retrouver son souffle...
- Allons, Mademoiselle Léa. C'est très bien. Maintenant rhabillez-vous vite, nous devons y aller.

***

Wilfried arrête la voiture en double file.

- Mademoiselle, allez sonner à la porte qui est là, la verte. Quand on vous répondra à l'interphone, vous répondrez "Nous sommes là !". C'est tout. Et vous attendrez que quelqu'un vienne.
- Mais... Qu'...
- Mademoiselle ! Vous faites ce que je vous demande.
Avec de nouveau de l'angoisse au ventre, Léa descend de la voiture. Qu'est-ce qui va se passer encore ? Elle pensait que c'était fini. Et voilà que Wilfried a un nouveau plan !...  Elle en a presque les larmes aux yeux.
Elle sonne. Attend quelques secondes et une voix rendue nasillarde par l'interphone répond.
- Oui ? Qu'est-ce que c'est ?
- N... Nous sommes là !

L'interphone est coupé. Comme demandé, Léa attend à côté de la porte. Enfin, celle-ci s'ouvre.
- Oh ! Anne !
- Ben oui ! Qu'est-ce que tu croyais ? Il ne t'a pas dit que vous passiez me prendre ?
- Non. Et j'ai eu peur d'un nouveau traquenard, d'une nouvelle idée de sa part...
Elles s'embrassent chaleureusement.
- T'inquiète pas. Une idée, il en a une. Mais je pense qu'elle va te plaire. Et j'en suis.
- Qu'est-ce que c'est ?
- Chut ! Viens ! Il nous attend.
Wilfried les accueille avec un grand sourire.
- Ca va mieux, Léa ? Je vous sentais inquiète... Passez derrière avec Anne, vous pourrez vous faire des câlins le temps qu'on arrive à la maison.
Elles ne s'en privent pas de ce câlin. Les lèvres se joignent, les mains se font indiscrètes, passent sous les vêtements. Léa constate vite que Anne est toujours les fesses à l'air sous sa petite jupe ce dont elle ne se plaint pas.

Ils se retrouvent tout en haut, au bout du couloir devant la porte que Léa commence à connaître.
- Entrez, Mademoiselle.
Léa ouvre la porte et commence à rentrer. Mais elle s'arrête, interdite. Devant elle, nu, les jambes écartées, mains derrière le dos... Cédric est là. Elle se retient de pouffer de rire et en même temps, elle est heureuse de cette surprise.
Anne et Wilfried rentrent derrière elle et il referme la porte.
- Mesdemoiselles et particulièrement vous Léa, vous allez dépuceler ce garçon. Je vous l'ai dit tout à l'heure, il s'est fait sodomiser, il a éjaculé entre des mains d'hommes et dans des bouches d'hommes. Souvent même. Avant hier, c'était la première fois qu'il voyait avec vous une femme nue et qu'il jouissait entre des doigts de femme. Ce matin il a joui sous l'effet de vos caresses, Anne avec Eléonore. Mais il n'a jamais pénétré une femme, il n'a jamais fait vraiment l'amour à une femme. Vous allez être sa première, Léa...
- Yes ! s'exclame la jeune femme. Je suis contente !
- Je vois cela. Je vous aiderai si nécessaire et Anne aussi... Car il va vous falloir beaucoup de ténacité. Il a déjà déversé beaucoup de sperme aujourd'hui et je ne sais pas si ses couilles ont eu le temps de faire de nouveau le plein ! Regardez son pauvre sexe !

En effet, le sexe pendouille lamentablement entre ses cuisses. Le malheureux garçon est rouge de confusion mais stoïquement, il garde la position.
- Allez, on va se mettre nus aussi, ça va le mettre à l'aise.
Et tous les trois se déshabillent. Une fois nu, Wilfried s’assied dans le fauteuil.
- Anne, venez vous asseoir sur mes genoux.
Elle s'assoit en amazone en prenant Wilfried par le cou. Lui commence immédiatement à lui caresser les cuisses.
- Léa, vous faites comme vous le voulez, vous prenez toutes les initiatives que vous voulez. Le but est que ce jeune garçon vous pénètre et jouisse en vous. Et vous, jeune homme, quittez cette position. Vous êtes sensé faire l'amour avec cette femme et j'aimerais vous voir prendre quelques initiatives aussi... Comme vous savez le faire avec vos jeunes copains et avec moi. On vous regarde...

 

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Léa s'approche du garçon et l'enlace. Timidement, il entoure ses épaules de ses bras. Elle aime être ainsi collée à ce jeune corps presqu'encore adolescent, démuni de poils, à la fine musculature, les membres longs... Elle sent le sexe contre sa cuisse qui semble gonfler légèrement... Elle a le temps. Elle veut le faire languir... Elle lui caresse les bras, les épaules, le dos, se contentant d'effleurer seulement le haut des fesses... En même temps, elle fait aller et venir la pointe de ses seins contre son torse... Lui ne semble pas oser trop bouger, trop entreprendre. Tout juste s'il a descendu légèrement les mains sur le dos de Léa !

Elle jette un coup d'œil aux deux autres par-dessus l'épaule du jeune homme. Anne a blotti sa tête dans le creux de l'épaule de Wilfried. Elle tient d'une main le sexe en semi-érection et en caresse légèrement le gland de son pouce... De l'autre main elle se caresse distraitement la pointe de son sein. Wilfried, lui, caresse la face intérieure de la cuisse en remontant jusqu'aux lèvres...

Léa s'écarte légèrement pour caresser maintenant le torse du garçon en s'attardant sur la pointe de ses petits seins... Mais elle a glissé sa cuisse entre les siennes pour continuer à sentir le contact du pénis toujours au repos... Elle se garde bien de le toucher ce sexe et arrête ses caresses juste au-dessus de sa racine...
Puis elle s'agenouille, caresse les jambes, les cuisses, les lui fait écarter... Elle fait exprès de faire en sorte que son souffle arrive sur le sexe... Que le garçon sente son visage tout près... Elle observe que ce pénis gonfle de plus en plus... Il commence à se redresser...

La première, elle craque. Elle n'en peut plus de le faire languir... Une main monte sur ses fesses, les écarte, se faufile entre elle. Il va aimer ça ! Elle trouve l'anus et essaie d'y faire pénétrer un doigt !... De l'autre main, elle empoigne les testicules et gobe le sexe dans sa bouche... Enfin, le garçon réagit. Ses muscles se bandent. Il pousse un profond soupir de satisfaction. Et son vit gonfle, gonfle dans la bouche de la jeune femme...  Il prend une taille et un volume satisfaisant mais il reste mou. Surtout pas assez ferme pour la pénétrer...

Léa se relève et l'entraîne vers le lit. Elle le fait s'allonger sur le dos... Elle s'agenouille à côté de lui, colle sa bouche à la sienne, doit lutter pour qu'il accepte de l'entrouvrir pour qu'elle puisse y faire pénétrer sa langue... En même temps, elle branle le sexe qui refuse encore de durcir... Lui, se contente de lui caresser mollement ses épaules et ses bras...
Elle se sent gagnée par un certain découragement et une légère colère. Wilfried lui a confié une mission impossible ! Ce garçon n'est pas du tout intéressé par les femmes. Pourtant, l'autre jour dans le salon d'essayage et ce matin avec Anne et Eléonore il avait une autre allure et n'était pas insensible aux formes et aux caresses féminines ! Ou alors, il a tellement eu d'orgasmes dans la journée avec Wilfried et d'autres garçons -elle voudrait bien savoir ce qui s'est passé, entre mecs, elle aurait voulu être petite souris- qu'il en est complètement épuisé et sans réserve !... Elle décide, d'être plus radicale. Elle se redresse brutalement, s'agenouille au-dessus du visage du malheureux, les genoux de part et d'autre de ses épaules. Elle écarte ses lèvres entre deux doigts :

 

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- Ecoute, Cédric, je veux jouir de toi. Je veux que tu bandes suffisamment pour enfiler ton sexe là... Tu vois, c'est chaud, profond, humide... regarde...
Et elle prend une de ses mains, un doigt et se l'enfonce dans son con... Puis le retire.
- Regarde. Ça, ce petit bouton. C'est mon clitoris. Toutes les femmes ont ça. C'est très sensible. C'est en partie avec ça que je jouis... Alors, tu vas me le caresser avec ta bouche, ta langue, tes lèvres... Tu peux aussi faire entrer un de tes doigts dans mon vagin. Là ! Tu vois ? Et  avec ton autre main, caresse-moi les fesses. J'adore qu'on me caresse les fesses...
Et joignant le geste à la parole, elle prend une main et la pose sur ses fesses tandis qu'elle se baisse pour mettre son sexe au contact du visage du garçon... Elle donne des mouvements de reins...
Le garçon hésite puis donne un coup de langue... Il y revient... Il trouve de la pointe de la langue le clito et l'agite dessus... Sa main caresse légèrement les fesses...

Petit à petit, il prend de l'assurance... Ses gestes sont plus précis. Il y met plus de vigueur... Ses doigts écartent les fesses, trouve l'entrée de l'anus et l'un d'eux essaye d'y pénétrer. Il sait pénétrer les culs, ne peut s'empêcher de penser Léa. Mais elle aime ça... Une onde de bien-être la gagne... Elle est bien... Mais la règle lui impose de ne pas jouir ainsi. Elle fait durer encore un moment cet instant... Et elle se détache, se retourne, se met à quatre pattes au-dessus du corps allongé... 
- Continue à me caresser, c'est bon...

Le sexe posé sur le ventre du garçon a trouvé la rigidité attendue... Preuve qu'il prend enfin goût à l'affaire, pense Léa. Elle se penche, soulève la tige ferme et dure d'une main et la met en bouche. Il aime la fellation, certainement ! Alors, elle lui en offre une tout en faisant aller et venir sa main le long de la hampe. Et, pour rajouter du piment, elle glisse son autre main sous les fesses...
Lui, fait pénétrer deux doigts dans le vagin et joue avec le pouce avec le clito... Et il enfonce un doigt de son autre main dans l'entrée secrète...

Léa sent le phallus palpiter dans sa bouche et dans sa main... Il continue à gonfler... Alors, une nouvelle fois, elle se retourne, le chevauche et s'empale... Elle prend appui sur le torse du garçon... Mais celui-ci lui fait plier les bras et la serre contre lui. Il lui caresse le dos, les fesses... Il relève les jambes comme pour la pénétrer encore plus profondément et donne des coups de reins... Léa ne peut plus bouger ainsi prise... Elle se laisse aller, ne se concentre plus que sur ses seules sensations... Une onde de plaisir la submerge devenant tempête, tornade, cyclone quand elle sent en elle le garçon exploser. Ils jouissent en même temps !

Ils retrouvent leur souffle. Et se rendent compte de la présence de Wilfried et de Anne tout contre eux...
- Anne, nettoyez le sexe de ce garçon pendant que je nettoie celui de Léa.
Et il les fait se séparer. Anne s'empare du sexe encore raide du garçon, le lèche, le prend en bouche. Wilfried plonge le visage entre les cuisses de Léa et aspire le sperme dont il est rempli, mélangé à la liqueur de Léa...
- Anne, amenez maintenant ce garçon dans votre chambre et occupez-vous en bien. Il vient de découvrir le plaisir qu'il peut avoir avec une femme et je ne doute pas qu'il veuille recommencer. Bonne nuit.
- Bonne nuit, Monsieur. Bonne nuit Léa.
- Bonne nuit.
Lorsqu'ils sont sortis, Wilfried prend Léa dans ses bras et la serre contre lui en la caressant.
- Vous avez été superbe, Mademoiselle. Bravo !
Et il l'embrasse à pleine bouche. Et la pénètre. Ils font l'amour tous les deux, en prenant leur temps, avec beaucoup de douceur et de tendresse...

 

Epilogue

 

Quand Léa se réveille, elle est seule dans le lit, seule dans la chambre. Elle constate que ses vêtements sont toujours sur le sol, là où elle les a laissés hier soir...
Après une longue douche, elle enfile son short et son haut. Et descend.

Lorsqu'elle sonne, personne ne vient lui ouvrir. Une sourde angoisse commence à la gagner. Il va falloir qu'elle parte attraper son train pour revenir à Marseille. Il faut qu'elle récupère son sac et elle ne veut pas rentrer ainsi habillée. Sans y croire, elle actionne la poignée de la porte. A sa surprise mais avec soulagement, elle constate que la porte n'est pas fermée à clé. Elle rentre. L'appartement est vide.

Dans la cuisine, elle trouve sa robe posée sur une chaise. Son sac sur la table. Sur la table, aussi, un papier : "Bisous, Léa. Je suis contente de te connaître. Je t'aime. Appelle-moi !" suit un numéro de téléphone. Signé Anne. 
A côté, une enveloppe "Pour Mademoiselle Léa". Elle l'ouvre. Un papier : "Mademoiselle. Je viens à Marseille le week-end prochain, dès vendredi midi, chez des amis. Si vous voulez m'y retrouver, vous savez comment me le faire savoir". Pas une signature. Pas un mot gentil. Pour qui il se prend ?!... Il croit que je suis libre, que je suis ainsi à sa disposition ?... Dans l'enveloppe, il y a également toute une série de photos d'elle : attachée sur le lit là-haut ; à genoux sur le canapé du salon ; dans l'infâme cave où elle s'est fait violer ; dans la cave du Baron ; suspendue chez Mathilde... Le mufle ! Il m'a prise en photo et je suis parfaitement reconnaissable. S'il met ces photos sur le net, je suis foutue ! pense Léa...

Elle ôte son haut et son short. Trouve dans son sac culotte et soutien-gorge et les enfile. Puis elle met sa petite robe avec laquelle elle est arrivée.

Elle est maintenant attablée à une table d'un petit bistro près de la Gare de Lyon devant un sandwich et une bière. Elle a plus d'une heure à attendre avant le départ de son train. Elle a l'impression de reprendre pied dans la vraie vie. Toutes ces dernières heures ont tellement été hors temps. Mais elle repense à chacun de ces moments avec une certaine nostalgie. Elle regrette déjà ces moments où, certes, elle a été humiliée, où il lui a fallu prendre le dessus, avaler sa salive... Mais elle craint aussi de retourner dans une vie monotone, un train-train où elle s'ennuie, plein de convenances, de "bonnes manières"... Et puis, elle se sent emprisonnée avec ce soutien-gorge et cette culotte... 

Elle rallume son téléphone. 15 appels en absence ! Amis et famille ont dû se demander ce qu'elle était devenue. Qu'est-ce qu'elle va bien leur raconter de son week-end à Paris ? La vérité, comme une provocation ? Non, elle a le temps du voyage pour s'inventer un programme... La Tour Eiffel, les Champs Elysées,...
Elle cherche le message d'Anne dans son sac et compose son numéro.
- Anne ? C'est Léa ? Ça va ?
- Oui, super, tu m'appelles. Tu es repartie ?
- J'attends mon train... Et ta nuit, elle a été comment avec le beau Cédric ?
- Il s'est tout de suite endormi... Mais on a fait l'amour ce matin au réveil. C'était sublime. Et toi ?
- Grandiose !...
Un temps de silence. Et Léa rajoute tout bas :
- Tu me manques déjà. Vous me manquez... J'ai pas envie de retourner à Marseille, toute seule... Ça m'emmerde... J'ai le cafard... Tu crois qu'on va se revoir ?
- Allons, ne te laisse pas aller... La vie continue. Quand à se revoir, pourquoi pas ? Ca dépend de toi... Wilfried m'a invitée à l'accompagner le week-end prochain à Marseille...
- Quoi ? Tu vas venir avec lui ? Super !
Maintenant, Léa sait ce qu'elle va faire le week-end prochain. Et elle a hâte.
- Oui ! Tu veux ? Il a de bons amis là-bas que je connais un peu. Et je crois l'avoir entendu dire qu'ils lui demandaient de venir parce qu'il y a un jeune couple de 23 et 24 ans qui veut être initié... Un gars et une fille... Et je pense, que si tu acceptes, tu seras aux premières loges pour les accompagner comme j'ai essayé de le faire avec toi...
- Un gars et une fille ?... 
Cette perspective lui rend son enthousiasme.
- Faut que je te laisse. Mes cours vont reprendre. Je t'embrasse.
- Oui. Moi aussi. A vendredi.

Léa reste songeuse un moment. Elle finit sa bière d'un trait. Laisse un billet sur la table.
Elle va aux toilettes et enlève culotte et soutien-gorge.

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14 janvier 2019

Le Week-end initiatique de Léa. Partie 6/7

Wilfried gare la voiture dans un parking souterrain proche des Champs-Elysées. Il coupe le contact. Et en posant sa main sur la cuisse de Léa, il dit :
- Détendez-vous, Mademoiselle Léa. Je vous sens crispée.
- Je vous l'avoue, Monsieur. Oui. J'ai peur de ce qui m'attend...
- Ah bon ? Et pourquoi ?
- J'ai eu tellement peur souvent pendant ces deux jours que je crains le pire.
- Mais vous avez eu aussi beaucoup de plaisir, n'est-ce pas ?
- Oui, Monsieur.
- Et bien alors ? Bon ! Je ne devrais pas vous le dire pour garder l'effet de surprise mais rassurez-vous. Vos épreuves sont terminées. A moins que ma propre présence soit une épreuve pour vous. Ce soir, vous m'appartenez et vous n'appartenez rien qu'à moi. Avec cependant une petite surprise, mais je crois que ça ne vous déplaira pas, ce soir, lorsque nous serons revenus à la maison. Ça vous va ainsi ?

 

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Léa est soulagée. Un poids la quitte.
- Oh oui, Monsieur.
D'autant plus soulagée que Wilfried met un bras autour de ses épaules, l'attire vers lui et cherche sa bouche avec la sienne. Leur premier vrai et long baiser. Pendant que leurs langues s'agitent et dansent ensemble dans la bouche de l'un, de l'autre, Wilfried a glissé sa main sous le haut de Léa et lui caresse doucement, tendrement les seins dont les tétons se dressent... Elle ose poser sa main tout en haut de sa cuisse et devine le sexe tendu à travers le tissus du pantalon.
- Allons. Venez.

Ils sortent tous deux de la voiture. Il la prend par la taille et ils sortent du parking. De temps en temps, sa main glisse sur les fesses qu'elle caresse furtivement avant de remonter sur la hanche. 

Lorsqu'ils rentrent dans le restaurant, Léa a un mouvement de recul et de malaise. Ambiance feutrée, moquette épaisse au sol, décoration luxueuse, lustres de cristal tombant du plafond, tapisseries aux murs, tables richement montées avec leurs rangées de verres en cristal, leurs nombreux couverts par convives, leurs sièges capitonnés... Les femmes sont bellement habillées, chargées de bijoux. Certaines sont en robes longues... Les hommes sont également en costumes et certains même, en smoking avec nœud papillon, montre à gousset... Les serveurs sont en queue de pie et gants blancs, les serveuses en robe noir strict avec petit tablier blanc... Léa ne se sent absolument pas à sa place dans ce cadre avec son petit short et son haut qui laissent tout voir de sa morphologie... Elle se sent rougir...
Mais Wilfried lui désigne un escalier juste à côté de la porte d'entrée et l'invite à le monter. Il la suit. Elle devine son regard sur ses fesses, ses cuisses...

Ils arrivent sur un palier. Wilfried passe devant elle, ouvre une porte et lui fait signe de rentrer. Une toute autre ambiance ! Lumières tamisées. La salle est tout aussi belle que celle du bas mais beaucoup plus simple. Un grand espace au milieu. Les tables sont disposées autour de ce qui doit être une piste de danse, séparées les uns des autres par des petites cloisons faisant de chacune un petit coin intime. Léa remarque tout de suite que les femmes sont aussi peu habillées qu'elle et les hommes sont en tenues plus sportives, plus décontractées. Elle observe aussi que certains couples sont enlacés, en attendant d'être servis, d'une manière qui ne laisse aucune ambigüité sur ce qu'ils sont en train de faire : mains plongées dans des décolletés, dans des braguettes, sur des cuisses nues...

Une grande femme fine vient à leur rencontre. La maîtresse d'hôtel sans doute. Vêtue d'un short en cuir très court et très moulant et d'un chemisier transparent dont seuls les deux boutons du bas sont attachés ; il laisse ainsi tout voir de la poitrine, fort belle d'ailleurs, de la femme.

Elle accueille chaleureusement les nouveaux arrivants.

- Bonsoir, cher Monsieur. Bonsoir Madame.
- Bonsoir Madame Sophie. J'ai réservé une table pour deux personnes.
- Oui, oui, tout à fait. Je vais vous y conduire, si vous voulez bien me suivre.
En traversant la salle, ostensiblement Wilfried pose sa main sur les fesses de Léa. Ailleurs, ce geste de possession aurait terriblement gêné la jeune femme. Mais dans ce lieu, cela ne la gêne absolument pas, au contraire. Ce lieu semble dédié à tous les plaisirs et, puisque Wilfried lui a certifié que ce soir elle lui appartenait et à lui seul, elle veut jouer pleinement le jeu.

- Voulez-vous un apéritif ?
- Amenez-nous une de vos meilleures bouteilles de champagne, s'il vous plait.
- Je vous fais amener cela ainsi que la carte.
Et elle s'éloigne. Léa est surprise de ce lieu. Elle n'imaginait pas que de tels lieux pouvaient exister. Mais elle n'est pas au bout de ses surprises !
Ils sont assis non pas face à face comme dans n'importe quel autre restaurant mais côte à côte sur une banquette très confortable... Comme en bas, la table est joliment présentée avec ses rangées de verres de différentes tailles et ses nombreux couverts.

Wilfried pose une main sur sa cuisse, tout contre son pubis. Instinctivement, elle écarte les jambes. Il la prend par la nuque de l'autre main et la rapproche de lui pour un nouveau long et profond baiser... Ses doigts se sont faufilés entre ses cuisses et agacent son sexe à travers le fin tissu du short.

- Que je vous donne quelques explications. Dans cette salle, il est servi exactement le même menu qu'en bas, la même qualité de service. Mais disons que l'ambiance est beaucoup plus... disons, beaucoup moins guindée ! C'est le moins qu'on puisse dire. Madame Sophie est une amie. Une dominatrice. Et toutes les serveuses et tous les serveurs constituent ce qu'on pourrait appeler... son harem. L'ambiance vous plait ?
- Beaucoup, Monsieur. Merci.
- Je vous autorise ce soir à oser prendre des initiatives, si vous voyez ce que je veux dire. Discrètement, nous ne sommes pas chez le Baron, avec une certaine tenue donc mais aussi directement...

 

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Léa n'a pas le temps de lui répondre. Une magnifique jeune fille qui doit avoir à peine 20 ans leur amène dans un seau la bouteille de champagne commandée. Et, Léa en est fortement surprise, elle ne porte pour tout vêtement... qu'un mini string rouge qui lui arrive au ras du pubis. Elle ouvre la bouteille.
- Merci, Clara. Vous embellissez de jour en jour.
- Merci Monsieur.

C'est vrai qu'elle est belle cette fille, pense Léa. Ses petits seins arrogants, ses fesses rondes, ses longues cuisses fuselées... Elle est obnubilée par son pubis : le fin tissu du string a pénétré entre ses lèvres et les dessine parfaitement... Comme si elle était entièrement nue.
Léa la regarde s'éloigner. Elle semble parfaitement à l'aise dans sa presque nudité devant tout le monde.
Arrive alors un jeune garçon, le même âge sensiblement... et la même tenue. Un string rouge qui moule parfaitement la forme de son sexe et de ses testicules. Il se poste à côté de Léa et lui tend la carte. Puis donne l'autre à Wilfried.
- Bonsoir Armand, vous allez bien ?
- Oui, merci Monsieur. Je suis content de vous revoir.
- Moi aussi, mon garçon. Je garde un bon souvenir de vous, de ces belles nuits torrides avec vous et les copains.
- Merci Monsieur. J'aimais bien aussi.

Le garçon ne se démonte pas devant les insinuations de Wilfried. Et Léa, qui a le regard aimanté par son sexe, le voit même frémir à travers le tissu.
- Et avec Madame Sophie ?
Les yeux du garçon brillent.
- Ça va bien. Super.
- Racontez à Mademoiselle.

Là, le garçon commence à rougir légèrement.
- Eh bien... Nous sommes six. Trois filles et trois garçons. Le soir, à quelques-uns, nous faisons le service au restaurant. Nous vivons ensemble et parfois on joue...
- Vous jouez ? Que diable ! Dites-nous en plus mon garçon.
- Eh bien... Madame Sophie organise des spectacles pour elle seule ou pour des amis. Elle nous demande de faire l'amour entre nous. Entre garçons, entre filles, entre garçons et filles... Parfois à deux ou à trois ou plus... Parfois, elle nous demande aussi de nous masturber devant elle ou ses amis...
- Et vous aimez cela ?
- Me masturber ?
- Vous masturber et le reste...
- Oui Monsieur. Je vous laisse faire votre choix ?
- Merci. Mademoiselle, donnez-moi votre carte et laissez-moi choisir moi-même. Et buvons.

Il prend sa flûte de champagne et la lève à la santé de Léa. Elle fait de même...
Lorsqu'il a fini de consulter la carte, il met un bras autour du cou de Léa, prend sa main et la pose sur sa braguette.
- Que sentez-vous ?
- Vous êtes en érection, Monsieur.
- Oui je bande. Et sachez que c'est vous qui me mettez dans cet état. Vous mais aussi ce jeune Armand.

Léa est surprise de cet aveu. Et cela doit se voir.
- Pourquoi êtes-vous surprise ? Vous m'avez vu ce matin avec Cédric... Et oui, j'aime les garçons aussi. Les jeunes garçons, ces jeunes éphèbes... Armand et ses copains qui travaillent ici et qui sont maintenant au service de Madame Sophie, comme Cédric et d'autres encore, je les ai eus dans mon lit... J'aime sentir ces jeunes corps contre le mien, ces corps musclés mais à la musculature encore fine... J'aime voir et sentir leur jeune sexe frémir, se tendre, se durcir, se redresser fièrement... Vous aimez faire des fellations ?
- Oui, Monsieur.
- Et bien moi aussi. Et ces jeunes sont généreux en foutre, leur jouissance est profonde, leurs orgasmes sont longs... Je vous choque ?
- Pas du tout.
- D'ailleurs pourquoi seriez-vous choquée ? Je vous ai vue avec Mademoiselle Anne et aussi avec Eléonore... Au fait, vous avez passé un bel après-midi chez Maîtresse Mathilde ?
-  Au début ça a été un peu difficile. Elle a été violente avec moi, elle m'a humiliée me traitant comme une chienne, une chaîne autour du cou et à quatre pattes...
- Humiliée ? C'était dans la rue ? Il y avait du monde qui se moquait de vous, qui rigolait ?
- N... Non. Il n'y avait qu'elle, Anne et Eléonore.
- Des amies donc. Que vous commencez à connaître. Et que vous semblez apprécier...
- Oui. Mais quand même...
- Et elles étaient confortablement assises dans des fauteuils, habillées et tout ?...
- Non. Elles étaient nues, les bras attachés par des cordes qui tombaient du plafond et les pieds entravés par une barre de fer.
- Donc d'une certaine manière, elles étaient elles aussi humiliées...
- Oui, c'est vrai.
- Il faut savoir ce que vous voulez, Mademoiselle Léa !

 

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A ce moment arrive Clara.
- Je peux prendre votre commande.
- Oui, tout à fait. Nous allons prendre les canapés de foie gras sur lit de quatre salades, un tournedos avec ses trois purées et ses champignons, le plateau de fromage et un sorbet. Cela vous convient, Mademoiselle Léa ?
- Oh oui...
- Très bien. On va vous servir.
Et la serveuse s'éloigne. Tous les deux la regarde partir, fascinés l'un et l'autre par sa cambrure, ses fesses, ses longues cuisses.
- A croquer aussi, n'est-ce pas ! Il faut donc savoir ce que vous voulez, vous disais-je. Vous avez voulu expérimenter la soumission, vivre autre chose, découvrir d'autres horizons... La soumission passe par un minimum d'humiliation, reconnaissez-le. Et vous savez que vous auriez pu tomber sur beaucoup plus violent, plus pervers que Mathilde et moi-même. Bon, mais à part ses humiliations, que s'est-il passé ensuite ?
- Elle m'a attachée comme l'étaient Anne et Eléonore, elle nous a bandé les yeux et nous a livrées à une vingtaine de femmes que nous n'avons jamais vues mais qui nous ont fait beaucoup jouir...
- Mais vous étiez pourtant en position d'humiliation. Et vous avez malgré tout beaucoup joui ?
Léa devient gênée et rougit un peu. Wilfried rit de bon cœur en l'attirant vers lui
- Je vous taquine ! Changeons de sujet.

Et il l'embrasse à nouveau à pleine bouche en glissant sa main sur sa cuisse. Un doigt s'insinue sous le tissu du short et vient directement vers le sexe. Il y pénètre sans difficulté tant il est lubrifié par  le désir et l'excitation. Elle ne reste pas inactive, pose sa main sur le sexe qui gonfle le pantalon et la fait glisser tout au long de la hampe...
Tout occupés, ils n'ont pas entendu arriver Armand qui amène deux assiettes. Lorsqu'il s'en rend compte, Wilfried lui ordonne :
- Restez là, Armand. Regardez !...

Et son doigt s'agite de plus en plus dans le con de Léa qui sent le plaisir monter. Enhardie, coquine, elle tire le zip de la braguette, plonge la main, se faufile sous le slip et se saisit de la queue de Wilfried...
Doucement, Wilfried la lâche et la repousse... Ils reprennent une position plus digne ! Léa ne peut s'empêcher de regarder le sexe du garçon qui forme une barre horizontale plaquée contre son ventre.
- Merci Armand. A plus tard.

Il remplit de nouveau les coupes de champagne. Et ils commencent à manger. En silence, pendant un moment. Puis c'est Wilfried qui rompt de nouveau le silence.
- Nous avons troublé ce garçon, ne croyez-vous pas ? Pourtant, ici, il doit être habitué. A votre avis, qu'est-ce qui l'a troublé à ce point ? Votre main dans ma braguette ou la mienne dans votre minou ?
- Sans doute les deux, non ?
- Vous avez absolument raison. Voyez-vous, ces jeunes garçons que j'ai caressés, masturbés, sucés, sodomisés, fait jouir et qui m'ont aussi fait jouir, eh bien j'ai voulu leur faire connaître aussi le corps féminin. Ils étaient heureux entre mecs et se pensaient homos à vie. Mais je considère qu'une sexualité ne peut être en plénitude que dans la bisexualité.
Cédric que vous avez vu hier et ce matin, je peux vous assurer que vous avez été la première femme qu'il voit nue de si près et qu'il touche. Et c'était la première fois qu'il jouissait entre les mains d'une femme. Il n'a jamais encore glissé son sexe dans celui d'une fille. Il est encore puceau de ce côté-là. Mais ça ne saurait durer. Et ce matin, Eléonore et Anne y ont été fort. Pris ainsi entre deux filles qui jouaient si bien de leurs corps contre le sien, il n'a pas résisté bien longtemps le pauvre. Eléonore et Anne ont parfaitement compris cela, elles jouent elles aussi sur les deux tableaux, aussi bien avec des femmes qu'avec des hommes.
C'est aussi ce qu'a compris Madame Sophie. Parce qu’Armand ne vous a pas tout dit tout à l'heure. C'est vrai qu'elle leur fait faire des jeux sexuels entre eux, entre garçons, entre filles, entre garçons et filles. Mais je peux vous assurer que tous les soirs elle en a un ou deux dans son lit, filles et garçons... Et qu'elle ne rechigne pas à se faire prendre par ses trois éphèbes en même temps.

- Je ne connais pas les autres mais Armand et Clara sont magnifiques. J'aurais aussi plaisir à les avoir dans mon lit, ose Léa.
- Voyez-vous ça ! Vous allez devenir insatiable ! rigole Wilfried. Vous me racontiez dans vos mails votre triste vie sexuelle, avec des aventures essentiellement masculines, des coups d'un soir sans lendemain. Et puis de temps à autre, une femme, une fille mais plus par défaut que par réelle envie, n'est-ce pas.
- C'est vrai. J'aimais les deux. Mais il me manquait toujours quelque chose.
- Pourquoi vouloir choisir ? Pourquoi être soit hétéro, soit homo ou lesbienne ? Ne choisissez pas. Jouissez de l'une et de l'autre. Et des deux en même temps quand c'est possible. C'est ce que je reproche un peu à Mathilde. Mais elle ne veut rien entendre. Elle est trop exclusive.
- Elle n'a jamais eu d'homme ? Elle a pourtant une belle collection de godemichets.
- Et bien je peux vous assurer qu'elle ne se les est jamais enfilés. C'est pour certaines de ses amies. Sans doute permet-elle à Eléonore de jouer avec. Mais ce n'est pas elle non plus qui le lui glisserait dans le con. Mathilde est une lesbienne militante... On se chicane souvent là-dessus. Et elle ne veut rien savoir. Si elle vient à des soirées comme celle de vendredi, c'est parce qu'elle sait qu'elle va trouver son compte avec des femmes. Mais surtout pas pour les hommes. Il n'y avait pas un seul homme cet après-midi avec vous et...

Il est interrompu par Clara.
- Vous avez terminé. Je peux enlever vos assiettes ?
- Oui, merci. C'était très bon. Comme d'habitude.
Pendant qu'elle ramasse les assiettes, elle est rejointe par Armand qui amène le plat suivant.
- Vous êtes mignons tous les deux ensemble. Savez-vous que vous plaisez beaucoup à Mademoiselle Léa ? Elle m'a même dit qu'elle aurait grand plaisir à vous avoir tous les deux dans son lit.

Léa prend un air offusqué.
- Ce n'est pas vrai, peut-être ?
- Si, j'ai dit cela mais pas pour que vous le leur répétiez !
Clara et Armand échangent un clin d'œil.
- Mais nous aussi on en serait ravi, Mademoiselle, dit Armand
- Certainement, oui, rajoute Clara. Avec plaisir. Vous êtes aussi ravissante, Mademoiselle.

Lorsqu’ils sont repartis, Wilfried demande
- Mais pourquoi vous mettez-vous dans ces états ? Il faut que vous osiez sinon vous n'aurez jamais rien et vous resterez dans la banalité des échanges que vous avez eus jusqu'à maintenant. D'autant plus que vous avez des arguments de valeur.
En disant cela, il se tourne vers elle, pose une main sur son sein et l'autre sur sa cuisse et la remonte jusqu'à son pubis. Ils rient ensemble.
- Allons, mangeons pendant que c'est chaud.
Nouveau silence. Mais rapidement, Wilfried reprend la parole.

- Donc, vous avez aimé cet après-midi. Qu'est-ce que vous avez encore aimé durant ce week-end ?
- Ce temps dans le salon d'essayage avec Cédric. Ça m'a beaucoup excitée. Ce temps ce matin aussi avec lui et Anne et Eléonore...
- Vous les aimez bien ces deux filles, n'est-ce pas ?
- Oui, beaucoup. J'ai aussi bien aimé la séance de massage chez Luigi...

- Ah, ce brave Luigi. Il sait y faire avec les femmes... Et le temps chez le Baron ?
- Bof !... La danse... J'avais la honte !...
- Encore cette foutue humiliation ! Il me semble pourtant que vous avez joui sur la scène devant tout le monde, non ? Vous vous êtes fait la honte vous-même...
- Mais... Mais c'était ces boules de geisha...
- Et alors ? Apprenez à vous maîtriser, à maîtriser votre plaisir, à le surmonter... Vous avez encore beaucoup à apprendre. Et dans la cave ?
- Je n'avais plus conscience de mon corps... Quand j'y pense, je me demande comment j'ai pu m'offrir ainsi à tous ces inconnus...
- Qu'auriez-vous pu faire ? Fuir ? Nue ? Avec le beau Luigi, vous étiez en sécurité... Savez-vous... Non, vous ne pouvez pas savoir... Vous avez battu tous les records. 39 hommes se sont vidés sur vous, dans votre sexe, dans votre cul, dans votre bouche, entre vos mains ou par leur propre masturbation sur votre corps. 39 hommes et 12 femmes.
- Vous avez compté ?
- Bien sûr que j'ai compté et Luigi aussi. Nos chiffres concordent. 39 hommes dont Luigi en premier, moi et le Baron...
- Le Baron ? Quel horreur cet homme ! Je ne l'aime pas du tout. On dirait qu'on est du bétail avec lui...
- C'est vrai qu'il fait un peu primaire. Mais il est cependant charmant homme. Donc ce temps ne vous a pas trop déplu ? Et est-ce qu'il y a quelque chose qui vous a vraiment déplu ?
- Le viol ! s'écrie Léa spontanément.
- Le viol ? Quel viol ? 
- Vous le savez bien. Dans la cave. Après cet enlèvement violent par les deux jeunes cons.

Léa est regagnée par la colère. Wilfried est interloqué.
- Mais ce n'était pas un viol. C'était moi...
- Et alors ? Je ne le savais pas. J'ai eu la peur de ma vie. Tirée ainsi dans une cave, déshabillée, mise à nue par deux abrutis, bâillonnée et les yeux bandés, ligotée sur un affreux sommier... Et ces cons qui sortent en disant qu'ils allaient chercher leurs copains et de l'alcool pour passer une belle nuit en s'amusant de moi... Et vous qui arrivez, qui me pelotez et qui me pénétrez d'un coup... Je n'ai senti aucun plaisir, aucune jouissance...

Léa est furieuse.
- Vous m'en voulez ?
- Oui, je vous en veux.
- Vous n'auriez pas aimé être ainsi violée par 20 ou 30 jeunes gars dans la force de l'âge ?
- Ça va pas, non ? Non, j'aurais pas aimé du tout. Et je me promettais de porter plainte. J'allais pas me laisser faire...
- Et vous craquez devant Armand et Cédric ? Et vous n'avez pas trop détesté vous faire prendre par 39 hommes dans la cave du Baron ? Quelle différence ?
- C'est pas pareil !
- Ah bon ? Pourquoi ? A cause de l'âge ? Pourtant vous semblez aimer les jeunots... A cause du milieu social ? C'est sûr que ces garçons qui vivent dans ce quartier n'ont pas les moyens d'aller s'amuser chez le Baron. Feriez-vous de la discrimination sociale ?
- Non, rien de tout ça. Chez le Baron, c'était maîtrisé, vous étiez là, je savais que ça faisait partie de votre plan pour me soumettre, de mon initiation. Même si au début c'était difficile, je l'avais accepté en acceptant de vous rejoindre pour ce week-end. Ça faisait partie du lot... Mais là, dans cette cave, ça n'avait plus rien à voir. C'était un enlèvement, une tournante dont j'étais victime... Et je ne savais pas où vous étiez... J'imaginais qu'en constatant mon absence, vous alliez penser que j'étais partie, que j'en avais assez, que vous étiez fâché mais que vous ne me rechercheriez même pas pensant que j'avais repris le train...
- Mais j'étais là...
- Mais je ne le savais pas et ne pouvait pas imaginer cette mise en scène.
- Donc, vous m'en voulez.
- Oui. Beaucoup.
- Alors, pardonnez-moi. Je comprends. C'est la première fois que j'imagine une telle mis en scène. Je pense que je ne recommencerai pas.

Ils se regardent. Elle a encore de la colère dans les yeux. Mais elle voit un regard contrit qui semble sincère. Il la tire vers lui et lui dépose un baiser sur le front.
- Vous me pardonnez ?
- N... Oui !
- Sourire ?
Léa lui offre un sourire un peu forcé.

A ce moment, Madame Sophie approche de la table.
- Vous avez terminé ? C'était bon ? Tout va bien ? Je vous fais apporter la suite. Mais avant, cher ami, on va commencer à danser. Voulez-vous m'accorder la première danse ?
- Très volontiers.

 

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Il se lève et, en se donnant la main, ils vont vers le centre de la piste. La musique commence. Un slow. Ils s'enlacent et commencent à se dandiner, à aller et venir... Rapidement, la main de Wilfried glisse vers le bas du chemisier de Sophie et il entreprend de le déboutonner. Puis la main remonte, écarte les pans du vêtement dévoilant ainsi toute la poitrine de la femme. Il pose la main sur un sein avec lequel il joue. L'autre main a tout de suite glissé sur les fesses...
Madame Sophie n'est pas inactive... Elle a ouvert le pantalon de Wilfried et a glissé une main sous le tissu, sur les fesses. Tandis que l'autre se faufile sous la chemise pour caresser sa poitrine...

D'autres couples les ont rejoints. Sans aucune pudeur, des poitrines se dévoilent, des sexes sortent par des braguettes ouvertes, une femme a son short descendu jusqu'au bas des fesses, une autre a la jupe relevée entièrement jusqu'à la taille... Les mains se promènent. Les corps bougent à peine au rythme de la musique...
Léa regarde. Un peu jalouse de voir Wilfried s'occuper ainsi de Sophie... Elle voudrait être à sa place. Armand s'approche de la table pour débarrasser.
- Vous êtes seule, Mademoiselle ?
- Et bien oui. Je suis lâchée. Il danse avec votre patronne...
- Si je peux me permettre... Vous accepteriez cette danse avec moi ?
- Oh oui !

Elle se lève vite et, entraînée par le garçon, ils vont à leur tour vers le centre de la piste, s'enlacent et commencent à danser. Immédiatement, Armand glisse sa main sous son vêtement et caresse ses seins, l'autre main se faufilant sous la ceinture du short sur ses fesses... Léa est d'abord intimidée et ne sait trop où mettre ses mains qui restent un moment sur les épaules du garçon. Mais personne ne fait attention à eux, trop occupés à ce qu'ils font et reçoivent eux-mêmes... Alors ses mains glissent sur les fesses... Rondes. Fermes... Quel délice... Elle sent le contact de la verge du garçon contre sa hanche, verge qui gonfle, durcit, prend de l'envergure... Elle se colle à lui encore plus pour accentuer la pression et du coup plaque son pubis contre la hanche de son partenaire.

Elle ose lui chuchoter :
- Je vous fais de l'effet. Vous bandez dur... C'est bon de le sentir...
- Oui, vous me faites bander. J'ai envie de vous prendre mais je n'en ai pas le droit. Du moins pas ici... Et vous, je vous trouble ?
- Vous ne pouvez imaginer à quel point. Vérifiez si vous voulez... ose-t-elle.

Le garçon ne se le fait pas dire deux fois. Il change de position, lâche seins et fesses et glisse une main devant, sous la ceinture et ses doigts vont directement vers le sexe qu'ils pénètrent facilement tant il est humide de volupté... Il commence à jouer avec le bouton d'amour... C'est bon... Du coup, Léa passe aussi sa main devant, la fait pénétrer sous le string, empoigne le sexe bandé et le sort de sa prison de tissu... Elle a envie de le masturber...
Mais la musique s'arrête. Armand se sépare de Léa et se réajuste rapidement. Chacun retourne à sa place en remettant correctement ses vêtements, en remontant une fermeture éclair, en baissant un haut...

Léa arrive à sa table en même temps que Wilfried.
- Alors, c'était bon ?
- Hummm !
Armand les suit pour faire son travail.
- Et vous, Armand ? Vous avez aimé ?
- Beaucoup Monsieur, répond-il sans aucune gêne...
Nouveau silence pendant que Armand débarrasse la table. Des couples ont repris une autre danse. Ils regardent, chacun perdu dans ses pensées.

Le repas terminé, Wilfried dit :
- Mademoiselle, on va partir. Mais avant, Madame Sophie nous a demandé de passer au salon. Mais nous n'allons pas nous y attarder, nous sommes attendus.
- Ah bon ?
Il ne donne pas plus de précisions, se lève et va vers le fond de la salle de restaurant. Léa le suit. Ils suivent un couloir et s'arrêtent à une porte.

5 janvier 2019

Le Week-end initiatique de Léa. Partie 5/7

Dimanche

 - Réveille-toi ! Monsieur nous attend en bas.
Oh non ! Ça va recommencer. Je veux dormir, dormir, dormir... Oublier.

Mais elle finit par se lever quand même. Une rapide douche ensemble et elles descendent. Nues. Toujours !

Wilfried vient leur ouvrir. Il est enjoué.

 

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- Ah vous voilà ! Vous allez voir une surprise. Entrez vite dans le salon.
En effet ! Eléonore est là. Nue également. Elles s'étreignent, s'embrassent...
- Calmez-vous, les filles ! J'attends une visite et je vais avoir besoin de vous. Vous allez être surprises !... Asseyez-vous toutes les trois sur le canapé. Ecartez les jambes. Caressez-vous l'une l'autre. Pas pour vous faire jouir mais comme distraitement... Et surtout, pas un mot, pas un rire... Le silence. J'insiste...
Elles s'installent donc côte à côte. Eléonore au milieu, Anne et Léa de part et d'autre. Elles écartent les jambes comme l'a demandé Wilfried. Léa met même sa jambe par-dessus la cuisse d'Eléonore.
- Parfait, Mademoiselle Léa. Caressez-vous maintenant.
Eléonore caresse la cuisse et le genou de Léa et passe son autre bras autour du cou d'Anne pour lui caresser le sein. Anne caresse la cuisse d'Eléonore et caresse son autre sein... Léa caresse un sein d'Eléonore et le haut de sa cuisse tout contre son sexe...

Un coup de sonnette.
- Parfait, Mesdemoiselles. Continuez quoiqu'il arrive. Et pas un mot... Vous allez assister au spectacle et en serez un peu les actrices aussi...
Et il sort pour aller ouvrir. Les femmes se regardent et sourient se demandant ce qui va se passer. Elles n'ont aucune crainte. Quelle que soit l'épreuve, elles sont là toutes les trois ensemble. Elles entendent ce qui se passe dans l'entrée.
- Ah ! Vous voilà !
- Bonjour Maître.
Une voix d'homme. De jeune homme, même... Il semble à Léa reconnaître cette voix.
- Déshabillez-vous et allez dans le salon en position, jambes écartées, mains dans le dos face au canapé... Je vous rejoins.
Les femmes retiennent un rire en imaginant ce qui va se passer. Un jeune homme nu va rentrer et va se mettre face à elles en position de soumission...

Elles entendent le bruit de vêtements qu'on retire et comme une claque sur les fesses.
- C'est bien mou ce sexe ! Allez-y. Et obéissez-moi quoiqu'il arrive.
Le jeune homme rentre dans le salon, nu. S'avance et aperçoit les trois femmes nues qui le regardent. Il a un mouvement de recul en se cachant le sexe de ses deux mains. Le cœur de Léa bondit : elle a reconnu Cédric, le jeune vendeur qu'elle a branlé hier dans le magasin de vêtements.
- Vous y êtes ?
- Oui, Maître ! ment-il. Mais il ne peut se dérober. Il va donc face aux trois femmes et se met en position. Il est rouge de honte et, comme l'autruche qui plonge la tête dans le sable pour se cacher, il ferme les yeux...
Léa, Eléonore et Anne, elles, n'ont pas les yeux fermés. Elles regardent intensément le jeune garçon qui n'est pas mal foutu. Particulièrement son sexe qu'elles voient se gonfler petit à petit, se mettre à l'horizontale, poursuivre la progression jusqu'à être parfaitement droit comme un I.

Wilfried rentre à son tour. Il s'est aussi déshabillé mais porte une serviette attachée autour des reins. Il s'approche du garçon. Lui pose violemment une main sur les fesses. De l'autre main, il donne une tape sur le sexe dressé qui agit comme un ressort et revient en position en claquant sur le ventre.

- Ouvrez les yeux et regardez ces trois belles femmes, voulez-vous ?
Le garçon s'exécute. Wilfried continue :
- Je vois là que vous n'êtes pas insensible aux femmes, jeune homme. Je m'en suis déjà rendu compte hier avec Mademoiselle Léa. Vous reconnaissez Mademoiselle Léa ?
Cédric marmonne.
- Pardon ?
- Oui, Maître.
- Vous avez aimé la voir nue et les caresses qu'elle vous a offertes ?
Nouveau grommellement.
- Oh la ! Parlez clair, jeune homme.
- Oui, Maître.
- Oui quoi ?
- J'ai aimé la voir nue et j'ai aimé ses caresses.
- Et bien dites-le lui directement.
Le jeune homme avale sa salive... Balbutie... Léa a pitié de lui mais ce petit jeu l'amuse.
- J'ai... J'ai aimé vous voir nue et vos caresses.
- Et qu'est ce qui s'est passé avec ses caresses ?
- J'ai j... J'ai joui, j'ai éjaculé...
- C'était bon ?
- Oui, Maître.
- Et vous vouliez me faire croire que vous n'aimiez pas les femmes, que vous n'aimiez que les hommes... C'est vrai que vous m'avez montré que vous les aimiez les hommes. Vous faites des fellations sublimes... Et votre petit cul est des plus confortables !... Vous voyez que je peux faire des compliments... Qu'est-ce qu'on dit ?

 

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Cédric se tait, ne sachant trop ce que son maître attend de lui...
- J'attends un remerciement pour mes compliments. Et aussi pour vous offrir trois belles et jeunes femmes.
- Merci Maître.
- Bon ! On va laisser Mademoiselle Léa se reposer, elle a assez travaillé hier... Mesdemoiselles Eléonore et Anne, approchez-vous.
Les deux jeunes filles s'approchent, amusées.
- Vous allez caresser ce garçon jusqu'à ce qu'il jouisse. Avec vos mains, vos fesses, vos seins, vos corps... Mais interdiction absolue de lui toucher le sexe... Mademoiselle Léa, vous pouvez contribuer en vous masturbant devant ce jeune homme... Il n'a jamais vu une femme jouir...

Anne et Eléonore commencent à caresser le corps de Cédric d'abord avec leurs quatre mains qui glissent sur ses épaules, son torse, ses cuisses, ses fesses... Chacune leur tour, elles prennent plaisir à écarter les deux lobes et à commencer à pénétrer un doigt dans l'anus...

Puis c'est avec leurs seins, leurs fesses qu'elles le caressent, dansant autour de lui, s'accroupissant, se redressant... Elles prennent aussi un malin plaisir à présenter leur pubis, leurs seins, leurs fesses aux mains du garçon croisées dans le dos. Au début, il gardait les poings fermés mais petit à petit ses doigts se sont déliés et sont devenus actifs sur ces corps qui se présentent à eux... Elles se mettent, chacune de leur côté, de telle manière que les jambes du jeune homme se trouvent entre les leurs et elles frottent leurs sexes humides contre les cuisses...

Léa n'est pas inactive. Elle a remonté ses pieds contre ses fesses, a écarté impudiquement ses genoux et se caresse le bouton magique en faisant pénétrer deux doigts dans sa grotte.... Le spectacle que lui offrent ses deux amies et Cédric l'excite au plus haut point et elle sent un intense plaisir monter en elle.
Le garçon aussi sent la montée de la sève du fond de son corps. Il respire fort, il geint comme s'il souffrait... Une goutte de sperme perle sur le bout de son gland... Son sexe que personne ne touche frétille tout seul...

Les filles voient que son plaisir est proche... Elles veulent lui donner le coup de grâce... Elles s'agenouillent en caressant le haut des cuisses, à l'intérieur, effleurant les couilles, le périnée... Elles caressent ses fesses et l'une d'elle introduit profondément un doigt après l'avoir humidifié de sa salive dans son entrée secrète...

De son côté, Léa qui voit aussi la tension monter chez le garçon jouit sous ses doigts...

C'est plus que ne peut supporter Cédric... Son sexe se gonfle, bat la mesure et soudain explose en de longs jets qui s'écrasent sur son ventre, coulent le long de la hampe...

Wilfried arrache sa serviette et, nu, le sexe dressé, s'agenouille devant le garçon, prend son sexe en bouche et lèche tout ce sperme... Les trois femmes le regardent interloquées. Lorsqu'il se redresse, il voit leurs regards.

- Que se passe-t-il Mesdemoiselles ? On peut aimer les femmes et aussi avoir du plaisir avec des hommes, surtout avec de beaux jeunes hommes comme celui-ci. N'est-ce pas ?
Et il plaque le garçon contre son corps en pétrissant violemment ses fesses...
- N'est-ce pas ?
- Oui, Maître.
- Mademoiselle Anne, allez vous asseoir sur le canapé, les fesses au bord, les genoux remontés et écartés... Et vous, Cédric, à quatre pattes. Allez lécher le sexe de Mademoiselle...

Anne se met dans la position demandée. Le garçon se met à quatre pattes.

- Mais avant, prenez mon sexe en bouche pour l'humidifier pour que je puisse vous enculer !
Cédric se redresse, prend le phallus dressé entre ses mains et le porte comme avec gourmandise à sa bouche. Il offre, en connaisseur, une fellation à son Maître...
- Ne me faites pas jouir maintenant, garçon. Ça suffit ! Allez lécher Mademoiselle Anne.
Il s'avance sur ses genoux et ses mains vers la jeune fille qui l'attend, plonge le visage vers ce sexe ouvert... Le regarde. Sans doute n'a-t-il jamais vu d'aussi près un sexe féminin... Puis il ose un premier coup de langue, puis un autre... Sans doute y trouve-t-il un certain plaisir car il appuie davantage...
- Vous pouvez vous caresser, Mademoiselle, car je doute que ses coups de langues vous fassent jouir. Il a tout à apprendre des femmes, ce jeune puceau....
Avec satisfaction, Anne entreprend de se masturber pendant que le jeune homme la lèche comme le ferait un chien sur une plaie ouverte.

Wilfried s'agenouille derrière lui. Il crache dans sa main et enduit de salive l'anus ouvert qui s'offre à lui. Il y fait pénétrer un doigt, puis un second... Il les fait aller et venir, il les tourne... Le garçon se cabre, gémit... Lorsque le maître considère que le chemin est suffisamment préparé, il présente son sexe et doucement, lentement, sans à coup le fait pénétrer dans le jeune cul jusqu'à la racine. Les trois femmes sont fascinées par ce sexe qui disparaît ainsi... Et elles sont aussi bien surprises. Elles l'ont vu pénétrer des sexes féminins, elles l'ont toutes les trois eu en elles, plusieurs fois même... Mais voir Monsieur Wilfried, enculer un garçon, cela sort de leur imagination. Mais si elles sont surprises, elles sont toutes excitées. Si elles ont été plusieurs fois spectatrices ou actrices de scènes lesbiennes, c'est la première fois qu'elles voient un homme pénétrer un autre homme. Et, sans qu'elles cherchent à savoir pourquoi, cela leur plait.

 

 

Wilfried s'installe bien dans le cul du garçon. Puis commence à aller et venir en tenant son partenaire par les hanches. Chaque coup de boutoir accentue la pression de la bouche du garçon contre le sexe d'Anne qui a repris avec plus vigueur encore sa masturbation.
Il fait venir Eléonore à côté de lui et, tout en continuant à besogner le jeune cul, il lui caresse doucement les fesses, les cuisses, glisse sa main entre elle pour effleurer son sexe... Il fait aussi venir Léa de l'autre côté, d'une pression au poignet, il la fait s'agenouiller contre lui, tout contre lui de sorte que ses seins caressent son corps...
- Caressez moi  les fesses, glissez votre main entre mes cuisses, caressez mon périnée, effleurez mes couilles...lui ordonne-t-il. Léa s'exécute avec plaisir ne perdant pas une miette du spectacle offert par ce vit allant et venant entre les deux fesses de Cédric...

Le garçon respire fort. Il devient goulu. Prend de l'assurance, entoure de ses bras les reins d'Anne. Wilfried aussi respire de plus en plus fort. Il lâche Eléonore, fait se redresser brusquement le garçon, le plaque contre lui... Il se saisit de sa verge qui est de nouveau dressée et il la branle rapidement tout en malaxant de son autre main les couilles... Et tous les deux poussent ensemble un râle puissant...  Léa se rend compte aux mouvements du périnée que Wilfried jouit en longues saccades tandis que le malheureux garçon qui a déjà joui il y a à peine un quart d'heure sous les caresses d'Anne et d'Eléonore ne peut éjaculer que trois petits jets de sperme qui

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retombent sur la main du Maître...

L'homme se retire et se redresse.
- C'est bien, garçon. Mais peut mieux faire. On a la journée pour apprendre. A quatre pattes. Là, c'est bien. Léchez-moi la main.
Et Cédric lèche, aspire son propre sperme.
- Maintenant, nettoyez-moi la queue.
Et le garçon se redresse pour prendre dans sa bouche, avec semble-t-il beaucoup de plaisir, le sexe qui est encore gonflé mais pend maintenant entre les jambes de Wilfried et est couvert de sperme... et de quelques traces jaunâtres !
- Debout maintenant. En position. Je reviens vers vous dans un instant et je vais compléter votre éducation.
Et s'adressant aux trois femmes :
- Mesdemoiselles, allez dans cuisine. Vous allez y trouver vos vêtements. Enfilez-les et descendez. Maîtresse Mathilde vous attend dans sa voiture dans le parking souterrain. Mademoiselle Léa, je compte particulièrement sur vous. Et je vous attends, ce soir, à 20 heures. Filez. 

Elles ne se le font pas dire deux fois et font des efforts pour ne pas trop montrer leur joie. Wilfried serait capable de changer d'avis. Elles vont vite à la cuisine où, effectivement, elles retrouvent leurs vêtements. Léa enfile son short si court et si moulant et son haut... Et elle regarde ses compagnes. C'est la première fois qu'elle les voit habillées. Et constate avec plaisir qu'elles sont habillées aussi légèrement qu'elle. Ni culotte, ni soutien-gorge pour aucune d'elles. Un short en cuir aussi mini que le sien et un gilet sans manche avec deux seuls boutons, également en cuir, pour Eléonore. Une mini-jupe et un chemisier pratiquement transparent, sans bouton, qui se ferme en nouant les deux pans juste en dessous des seins, pour Anne.

C'est ainsi qu'elles descendent vers le parking souterrain. Elles trouvent Maîtresse Mathilde qui les attend devant sa voiture.... Elles se précipitent vers elle.
- Oh la, Mesdemoiselles ! Qu'est-ce que vous croyez ? A genoux. Toutes les trois !
Surprises, les trois femmes s'agenouillent devant elle. Mathilde se plante devant Léa et soulève sa jupe. Elle ne porte pas non plus de culotte.
- Embrassez-moi sur les lèvres !
Avec plaisir, Léa dépose un baiser sur les lèvres glabres qui s'offrent à elle.
- Avec la langue, s'il vous plait !
Léa s'exécute et lèche le sexe déjà humide de la femme... Elle enfonce la pointe entre les lèvres... Trouve l'excroissance du clitoris, la pince entre ses lèvres...
- C'est bien ma petite. Baissez la tête.
Puis elle passe devant Anne pour réclamer le même baiser intime. Puis devant Eléonore. Satisfaite elle leur ordonne :
- Debout !
Elles se relèvent.
- A poil.

Là, Léa n'a plus envie de rire. Elle ne va quand même pas se mettre nue dans ce parking. Quelqu'un pourrait arriver... Mais elle voit Eléonore qui a déjà enlevé son gilet et a le short à mi-cuisse. Anne commence à dénouer le bas de son chemisier... 
- Allons ! Dépêchez-vous. Mademoiselle Léa !
Alors Léa se déshabille en espérant pouvoir rentrer vite dans la voiture dont elle s'est rendu compte que les vitres sont fumées.
- Jambes écartées ! Mains sur la tête !
Elle donne ses ordres comme un adjudant. Léa a envie de se révolter mais, comme ses amies, elle se montre docile. Mathilde se met face à elle et la fixe droit dans les yeux. Léa soutient le regard.
- Baissez les yeux !
Léa baisse les yeux. Alors la femme passe sa main entre ses cuisses et, sans aucune précaution, pénètre deux doigts dans son sexe. Elle fait mal à Léa qui se raidit.
- Allons mignonne. Votre Homme vous a confiée à moi pour que je m'occupe de vous. Vous êtes là pour être dressée, n'est-ce pas ?
Léa reste silencieuse.
- J'ai posé une question !
- Vous me faites mal...
- J'ai posé une question, hurle Mathilde. Je veux une réponse.
Et elle enfonce ses doigts encore plus profondément.
- Oui, Madame.
- Maîtresse !
- Oui, Maîtresse !
La femme la lâche. Mais se saisit aussitôt des tétons de ses deux seins et les fait tourner entre ses doigts. Léa ne peut retenir un cri de douleur.
- On va bien s'amuser, ma petite. Allez, les filles, en voiture.
Elles se serrent toutes les trois à l'arrière, Léa au milieu. Mathilde jette les vêtements dans le coffre.

Le temps qu'elle fasse le tour de la voiture pour s'asseoir derrière le volant, Eléonore souffle à ses amies :
- Ne vous inquiétez pas. Je la connais bien, elle est douce et gentille. Elle aboie plus qu'elle ne mord...

Mais cela ne rassure pas Léa. Elle a peur de la suite. Elles a peur aussi de se retrouver ainsi nue dans une voiture en pleine rue. Elle a beau savoir que de l'extérieur, avec les vitres fumées, personne ne peut deviner ce qu'il y a à l'intérieur. Mais elle, elle voit. Et si elles étaient arrêtées par la police pour un banal contrôle ? Et s'il y avait un accident ?

En même temps, elle se sent rassurée, assise entre les deux jeunes filles. Elle aime sentir leurs cuisses nues contre les siennes... De plus, Eléonore qui a dû sentir sa tension, essaie de la rassurer en posant sa main sur sa cuisse...
La circulation est fluide en ce dimanche midi. Rapidement, elles sont sorties de Paris et roulent en banlieue. La voiture tourne plusieurs fois à droite, à gauche... Elle traverse maintenant une zone pavillonnaire. Et la voiture rentre dans une cours et s'immobilise devant le perron d'une grande maison.
Mathilde descend de la voiture, va ouvrir la portière arrière.
- Allez ! Fin du voyage. Descendez. Eléonore, vous montrez le chemin. A la cave, bien sûr.

Les trois femmes sortent précipitamment de la voiture et grimpent non moins rapidement les quelques marches du perron de peur que quelqu'un les aperçoivent.
Eléonore les entraîne à travers un long corridor puis descend un  escalier sombre en colimaçon. Léa et Anne marque un temps d'arrêt en arrivant en bas. Une grande salle voûtée s'ouvre devant elles. Des chaines pendent des murs, des cordes... Des anneaux aux murs... Une vieille table de gynécologue au milieu... Des fouets, des cravaches, une collection de godemichets sur une étagère et autres instruments bizarres dont des pinces, des tenailles, des instruments de torture... L'angoisse les étreint. Léa repense à la salle de torture vue hier soir chez le Baron.

Mais elles n'ont pas le temps de s'attarder et de se poser des questions. Mathilde les pousse à l'intérieur...

- Allons, allons, entrez. Léa, à quatre pattes !

Elle va vers un mur, en décroche une chaine et revient vers la jeune femme. Elle lui attache un collier métallique autour du cou, collier prolongé par une longue chaîne aux lourds chaînons... Entraînant Léa comme elle le ferait d'un chien tenu en laisse, elle va au milieu de la salle et fixe l'autre bout de la chaîne à un poteau.
Puis elle va vers Anne, l'amène non loin de là et, sans rien dire, attache chaque poignet à une corde qui tombe du plafond. La malheureuse se trouve presque suspendue dans les airs les bras écartés au-dessus de la tête. Puis c'est Eléonore qui subit le même sort. Elle va ensuite chercher deux longues barres en fer se terminant à chaque extrémité par des anneaux. Elle en emprisonne les chevilles des deux filles qui se retrouvent ainsi, en un instant, écartelées et dans la totale incapacité de bouger... Pour finir, elle les bâillonne solidement.

Elle se recule et regarde avec grande satisfaction sa mise en scène. Et, d'un coup, elle enlève sa robe. Elle est nue. Elle se plante devant Léa en écartant les jambes.

- Allez, suce-moi, petite chienne ! Et fais-moi jouir. Je veux jouir sous ta caresse...

Et elle prend à pleines mains les cheveux de la jeune femme et plaque son visage contre son sexe. Léa veut résister, reculer... mais Maîtresse Mathilde ne se laisse pas faire...
- Allons, mignonne ! J'ai bien vu l'autre soir que si tu aimes les queues des mecs, tu aimes aussi les petites chattes des femmes, non ? Allez, suce !... C'est un ordre !
Et tout en maintenant d'une main Léa par les cheveux, elle attrape de l'autre une badine souple et commence à en donner des petits coups sur les fesses tendues. Et elle donne des coups de reins, frottant vigoureusement son sexe contre le front, le nez, les joues, le menton de Léa qui a bientôt le visage couvert de sa cyprine.  Enfin, elle lâche les cheveux. Mais continue à donner ses petites frappes de sa badine.

Léa a les larmes aux yeux. Elle ne supporte pas cette humiliation. Les évènements prennent une tournure qu'elle n'attendait pas et qui lui déplait : elle, à quatre pattes, ainsi traitée, ses amies suspendues, entravées, bâillonnées.... Et ce décor !... Et ces coups ! Ils ne lui ont pas mal mais l'agacent... Et elle a peur que soudainement, la femme lui donne un coup plus violent. Autant la satisfaire pour éviter cela, ne pas la provoquer par une résistance inutile.
Alors, elle commence à lécher les lèvres qui s'offrent à elle, elle trouve sans difficulté le clitoris qui est dur, dressé, l'aspire, le suce...
Les coups deviennent plus précis et tombent maintenant entre ses deux fesses. Mathilde tend le bras et la badine frappe entre ses lèvres. Parfois, elle effleure son bouton déclenchant comme une soudaine décharge électrique... Ces coups qui étaient jusqu'alors désagréables deviennent sources de plaisir... Alors elle met plus de cœur dans son cunni...
La femme bouge le bassin à la rencontre de la langue, des lèvres. Léa se cabre encore plus pour offrir son sexe aux coups...
Bientôt, Mathilde est prête d'exploser... Elle repousse doucement la tête de Léa, lâche sa badine et se masturbe... Elle jouit immédiatement entre ses doigts.

Elle caresse la tête de Léa en lui tendant sa main qui l'a fait jouir :
- C'est bien ! Tu es une brave chienne ! Lèche ma main...
Léa lèche sa main, doigt après doigt...  Et elle regarde ses amies qui n'ont pas perdu une miette du spectacle. Anne semble avoir peur et ouvre de grands yeux. Par contre, Eléonore lui fait un grand sourire. Elle connaît bien Mathilde et veut sans doute rassurer Léa. A moins, qu'elle aime ce genre de spectacle... ces tatouages, ces piercings... Peut-être est-elle perverse...
Mathilde décroche le bout de la chaîne fixé au poteau et tire dessus, entraînant Léa derrière elle, toujours à quatre pattes. Elle s'approche d'Anne... Elle lâche la chaîne sur le dos de Léa et se poste derrière la fille en mettant ses mains sur ses seins.
- Allez, chienne, faisons ensemble jouir cette petite. J'ai vu qu'elle aime que tu la suces... 

Léa se rapproche et porte ses lèvres aux lèvres d'Anne et elle commence à la lécher... Pendant ce temps, Mathilde la caresse sur ton son corps en se plaquant contre elle, son pubis contre les fesses, ses seins contre son dos... Léa ose poser ses mains sur les longues cuisses de la jeune fille pour la caresser... Rapidement, malgré sa position inconfortable, elle jouit sous les caresses à quatre mains.
Puis Mathilde va vers Eléonore.
- Venez, Léa, occupons-nous de celle-ci maintenant.
Léa s'approche de bon cœur de la fille. Et elle se réjouit du changement de ton de Mathilde. Elle pose les mains sur les fesses d'Eléonore et entreprend de la lécher...

- Non, non, Mademoiselle. Elle m'appartient cette petite et je lui réserve un traitement spécial qu'elle aime particulièrement. Couchez-vous par terre, la tête entre ses jambes et regardez... Et préparez-vous à recevoir sa douche car vous savez que cette demoiselle a des jouissances plus qu'humides !

Un peu déçue, Léa s'allonge donc comme Maîtresse Mathilde le lui a demandé. Elle aurait tant aimé provoquer cet orgasme chez cette jeune fille. Le sol est froid et un peu rugueux... Pas très confortable mais elle prend plaisir à regarder le spectacle qui s'offre à elle : ce sexe ouvert, les fesses, les belles et longues cuisses...

Toute à sa contemplation, elle ne voit pas ce que fait Mathilde qui s'est légèrement éloignée. Quand elle sent le contact d'un objet froid et fin sur son téton droit suivi de rapides et successives petites décharges électriques. Par réflexe, elle donne un coup et se redresse brutalement ce qui fait rire la femme. Elle tient à la main une longue tige métallique qui se termine par une grosse poignée que Mathilde tient dans sa main.
- Allons, allons, petite ! Couchée, j'ai dit !
Et elle repose la pointe de la tige sur le corps de Léa. Nouvelles petites décharges saccadées... Pas très puissantes ces décharges... Mais pas très agréables non plus....
Mathilde se met face à sa soumise, pose son objet sur le sein droit... Eléonore se crispe... La femme s'attarde puis change de sein... Léa voit les muscles des cuisses bander, ses lèvres, ses fesses s'ouvrir et se resserrer... La femme bourreau fait glisser la pointe sur le ventre, les côtés de la fille... Qui a des mouvements de recul, de résistance, autant que ses entraves le lui permettent...

Lentement la femme contourne la jeune fille et pose maintenant le bout de la tige sous une fesse qui se contracte... Puis sur l'autre... Puis elle la fait pénétrer  dans le sillon et la fait glisser lentement de haut en bas... Puis de nouveau... Plusieurs fois... avant de l'enfoncer dans l'anus... d'y aller et venir... Eléonore est toute crispée... Elle gémit à travers son bâillon... Est-ce de la douleur ou éprouve-t-elle du plaisir. Inquiète mais aussi fascinée, Léa voudrait bien le savoir.

Mathilde s'est remise devant, un genou au sol pour mieux voir ce qu'elle fait... Comme Léa l'avait imaginé, la pointe électrique s'accapare maintenant du sexe. Elle fait lentement le tour des grandes lèvres avant de tourner autour du clitoris puis de se poser dessus en y imprimant de minuscules petits cercles...

Tout le corps de la fille n'est que tremblements, crispations... Elle crie à travers son bâillon... Un premier jet de cyprine arrose le visage de Léa. Puis un  autre... L'objet reste en place, insiste... Eléonore n'est plus que fontaine... Elle crie, elle gémit, elle se contorsionne...

Léa est trempée de la cyprine. Elle ouvre la bouche, l'étale sur son corps avec les mains...

Mais tout s'arrête. Mathilde fait tomber son instrument de torture par terre, s'approche d'Eléonore et la prend dans ses bras, la caresse sur tout le corps... La jeune fille retrouve sa respiration petit à petit.

- Allons, Léa, debout ! Venez ici, face à vos amies. Vous êtes la seule de nous quatre à ne pas avoir encore joui, mais ne vous inquiétez pas, ça va venir.
Et elle entreprend d'attacher Léa comme le sont Anne et Eléonore ; les bras en croix au-dessus de la tête attachés à des cordes descendant du plafond, jambes écartées maintenues par une barre métallique. Mathilde s'approche d'Anne, enlève son bâillon et en couvre les yeux. Elle fait de même avec Eléonore et va chercher une autre bande de tissu dont elle couvre les yeux de Léa.

- Je vous laisse un instant. Ne vous échappez pas, surtout.
Et les trois femmes l'entendent sortir de la cave et monter les escaliers...
- Ça va Eléonore ?
- Oui, ça va bien... Et toi Léa ?
- Ça va ! Mais elle me fait peur cette femme... Elle est folle !
- Mais non, elle est gentille. Elle fait un peu brutale mais vous ne la connaissez pas. Elle peut être douce aussi...
- Mais elle t'a fait mal avec son bâton électrique...
- Au début c'est un peu désagréable... Mais après, c'est un plaisir énorme, tu peux pas savoir... A chaque fois j'ai des orgasmes comme je n'ai jamais eus autrement... Tu en sais quelque chose, tu étais aux premières loges et je t'ai copieusement arrosée ! rigole Eléonore.

Anne intervient dans la conversation :
- Moi elle me fait peur aussi.
- Mais non. Pourquoi ? Et puis, faut savoir ce que vous voulez, les filles. Vous avez accepté d'être soumises. Ça aurait pu être pire… Elle nous humilie, elle t'a peut-être fait un peu mal, Léa. Mais dans d'autres mains, vous auriez pu être vraiment torturées...
- Oui, j'ai vu dans les caves du Baron.
- C'est pas le genre de la maison.
- Mais qu'est ce qui va se passer maintenant ? Parce que je suppose que ce n'est pas fini...
- Je ne peux pas vous le dire... Je crois savoir. Et si je ne me trompe pas, vous n'allez pas le regretter...
- Mais...


A ce moment, elles entendent des pas dans l'escalier. Il y a au moins trois personnes.
- Rentrez mes amies, rentrez. Je vous les livre. Commencez sans moi. Je reste en haut pour accueillir les autres. Commencez par celle-ci. Elle n'a pas encore eu sa dose de jouissance depuis qu'elle est là.

Léa comprend que c'est d'elle qu'il s'agit. Elle se crispe, la peur au ventre, s'attendant au pire. Et effectivement, elle sent quatre mains qui prennent possession de son corps. Ses épaules, ses bras, ses côtes, ses cuisses, ses fesses, ses seins, son minou, bien sûr... Un sein nu contre le sien. Un pubis glabre contre ses fesses. Ces femmes sont nues. Une bouche se pose sur la sienne. Elle accueille la langue qui cherche à se faufiler entre ses lèvres. Une autre bouche s'empare de son sexe. Les lèvres pincées tirent sur ses grandes lèvres, la langue joue avec le clito. Deux mains écartent ses fesses, un doigt inquisiteur pénètre l'anus. Deux autres doigts glissent sans difficulté dans son vagin. Léa s'abandonne. Elle ne sait plus qui est où. Le plaisir monte. Elle voudrait voir ces deux femmes, leur rendre leurs caresses... 
Caresses des corps nus contre le sien. Doigts qui s'agitent en elle. Bouches qui mordillent, aspirent, lèchent, tètent, embrassent... L'orgasme monte. Elle a peur de tomber mais elle est retenue par les liens. Elle avance autant qu'elle peut son pubis à la rencontre de la bouche et des doigts... Elle jouit dans un grand râle...

Petites tapes sur les fesses. De nouvelles mains s'emparent d'elle. Elle n'a pas entendu les nouvelles personnes arriver, toute tendue vers son plaisir. Autre contact. Gestes plus maladroits ou au contraire plus précis... Nouveau parfum autour d'elle. Et de nouveau, intrusion de doigts dans son cul, dans son sexe... Elle gémit... 
Et elle entend aussi ses amies gémir... Celles qui l'ont quittée s'occupent maintenant d'elles. A moins que ce soient d'autres femmes...
C'est le silence. Pas un mot. Mais des gémissements, des plaintes, bruits de succion... Un petit cri plaintif qui vient d'ailleurs que là où sont Anne et Eléonore...  D'autres femmes font l'amour sans s'occuper d'elles trois.   
Nouveau cri d'intense jouissance. Léa reconnaît la voix d'Anne. Imaginer la jeune fille en train de jouir sous les doigts inconnus lui provoque un nouvel orgasme...

Lorsque des mains la quittent, d'autres prennent le relais, tout autant indiscrètes, précises, lui offrant un énorme plaisir.
Et toujours ces bruits, ces feulements, ces petits cris de jouissance, parfois une petite claque sur une fesse... Corps qui se frottent au sien. Des gras, des maigres... Parfums mélangés, odeur de sueur, de cyprine...
Combien sont-elles ? Que des femmes. Combien de temps cela dure- t-il ?... Léa n'en peut plus de jouir. Elle est épuisée. Sa position commence à lui peser... Mais tout s'arrête.

      - Au revoir, ma chérie. Merci. C'était super. A bientôt.
Successions d'embrassades, de remerciements, de petites tapes affectueuses... Elles remontent l'escalier. Le silence tombe. Les trois femmes ne disent pas un mot, trop épuisées, encore toutes remplies de ces plaisirs offerts...

Mathilde redescend vite.

- Allons, mes belles, je vais vous délivrer. Regardez-vous, comme vous êtes belles.
Et l'une après l'autre, elle leur enlève le bandeau qui leur masquait les yeux... En clignant des yeux, un peu éblouies, elles se regardent l'une l'autre avec un grand sourire de contentement. Heureuses de ce temps de longues jouissance mais aussi heureuses que ça soit terminé car elles sont épuisées d'avoir tant joui.

La femme se baisse devant Léa et lui délie les pieds puis elle dénoue les cordes qui lui retenaient les bras écartés en l'air. Toute ankylosée, les articulations des épaules et des hanches un peu grippées par une si longue immobilisation, elle manque perdre l'équilibre. Mathilde la retient en la tenant affectueusement contre elle et en lui caressant les dos et les fesses. Léa se sent bien contre cette belle femme, solide. Elle aime sentir le contact de ses seins contre les siens et de son pubis encore humide contre le haut de la cuisse. Mathilde ne la relâche que lorsqu'elle est sûre que Léa a retrouvé son équilibre. Puis elle va délivrer Anne qui elle aussi a du mal à tenir debout. La femme la retient de la même manière qu'elle a retenu Léa. Puis va délivrer Eléonore. Pendant qu'elle s'occupe de sa soumise, Anne et Léa s'enlacent sans se dire un mot. Elles sont bientôt rejointes par la troisième...

- Allons, les filles, venez. Nous allons nous doucher toutes les quatre ensemble. Léa, Wilfried vient vous chercher dans un instant. Et vous Anne, vous rentrerez chez vous. Et, ma petite Eléonore, nous passerons le reste de la soirée en amoureuses. Vous partez demain, Léa ?
- Oui, Madame.
- Eh oui, tout a une fin. Nous nous dirons donc au revoir. 
Elles la suivent en haut et entrent dans une salle de bain. Il y a là une grande douche dans laquelle il y a largement de la place pour elles quatre avec plusieurs pommeaux... Elles se savonnent mutuellement avec beaucoup de douceur, de sensualité... Elles sont bien.
En se séchant, Léa ose poser une question :

 

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- Madame, combien étiez-vous de femmes tout à l'heure dans la cave ?

- A votre avis ?
- Je ne sais pas. 15-20 ?
- Nous étions 24. 27 avec vous trois. Et nous avons toutes eu un orgasme plusieurs fois. Mais pas autant que vous. Allons, trêve de bavardages. Anne et Léa, reprenez vos vêtements.
Elles entendent un klaxon dans la cours.
- Votre Homme est là, Léa. Dépêchez-vous.
Rapidement, les deux femmes se rhabillent. Mathilde et Eléonore restent nues. Puis elles s'embrassent avec beaucoup d'émotion.
- A bientôt, Léa, j'espère.
Léa sort. Quand elle apparaît en haut du perron, Wilfried lui ouvre la portière de la voiture avec beaucoup de cérémonie.
- Mademoiselle Léa, je vous retrouve avec beaucoup de plaisir.
- Moi aussi Monsieur.
- Je vous amène au restaurant. Un restaurant très particulier...

Il ferme la portière, fait le tour de la voiture et s'installe au volant. Et démarre. Anne la salue du haut du perron avec Eléonore et Mathilde qui sont toujours nues...
Ils roulent en silence dans les rues de Paris. Léa est trop fatiguée. Et elle est aussi inquiète. Que lui réserve Wilfried ? Qu'a-t-il voulu dire en disant que ce restaurant était très particulier ? Que va-t-il lui arriver encore ? Il y a encore une soirée et une nuit à passer... C'est long...

2 janvier 2019

Le Week-end initiatique de Léa. Partie 4/7

Wilfried rit de bon cœur.
- Il n'y aura pas d'autres. Les deux jeunes hommes qui vous ont amenée ici sont des amis. C'était une mise en scène à laquelle vous m'avez fait pensé en m'écrivant il y a quelque temps que vous aviez le fantasme de vous faire violer... Ça ne vous a pas plu ?
- Non ! hurle Léa.
- Calmez-vous, Mademoiselle Léa ! Vous avez souhaité dépasser des limites, n'est-ce pas ? Vous avez demandé à devenir ma soumise. Il faut savoir ce que vous voulez. Je comprends que vous ayez eu peur. Mais c'est le jeu que vous avez souhaité. Et la soirée n'est pas finie. Allons, venez !
Et sans attendre sa réponse, il sort. Elle le suit.

 

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Arrivés dans la rue, elle voit devant la voiture les deux jeunes hommes qui l'ont prise. Instinctivement, elle a un mouvement de recul. Wilfried, qui a anticipé le geste, lui pose autoritairement la main sur les fesses, en conquérant.
- Allons, ma petite, cet épisode est terminé. Je dis bien "CET épisode" ! N'ayez pas peur.
L'un des deux jeunes s'approche un peu penaud.
- Excusez-nous Mademoiselle. C'est notre ami qui a tout combiné et qui nous a demandé de faire ça. Mais vous savez, nous, les femmes c'est pas notre truc. On préfère les mecs.
Il lui tend la main qu'elle refuse de serrer. Et elle rentre, boudeuse, dans la voiture. Elle ne sait plus où elle en est. Combien les a-t-il payés pour cette horrible mise en scène ?

Wilfried démarre. Ils ne disent pas un mot pendant le court trajet. Léa est plongée dans ses pensées. Elle hésite entre abjection et affection à l'égard de cet homme, entre rejet total et respect... C'est vrai qu'elle a voulu repousser ses limites, vivre autre chose. Elle n'imaginait pas ce qui l'attendait. Et finalement, mises à part la honte, l'humiliation, la peur... l'expérience de ce week-end est plutôt pas complètement désagréable. Et elle repense au conseil de la jeune Anne : lâche prise, laisse-toi aller, profite du moment... Elle s'en fait le serment quoi qu'il lui arrive. 

La voiture rentre dans un parking souterrain. Où vont-ils encore ? Elle suit Wilfried jusqu'à un ascenseur. Ils montent au 10ème étage. Et Wilfried pousse une porte sur laquelle est inscrit : "Salon de massage".

Un homme, un beau black, carré comme un champion de judo, vêtu d'une blouse blanche et d'un pantalon blanc, s'avance vers eux.
- Bonjour cher ami.
- Bonjour Luigi. Ça va bien ?
-Ça.
Et se tournant vers Léa.
- Et voici donc votre nouvelle protégée. Léa, si je me souviens bien.
- Mademoiselle Léa, oui. Tu lui fais comme d'habitude. La totale.
- A tes ordres. Si vous voulez bien me suivre, Mademoiselle.

Elle le suit dans les couloirs jusqu'à une salle d'eau. Au milieu, une grande cabine de douche aux parois vitrées avec plein de tuyaux partout. Léa remarque une multitude de petits pommeaux tout au long de ces tuyaux, au sol, au plafond... Et devant, un tableau de commandes digne d'un Airbus.

- Veuillez vous déshabiller entièrement. Mettez ce bonnet pour protéger vos cheveux. Et rentrez dans la cabine. Vous posez vos pieds sur les marques au sol. Et vous ne bougez plus. Je vais commencer par un massage par jets d'eau. N'ayez pas peur, l'eau est à la température de votre corps et c'est très agréable. Et laissez-vous aller.

Il se place derrière le tableau de commande et un premier fin jet d'eau chaude atteint la nuque de Léa. Puis un autre et un autre. Ils deviennent de plus en plus puissant, montent et viennent le long de la nuque provoquant une sensation extrêmement agréable. Elle ferme les yeux, goûte l'instant... Au bout d'un temps, ces jets sont rejoints par d'autres et ils descendent sur les épaules où ils s'attardent, allant et venant...

- Mettez vos mains au-dessus de votre tête.
Maintenant ce sont une multitude de jets, fins, puissants, qui enveloppent tout le corps de Léa, son dos, son buste, son ventre, ses côtés. Chaque petit jet fait un petit cercle... Que c'est bon.
- Attention, il va y avoir un peu d'eau froide.
Des jets d'eau froide venant d'en haut, d'en bas, des côtés, enveloppent chacun de ses seins, allant de la racine à la pointe des tétons. Eau froide se mêlant à l'eau chaude qui continue, en petit cercle, à masser son corps des épaules au bas du ventre... Jamais Léa n'a subi un tel massage.
Soudain, tout s'arrête. Mais immédiatement, ce sont ces fesses qui sont visées. Un jet plus puissant au milieu des autres monte et descend s'insinuant par sa force entre les deux lobes...
Et puis se sont ses cuisses, ses genoux, ses mollets qui sont ainsi massés...

Des jets venant du sol, enfin, parfaitement dosés en puissance, visent son sexe, écartent les lèvres, l'un d'eux parfaitement dirigé sur le bouton sensible, tous marquant des petits cercles concentriques... Léa sent le plaisir monter. Non, ce n'est pas possible, je ne vais pas jouir comme cela devant cet inconnu ! Et sous le seul effet de l'eau ! Mais c'est plus fort qu'elle, elle ne peut rien maîtriser. D'autant moins quand tous les jets se remettent en fonction en même temps...

- Laissez-vous aller, Mademoiselle, vous ne serez pas la première femme à jouir sous la douche.
Toutes ces milliers de gouttelettes qui  criblent tout son corps, sa nuque, ses épaules, ses seins, son ventre, son dos, ses fesses, ses cuisses et ceux plus précis sur son sexe ont raison de Léa qui jouit comme elle n'a jamais joui. Jamais un amant ne lui a offert de telles caresses. Il faudrait dix mains, vingt mains pour s'occuper ainsi de la totalité de son corps.
Elle jouit longuement. Ça continue. Elle voudrait crier grâce mais c'est si bon... Les orgasmes, violents, se succèdent. Elle manque perdre l'équilibre, se retient à une paroi. Alors tout s'arrête. Brutalement. Regret et soulagement.

- C'est bien Mademoiselle. Reprenez votre souffle, séchez-vous avec cette serviette et quand vous serez prête, vous viendrez dans la pièce à côté, toujours nue.
Il faut un bon moment à Léa pour retrouver ses esprits. Alors elle se sèche avec la grande serviette douce et chaude, enlève son bonnet et va dans la pièce à côté.

La pièce est plongée dans la pénombre. Une odeur d'encens. Une musique douce. Au milieu, une table de massage. Elle voit Wilfried, assis dans un fauteuil, qui la regarde avancer avec un sourire chaleureux et amical. A-t-il assisté à la douche ?
Le masseur lui tourne le dos occupé à manipuler des flacons d'huiles.
- Allongez-vous sur le ventre sur la table, si vous voulez bien.
Elle veut bien ! Elle adore se faire masser.

Quand elle est prête, il revient vers elle et verse sur ses épaules un filet d'huile. Et il commence à la masser. Sa nuque, ses épaules... Il lui prend un bras, masse le biceps et le triceps, s'attarde sur le coude, passe à l'avant-bras puis la main, la paume, le dessus, doigt après doigt jusqu'au bout de la dernière phalange. Puis il repose le bras le long du corps et va vers l'autre qui subit le même traitement... Après, c'est le dos qui fait l'objet de ses soins, les côtés... Il s'arrête sur le haut des fesses. Léa est bien. Elle se laisse aller, s'assoupirait presque...

Luigi verse un filet d'huile sur l'arrière d'une cuisse puis il la prend à deux mains et la masse longuement faisant rouler les muscles fins sous ses doigts. Ses gestes s'arrêtent juste à la limite d'effleurer l'entre-jambe et juste au bas de la fesse... L'arrière du genou... la cheville... le pied, orteil après orteil jusqu'au bout de la dernière phalange...

Il revient vers les fesses, laisse couler un fin filet sur chacune d'elles et commence à les masser. D'abord doucement et petit à petit plus vigoureusement... Sa main s'enfonce de plus en plus profondément dans le sillon qui les sépare... Une main s'insinue de plus en plus bas entre les cuisses ouvertes de Léa dans le prolongement de la fente... Et soudain, un doigt s'insinue dans l'anus largement lubrifié par l'huile de massage et un autre dans le sexe... Ils se rejoignent à travers la fine cloison, vont et viennent... Léa se crispe à la fois sous l'effet de surprise et aussi de bien -être absolu... Dieu que c'est bon... Elle sent le plaisir monter.... Elle serre les sphincters, les muqueuses pour enserrer ces doigts... Elle voudrait que ça continue... Se laisser aller.

Luigi retire ses doigts.

- Vous voulez bien vous retourner, Mademoiselle ?
Déçue que ce soit fini, Léa se retourne et se met sur le dos. Le masseur lui écarte légèrement les jambes. Elle se sait encore plus exposée ainsi. Elle devine le regard de Wilfried qui la détaille. Elle est sûre qu'il bande !

Luigi recommence à la masser... Il s'attarde longuement sur ses seins... Il titille les tétons, les fait rouler entre ses doigts, tire dessus...

Ses mains glissent ensuite vers son ventre, sur les côtés. Elles s'attardent sur les aines, glissant dans un mouvement de va et vient sur l'espace entre la cuisse et le bord des lèvres... Léa est remplie d'une douce chaleur... Elle est en attente d'un contact plus précis, intérieurement elle y aspire, s'y prépare. Mais ce contact ne vient pas... Nouveaux filets d'huile sur le dessus de chacune de ses cuisses et les mains glissent de l'aine au genou d'une jambe puis de l'autre... Longuement, doucement... Puis c'est le tour des tibias, de nouveau les chevilles...

Luigi reverse un filet d'huile allant d'un genou à l'autre en passant par le pubis... Et les deux mains, chacune sur une cuisse, remontent, se rejoignent sur le Mont de Vénus puis redescendent et remontent... Plusieurs fois... Au passage les pouces effleurent le sexe ouvert et transpirant d'attente... L'homme est cruel, il la fait patienter... A chaque passage, Léa donne un imperceptible coup de reins pour accentuer le contact...
Enfin, le mouvement cesse sur le pubis. Une main glisse vers le sexe, trouve le clitoris qu'elle fait rouler entre pouce et index... Décharge électrique... Léa pousse un profond soupir de bien-être et de plaisir... Puis deux doigts la pénètrent doucement...

 

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A deux mains, avec précision, avec subtilité, savoir-faire, le masseur la masturbe. Léa se laisse complètement aller, l'esprit concentré sur le mouvement de ces doigts en elle et sur elle... Et, au bout d'un temps, elle jouit sans pouvoir retenir un cri de plaisir... 
Doucement, Luigi la lâche. Ses mains glissent encore lentement, légèrement sur tous son corps...
- Reprenez votre souffle, Mademoiselle. Prenez votre temps...

Quelques instants de silence, de repos... Et Léa commence à se redresser. Luigi l'aide à se lever, à descendre de la table de massage. Il lui tend une serviette chaude, humide et parfumée...
- Essuyez-vous pour enlever les restes d'huile...
Léa s'essuie. Elle remarque que Wilfried s'est levé et s'approche d'elle avec un sourire. Il tient quelque chose dans la main. Lorsqu'elle a fini de s'essuyer, il se met face à elle.
- Ecartez les jambes légèrement.
Et sans rien dire, il fait pénétrer dans le sexe de Léa deux boules de Geisha.

***

La voiture quitte le périphérique à la Porte de Saint-Cloud et prend l'autoroute... Elle prend de la vitesse. Ils roulent sans parler. Wilfried a mis les Quatre Saisons de Vivaldi sur la platine... Léa ignore complètement où ils vont. Qu'est-ce qui l'attend ? Elle se doute bien que la soirée va être longue encore et qu'elle risque d'être soumise à de nouvelles épreuves.
Il fait nuit maintenant. Elle a complètement perdu la notion du temps. Elle se rend compte que depuis qu'elle s'est retrouvée entre les mains de Wilfried dans la chambre, hier soir, elle ne sait plus quelle heure il est. Elle sait que quand ils sont rentrés dans le salon de massage, il faisait encore jour. Ils en sont sortis, il faisait nuit... Elle voit sur l'horloge de bord qu'il est 22h30 !...

Elle est bien. Les vibrations de la voiture se répercutent dans les boules de Geisha qui irradient une douce chaleur intérieure. Tout en conduisant, comme distraitement, Wilfried a posé sa main droite sur sa cuisse et la caresse du genou à l'entre-jambe... 
La voiture roule maintenant sur une petite route. Wilfried conduit très lentement comme s'il cherchait sa route. Enfin, il braque à droite et emprunte une large allée de terre bordée d'arbres. Au fond, Léa aperçoit les lumières de ce qui ressemble à un château. Ils arrivent sur un vaste terre-plein ou de nombreuses voitures sont déjà garées. Wilfried trouve une place, coupe le contact. Enfin il prend la parole.

- Mademoiselle, je vous amène dans un lieu très particulier. Et vous vous doutez bien que vous allez de nouveau être mise à l'épreuve. Il vous faudra être forte.
Léa avale sa salive.
- Oui Monsieur. Que va-t-il se passer ?
- Vous le verrez bien. La seule chose que je peux vous dire, c'est de me faire confiance. Vous avez déjà eu quelques épreuves qui finalement ne sont pas si terribles que ça, n'est-ce pas ?
Léa repense à la soirée d'hier, à la violence de Léon, Marc et Luc, au simulacre de viol tout à l'heure dans la sinistre cave,...
- Non Monsieur.
- Alors laissez tomber votre honte et tâchez de profiter au maximum de ce qui vous sera... offert. Retournez dans votre tête ce qui peut paraître être une épreuve difficile en quelque chose qui peut vous apporter une grande jouissance.
- Oui Monsieur.
- Allons, venez.
Ils sortent de la voiture. En se dirigeant vers le perron, Wilfried pose sa main sur les fesses de Léa qu'il caresse en longeant la raie...

Ils rentrent dans un grand vestibule. Ils sont accueillis par un homme. Un grand et bel homme, dans la soixantaine, large d'épaules, le visage buriné, les cheveux poivre et sel... Il est vêtu d'un strict pantalon gris et d'un blazer bleu au-dessus d'une chemise bleue claire. Un foulard autour du cou  entré dans l'échancrure du col... Très distingué cet homme, et Léa se sent décalée dans son petit short et son haut...

- Bonjour cher ami, vous voilà, on vous attendait.
- Bonjour Baron...
- Voici donc votre dernière trouvaille. Belle pouliche !
Il fait un geste pour poser sa main sur la croupe de Léa qui se retire brusquement. Il rit.
- Et sauvage avec ça !... Il va falloir vous adapter au lieu, ma chérie !
D'un coup ce Baron a baissé au fin fond de l'estime de Léa. Elle a en horreur ce regard de maquignon, ce langage, ces mots pouliche, chérie...
- Ne vous inquiétez pas, elle s'adaptera...
- A plus tard, alors. Belle soirée. Vous aussi, très belle. Vous savez que vous serez la reine de cette soirée...
Ces mots glacent Léa... 

Ils rentrent dans le premier salon. Une vaste pièce. Lumières tamisées. Des tables dispersées, éclairées chacune par une bougie. Des gens mangent. Musique douce... Dans un coin, un petit podium sur lequel dansent langoureusement trois jeunes filles et deux jeunes garçons... Les filles portent uniquement soit un string, soit un short comme celui que porte Léa, les seins à l'air. Les garçons aussi sont torse nu et portent un short très court moulant leur sexe et leurs fesses. Léa, à la fois admire ces beaux corps plein de jeunesse et les plaint de devoir s'exhiber ainsi... 
Mais Léa est un peu rassurée car elle remarque que la plupart des femmes sont, comme elle, très court vêtues. Deux ou trois couples dansent, enlacés... Elle remarque encore les mains baladeuses des hommes sur le corps de leur partenaire.

- Venez, je vais vous faire visiter les lieux et ensuite nous reviendrons casser une petite croûte ici avant que votre fête commence...
"Votre" fête ? Que veut-il dire ? Léa devine déjà que ce lieu est un temple du sexe, de la jouissance...
Elle suit Wilfried qui va vers le fond de la salle et emprunte un escalier qui va vers le sous-sol... Un long couloir, large, éclairé par des appliques... Tout le long, des alcôves ont été aménagées... Dans certaines, Léa devine des couples faisant l'amour, elle entend les soupirs, les rugissements, les bruits de succion... Des ombres passent d'une alcôve à l'autre...
Wilfried ouvre une porte. Ce que voit Léa la saisit d'effroi. Est-ce cela à quoi la destine Wilfried ?

Une femme est attachée debout, écartelée, par des chaines, un gros collier métallique autour du cou également attaché par une chaine. Un homme la fouette. Il choisit les endroits où il fait claquer les lanières de cuir : les seins, les fesses, l'entre-jambes... Plus loin, une autre femme est attachée dans une position qui n'a rien de confortable sur une table métallique... Une autre femme promène sur son corps une tige métallique qui semble raccordée à une prise électrique. A chaque contact, la malheureuse se cabre... Voudrait hurler mais elle est bâillonnée avec une grosse lanière de cuir dans laquelle elle ne peut que mordre... Plus loin encore, c'est un homme qui est attaché, écartelé... Une tige posée au sol et enfoncée dans l'anus. Le sexe et les testicules attachés par une cordelette sur laquelle tire une femme avec, semble-t-il, beaucoup de plaisir...

Léa transpire de peur. Elle ne peut s'empêcher de souffler un "Non !"...
- Quoi donc, Mademoiselle Léa ? Vous ne voulez pas ? Vous résistez ?
- Non, Monsieur, s'il vous plait... Non, supplie-t-elle.
- Et bien, vous ne viendrez pas là. Je n'aime pas beaucoup cela non plus. Mais sachez que ces personnes sont toutes volontaires... Venez, sortons.

Léa est soulagée surprise que cela ait été aussi simple.
Au bout du couloir, une autre grande salle voûtée et moquettée. Lumière tamisée sauf un projecteur braqué sur un lit installé au milieu de la salle sur une estrade. La salle est vide, il n'y a personne.
- Il est encore trop tôt. Nous reviendrons. Allons manger...

Ils s'installent à une table tout contre le podium. Pendant le repas, Léa a tout loisir de regarder les danseurs. Ils sont magnifiques. Les filles sont belles, de véritables mannequins. Elles se ressemblent presque. Jeunes seins arrogants. Longues jambes fines et musclées. Fesses bien rondes et fermes... Les garçons, de vrais éphèbes. Belle gueule, corps fin, bien proportionné. Musclés mais pas trop... Ils n'ont pas 20 ans. Leur danse à tous les cinq est très lubrique. Les filles s'enlacent, se frottent les seins les uns contre les autres, s'effleurent les fesses avec tout leur corps, s'agenouillent devant les garçons frottant leur visage contre les sexes qu'on devine tendu à travers le tissu... Les garçons frottent également leur sexe contre les corps des filles, contre leurs fesses, leurs cuisses... Ils dansent parfois entre eux, sexe contre sexe...

Alors qu'ils ont fini de manger, le Baron monte sur le podium. Il chuchote quelque chose à l'oreille des deux garçons puis attrape un micro et demande le silence.
- Maintenant, Mesdames et Monsieur, les amis, que la fête commence. Je pense que vous avez tous fini votre repas et je vous invite à vous approcher de ce podium pour accueillir... Mademoiselle Léa !
- Oh non ! souffle tout bas Léa.
- Allons, Mademoiselle.
C'est Wilfried qui lui intime sèchement l'ordre d'obéir.

Léa ne peut reculer. Les invités se sont levés et s'approchent en applaudissant. Les deux garçons ont sauté du podium et la prennent chacun par une main. Elle doit se lever, les suivre, grimper les quelques marches... A peine arrivée sur le podium, les trois filles l'entourent et d'un seul geste lui ôtent son haut. Elle est rouge de honte.

La musique reprend. Plus vive. Plus rythmée. Un garçon se colle derrière elle, colle son sexe entre ses fesses, la prend par les seins et lui donne ainsi le rythme. L'autre garçon s'agenouille devant elle et plaque une main contre son pubis, accompagnant le rythme... Ces attouchements des deux danseurs, troublent Léa. Elle sent la barre du sexe bandé contre ses fesses qui va et vient... De plus elle aime danser. Il lui suffit d'oublier le public qui la regarde... Alors, elle se lance, ferme les yeux, prend d'une main la tête de celui qui est à genoux devant elle et la plaque contre son sexe. En même temps, elle pose la main sur celles qui lui caressent les seins, renverse la tête en arrière sur l'épaule de celui qui est derrière... Et elle commence à s'agiter au rythme de la musique.

Elle avait oublié les boules de Geisha qu'elle a au fond d'elle. Les vibrations se répercutent dans tout le bas de son corps, plaisantes au début, plus précises ensuite, plus violentes... Elles gagnent tout son corps, la font entrer comme en transe...

 

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Les garçons l'abandonnent immédiatement, happés chacun par une des filles. L'autre vient se coller à son tour contre elle, la prend par la taille, plaque son pubis contre le sien, ses seins contre les siens... Léa la prend aussi par la taille et va elle aussi chercher le contact. Elle voudrait communiquer à cette fille les vagues qui la submergent... Elle veut jouir de son corps, partager cette jouissance. Elle pose ses mains sur les fesses nues de sa partenaire de l'instant, glisse une jambe entre celles de la fille et commence à frotter son sexe contre la cuisse. L'autre fait de même... puis brutalement se sépare d'elle, toujours dans sa propre danse...

Elle se retrouve seule face au public tandis que les autres s'agitent à côté... Elle remarque que l'infâme Baron s'est assis à sa place. Et, à sa grande surprise, Luigi, le masseur, est aussi assis à la table avec Wilfried. Tous les trois la regardent avec intensité. Elle voit aussi tous les autres qui regardent la scène. Combien sont-ils ? 60 ? 80 ? Hommes et femmes. Certains en couple. Serrés les uns contre les autres... Des corps se frottent les uns aux autres. Des mains explorent. Elle voit une main de femme frottant la braguette de son compagnon. Ou des mains d'hommes sur une fesse ou un sein... Certaines se sont même enfouies sous les vêtements...

En se déhanchant, comme une provocation, elle glisse sa main entre ses jambes, se masturbe ouvertement... Ce n'est pas son habitude de s'exhiber ainsi, elle est plutôt timide. Mais cette ambiance, la musique, ces corps à moitié nus, cette jeunesse autour d'elle sur le podium... Et peut-être aussi le vin bu pendant le repas qui la désinhibe... Et ces boules dans son corps qui vibrent, cognent, ces décharges électriques de plus en plus intenses... L'orgasme la gagne. Elle manque tomber tant il est violent. Un garçon s'en rend compte et la retient en se plaquant contre elle... Elle râle de plaisir... Il lui chuchote :

- T'es une petite salope, toi... Dommage, ici je ne peux pas te tringler mais tu ne perds rien pour attendre...
Comme si de rien n'était, il poursuit la danse le temps qu'elle retrouve ses esprits. Puis la lâche... Encore flageolante, elle reprend la danse entourée maintenant de deux filles qui se frottent à elle. L'une d'elle lui chuchote
- Je vais jouir... Prends-moi contre toi, pose tes mains contre mes fesses et mon sexe...
Léa ne se le fait pas dire deux fois... Quel plaisir de sentir cette fille jouir contre elle. Elle sent sous ses doigts le fin tissu du string s'humidifier... Lorsque la fille se sépare d'elle, Léa ne peut s'empêcher de porter sa main au visage pour la humer...  Cette odeur de la cyprine intensifie encore son plaisir...
Combien de temps dure cette danse? Elle ne saurait le dire. La musique s'arrête. Les danseurs descendent du podium...

Wilfried l'accueille au bas des marches.
- Bravo Mademoiselle Léa. Je suis fier de vous.
Un peu étourdie, Léa n'entend pas les applaudissements. Elle ne sent même pas ces mains d'inconnus qui l'effleurent
Wilfried la ramène vers la table en la prenant par la main et la conduit jusqu'à Luigi.
- Mademoiselle, je vous confie à mon ami Luigi. Vous vous connaissez déjà. C'est lui qui va vous diriger pour la suite. A tout à l'heure.

Sans attendre, Luigi la prend par l'épaule et l'entraîne vers l'escalier qu'elle a descendu tout à l'heure. Maintenant les alcôves sont en pleine activité. Elles devine les corps nus qui s'étreignent, copulent, se séparent pour aller vers d'autres...

Elle a une bouffée d'angoisse en approchant de la porte derrière laquelle se passent des choses qu'elle ne veut pas imaginer. Mais Luigi ne ralentit même pas le pas et l'entraîne vers la salle voutée au fond du couloir. Maintenant, elle est pleine... La plupart des personnes sont nues. Des couples, des trios, des quatuors font l'amour... Un  cercle de spectateurs autour du lit placé au centre. Là, une femme est prise à la fois par cinq hommes : par devant, par derrière, par la bouche et un sexe tendu dans chaque main... Elle regarde...
Elle sent un sexe contre sa hanche. Enorme, long, épais, tendu à la verticale... C'est Luigi[E1] . Sans rien dire, Luigi lui fait retirer son short et plonge sa main entre ses cuisses pour enlever les boules de Geisha.

Les six personnes sur le lit poussent des cris, des soupirs et jouissent pratiquement simultanément... Léa n'est pas sûre que la jouissance de la femme ne soit pas feinte... Mais elle n'a pas le temps de se poser de questions...

- Ca va être notre tour. Venez.
Et il l'entraîne vers le cercle de lumière que les autres abandonnent...
Luigi parle fort.
- Je vous présente Mademoiselle Léa. Messieurs, gardez votre énergie. Je vais tout à l'heure vous l'offrir et tous vous pourrez en jouir. Vous aussi Mesdames, si vous le souhaitez. Ceux qui l'ont vue là-haut ont remarqué que Mademoiselle Léa n'est pas insensible à vos charmes, Mesdames.

Applaudissements... Le cercle se resserre. Léa est rouge de confusion. Ce n'est pas sa nudité qui la gêne. Tout le monde est nu. Mais cette manière de la livrer ainsi à tous... Elle a peur... Peur de la brutalité, de la bestialité... Peur de ces regards concupiscents... Peur de tous ces sexes virils dressés, tendus, de toutes les formes, grosseurs, longueurs... Luigi continue :
- Mais avant, elle m'appartient.
Rires et nouveaux applaudissements.
Sans attendre, Luigi la prend contre elle. Son sexe entre leurs ventres. Il lui chuchote
- Faisons l'amour comme si nous étions seuls dans votre chambre.

Pas si simple quand des dizaines de paires d'yeux sont braquées sur eux si proches, si pleins de désir... Mais elle s'abandonne vite sous les caresses de Luigi. Comme tout à l'heure sur la table de massage, ses caresses sont précises... Les seins, les fesses, le sexe... Mais elle sent bien que maintenant elle ne peut plus se contenter de recevoir. Il lui faut agir...
Alors elle s'écarte légèrement pour se saisir du sexe. Elle n'est pas sûre d'en avoir déjà tenu de si puissant. Elle arrive tout juste à en faire le tour de ses mains... Elle sait que tout à l'heure, il va la pénétrer et elle a peur d'avoir mal...

Elle commence à le masturber, à en faire le tour... Elle soupèse les testicules qui ont une taille proportionnelle à la taille du phallus... Deux grosses noix bien pleines.
Elle se penche pour prendre ce sexe en bouche. Pas besoin de se pencher beaucoup tant il est dressé et long. Il arrive au nombril du black... Elle doit ouvrir grand la bouche pour prendre le gland... Cela lui donne un peu la nausée. Alors elle le lèche comme elle le ferait d'un cornet de glace. Et elle fait en même temps aller et venir sa main le long de la hampe... Elle s'attarde plus précisément sur le frein. Elle sait que les hommes sont sensibles là. Elle glisse son autre main entre les cuisses de Luigi et lui caresse le périnée et les bourses...

Elle imagine que les personnes qui sont derrière elle la reluquent. Alors, par provocation, elle écarte les jambes et se cambre plus que nécessaire pour qu'ils aient une vue imprenable sur son cul et ses lèvres... 
Luigi ne reste pas inactif... Pendant qu'elle l'aspire, il lui caresse les seins d'une main et sa croupe de l'autre, longeant la raie entre les deux fesses...

Et il la pousse doucement vers le lit qui est au milieu du cercle de lumière. Il la fait s'allonger, écarte ses jambes et, se mettant à genoux sur le sol, il plonge son visage entre elles. Il lèche son sexe ouvert, trouve facilement de la pointe de la langue son clitoris qu'il pince entre ses lèvres, aspire... Dans le même temps, il fait pénétrer un doigt dans la grotte, puis deux, puis trois... Léa imagine qu'il prépare le terrain pour faire rentrer tout à l'heure son énorme vit. Elle aime cette caresse. Elle s'offre tout à lui, oubliant que des dizaines d'yeux la regardent. Elle est plutôt discrète d'habitude mais se montrer ainsi, s'exhiber dans un acte qui d'ordinaire se fait dans la plus grande intimité ne lui déplait pas. Elle perd toute inhibition. Elle concentre son esprit vers son sexe ainsi sollicité, sur ce que ces caresses de la bouche et des doigts provoquent au fond d'elle. Une onde de plaisir la gagne petit à petit, en vagues de plus en plus fortes...

Mais Luigi se redresse. Il grimpe sur le lit, se cale entre ses jambes et la couvre de son corps puissant, redressé sur ses coudes... Elle sent le sexe dressé entre ses lèvres... Il s'enfonce légèrement, écartant un peu plus encore les parois de son vagin. Wilfried la regarde, surveillant la moindre grimace de douleur... Le gland poursuit son chemin vers ses profondeurs, doucement, lentement... Lorsque sa partie la plus gonflée écarte ses lèvres, Léa a une grimace de douleur... Il stoppe sa progression, attendant que le corps s'habitue et s'adapte à sa présence... Puis il reprend sa marche, décidée et toujours lente... Léa suit l'avancée du sexe en elle... Et bientôt, elle est remplie de ce phallus... Le black effectue quelques mouvements pour bien se caler au fond d'elle. Puis il glisse ses bras sous son corps et se retourne, l'entrainant avec lui. Il est maintenant couché sur le dos et elle couchée sur lui. Il la fait se redresser ce qui lui permet de caresser ses seins d'une main tandis que l'autre caresse ses fesses.

Léa à son tour devient active. Elle fait coulisser le sexe puissant entre ses chairs... C'est elle qui donne le rythme, l'intensité, l'amplitude des mouvements en fonction de son plaisir qui monte... 
mais Luigi ne la laisse pas jouir ainsi. Il la tire vers lui faisant ainsi sortir son sexe qui retombe lourdement sur son ventre. Il lui chuchote à l'oreille :

- Retournez-vous et empalez-vous de nouveau sur moi !

Léa s'exécute. Elle se retourne, le chevauche, prend le vit lourd, gluant et luisant de sa cyprine, d'une main et se l'enfonce dans le con... Elle ressent de nouveau une certaine honte car maintenant elle fait face à ceux qui regardent... Elle voit tous ces hommes, le sexe tendu, certains se masturbant doucement... Ces femmes dont bon nombre ont la main entre les cuisses... Des couples aussi qui se caressent sans perdre une miette du spectacle qu'elle offre avec Luigi...

Elle a du mal à retrouver dans cette nouvelle position le confort et la volupté qu'elle avait tout à l'heure... Quand elle le retrouve elle reprend ses mouvements de va et vient... D'une main, elle peut palper les couilles qui pendent entre les cuisses de Wilfried... Et elle trouve, de l'autre main, son clitoris...
De nouveau, le plaisir monte... Elle veut jouir... mais de nouveau Wilfried ne la laisse pas s'égarer... Il se dégage, se redresse, la fait mettre à quatre pattes et il la prend en levrette... Et quand elle est sur le point de jouir, il la retourne, se met debout, la soulève dans ses bras puissants et l'empale à nouveau. Elle entoure ses reins de ses jambes, il la soutient les mains sous les fesses... Et il entreprend de faire, lentement, un tour du cercle des spectateurs... Des mains effleurent le corps de Léa... Certaines, des femmes sans doute, vu la finesse des doigts, encerclent la racine du sexe masculin tout contre les lèvres de Léa...
Et ils reviennent vers le lit. Il l'allonge, sans se détacher d'elle. Il chuchote de nouveau à Léa
- Jouissons maintenant !

Et lentement il commence des mouvements de va et vient... Rapide à certains moments, très lent à d'autres, allant presque à sortir d'elle avant de se renfoncer en elle jusqu'à la racine... La tête de Léa lui tourne, elle sent des décharges électriques au fond d'elle-même, remontant de la pointe des doigts de pied le long de la colonne vertébrale, jusqu'à la pointe des cheveux... Elle est prise dans un tourbillon... Luigi souffle fort, son sexe gonfle en elle.
Léa jouit la première. En poussant un cri, un feulement plaintif... Son orgasme puissant provoque celui de Luigi. Un premier jet de foutre puissant remplit tout le corps de Léa... Puis un second... Elle ne peut les compter. Cette explosion prolonge sa jouissance...
C'est fini. Le masseur se redresse, se retire, se lève...

- Maintenant, Messieurs, cette femme vous appartient. Et vous aussi, Mesdames...

Il a à peine parlé que dix mains, vingt mains, elle ne sait pas, se saisissent de ses cuisses, de ses seins, se glissent sous ses fesses... Un sexe prend la place de celui qui vient de sortir, moins puissant mais tout autant arrogant... Un autre se présente devant les lèvres de Léa. Elle ouvre la bouche et le gobe, offrant une fellation à cet inconnu. Elle voit que des hommes frottent leur sexe contre ses seins, son corps... Un rapide éjacule déjà en de nombreux jets qui s'écrasent sur les seins, le cou, le visage... L'autre jouit au fond d'elle et se retire. Un autre prend sa place et s'allonge sur Léa. Elle reconnaît le jeune danseur dans les bras de qui elle a joui tout à l'heure...

- Je t'avais dit qu'on se retrouverait, petite salope.

Elle n'aime pas ce terme. Mais elle aime être prise ainsi par ce jeune homme... Elle a tant reluqué son sexe tout à l'heure... ET le voilà en elle. Ca l'excite... De nouveau elle va jouir...
Une femme s'est mise à califourchon au-dessus de son visage et elle entreprend un cunni que la femme accompagne de mouvements du bassin...

Elle suce, masturbe, branle, accueille dans son con... Combien d'hommes, de femmes... elle ne saurait le dire. Ils se succèdent... Continuellement des jets de foutre arrivent sur son corps, dans son sexe... Elle n'est plus que jouissance...
Elle a du mal à ouvrir les yeux couverts eux aussi de ce sperme... Tandis que, la tête sur le côté, elle suce un phallus, elle aperçoit cependant à côté de lui une femme qui se masturbe... Wilfried jouit et se retire... Sans attendre la femme grimpe sur le lit, s'agenouille au-dessus de son visage et jouit en longues giclées de liqueur... Une femme fontaine. Un éclair amène la pensée de Léa vers la jeune Eléonore...

Les cinq sens sont en éveil et en action... Les bruits de succion, les gémissements, les cris, les plaintes, les soupirs de plaisir... Les mains sur les corps, les sexes, les corps à corps, sexes à sexes... Le goût et l'odeur du sperme, de la cyprine, de la transpiration... La vue de ces phallus, de ces sexes ouverts, de ces corps...

Léa plane au-dessus de son corps... Elle ne sait plus où elle est...  

Quelqu'un jette une couverture sur elle. Elle se sent soulevée, portée... Elle ne sait pas qui la porte. Elle devine deux voix d'homme, Wilfried sans doute et Luigi... Elle reconnaît le couloir à entendre les gémissements dans les alcôves... Des marches sont montées... La musique est forte, les percussions, les basses résonnent dans tout son corps... Elle entrouvre les yeux et aperçoit des corps qui se tortillent, qui se frottent... Certains sont nus... De l'air frais... Descente du perron... Bruit du gravier qui crisse sous les pas des deux hommes. Une portière de voiture s'ouvre. On l'allonge sur la banquette arrière... Elle s'endort...

Elle réveille alors que Wilfried essaie de l'aider à sortir de la voiture. Ils sont dans un parking souterrain... Il la soutient en la collant contre lui... Monter des marches...

- Mademoiselle Anne, vous vous occupez de Léa...

Elle entrouvre les yeux. Reconnaît la chambre. Anne, nue, vient vers elle, enlève la couverture et la conduit vers la douche en se collant à elle.
L'eau coule sur ses cheveux, son visage, tout son corps... Elle est chaude. Ça fait du bien. Elle est chancelante...

- Anne! Si tu savais...
- Chut ! Ne dis rien. Je sais d'où tu viens. J'y suis passée aussi !... Laisse-toi faire... Ne dis rien...
Le jet est dirigé vers son sexe. Longuement. L'eau la pénètre... Elle ne ressent plus rien. Seulement les mains douces d’Anne qui la frottent, la caressent, la débarrassent de tout ce sperme qui a séché sur elle, en elle...

Anne l'essuie longuement, la fait asseoir pour lui sécher les cheveux, la coiffer.
Puis elle la pousse doucement vers le lit. Elles se couchent toutes deux. Se font face. S'enlacent, seins contre seins, sexes contre cuisses.... Anne continue à la caresser. Léa est incapable de faire un geste. Elle s'endort profondément.

29 décembre 2018

Le Week-end initiatique de Léa. Partie 3/7

 

 

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Des épaules larges, une poitrine puissante, un ventre plat, des cuisses solides... Une gueule à la Georges Clooney avec ses cheveux poivre et sel... Son sexe encore humide de son intimité et encore gonflé a perdu cependant de son orgueil et pend entre ses cuisses.

- Venez que je vous présente. On va faire le tour. Anne que vous connaissez... 
Elles s'embrassent tendrement. Les mains d'Anne courent sur son corps.
- Zoé, la soumise, je devrais dire l'esclave de Monsieur Léon.  

Zoé, femme effacée qui garde la tête baissée, timide. La quarantaine, fine, de longues jambes... Elle accepte la bise sur les joues de Léa. Quand à Monsieur Léon, il est précisément comme Léa l'avait imaginé : pas très grand, bedonnant et gras, poilu même sur les épaules, une moustache à la gauloise... Pas très jeune non plus, pas loin de 70 ans ! Il semble penaud et en claquant une bise sur la joue de Léa il lui souffle un "excusez-moi de ma muflerie, Léa". Elle ne lui répond pas.

- Madame Mathilde.
Une femme bien charpentée, assez forte, la cinquantaine. Les seins retombant. Mais un sourire jovial. Elle respire la bonté et la gentillesse.
- Vous êtes magnifique. J'espère qu'on fera davantage connaissance si vous voyez ce que je veux dire, lui souffle t'elle en l'embrassant non sans lui mettre une main sur un sein et l'autre sur une fesse...

- Luc et Marc.
Elle les regarde à peine et pour éviter toute ambigüité qui pourrait faire croire qu'elle leur pardonne, elle leur tend la main. Luc, la montagne de muscles, son sexe fin comme celui d'un petit garçon mais long comme un jour sans fin pendouille entre ses jambes ; Marc physique plutôt agréable avec son sexe d'une grosseur impressionnante mais au repos. Tous les deux, regardant ailleurs que dans les yeux de Léa bredouillent aussi des excuses. Au moins, le coup de gueule de tout à l'heure de Wilfried a eu un certain effet.

- Christine et Catherine.
Deux belles femmes, se ressemblant comme des jumelles, l'une blonde, l'autre brune. Grandes, fines, élancées, de beaux seins, des cuisses musclées comme celles de Léa. Toutes deux la serrent affectueusement contre elles en l'embrassant sur les deux joues.

- Et Eléonore.
Jeune fille d'une vingtaine d'année. Les cheveux rasés sur les côtés et une crête sur la tête. Des boucles tout le long des lobes d'oreilles. Un piercing au coin de l'arcade sourcilière, un autre sur la lèvre inférieure, un autre au nombril... Un tatouage sur le sein droit et sur le pubis glabre... Des yeux noirs. Mais un regard franc, souriant, accueillant. Et un corps magnifique. Elles s'enlacent et s'embrassent sur la bouche.

- Bien. Maintenant mangeons et buvons et continuons à nous offrir du bon temps et à forniquer avec qui bon nous semble. Mais dans le respect. Il n'y a plus pour ce soir de femmes soumises ni esclaves. Même vous, Zoé. Ne protestez pas, Monsieur Léon. Vous êtes ici chez moi. Anne et Eléonore, voulez-vous amener Léa à la salle de bain et l'aider à se laver. Elle dégouline de notre sperme. Mais ne tardez pas trop...

Les deux jeunes filles ne se le font pas dire deux fois et elles courent entraînant Léa vers le fond du couloir. Elles rentrent toutes les trois dans la grande douche. Et tout en se lavant l'une l'autre, elles s'offrent baisers et caresses, les doigts pénétrant ici ou là... Elles ne cherchent pas la jouissance mais seulement à s'offrir du bon temps... Léa est heureuse de se retrouver entre ces deux filles qui n’ont pas loin de dix ans de moins qu'elle. Bien qu'hétéro, elle a souvent rêvé à des jeunes filles et voilà qu'elle en a deux, magnifiques de surcroit, à sa disposition et qui, en plus, semblent l'apprécier aussi.

Sans trop attendre, elles reviennent vers le salon... Elles voient Zoé assise sur une chaise, jambes ouvertes, la tête plongée vers son assiette pleine de petites tartes salées et canapés. A côté d'elle, sur une autre chaise, Wilfried lui parle, un verre de champagne à la main, lui caressant de sa main libre sa cuisse, remontant haut jusqu'à sa vulve. Léa observe que sa virilité retrouve une certaine vigueur. On dirait qu'il essaie de l'apprivoiser mais la belle Zoé semble rester enfermée dans sa timidité...

Sur le petit canapé, à côté, sont assis Madame Mathilde et Monsieur Léon, tous les deux un verre à la main et une assiette pleine sur les genoux. Debout, Marc, Luc, Christine et Catherine discutent... Les sexes de ces messieurs retrouvent aussi une certaine vigueur et sont à l'horizontale... Personne ne fait attention à elles trois. Elles vont se servir à la grande table et viennent s'asseoir sur le canapé qui a servis aux ébats tout à l'heure et qui est resté libre, Léa entre les deux jeunes filles.

- Dis donc, Eléonore, ta perle sur la langue fait des ravages quand tu fais cunni.
- Oui, je sais. Madame Mathilde adore ça.
- Madame Mathilde ! Comment ça se fait qu'une jeune fille comme toi soit avec une femme comme elle ?
- Et Anne avec Wilfried ? Et même toi avec lui ? Et Zoé avec le gros et affreux Léon ?
- Oui, d'accord. Mais...
- Ce serait trop long à te raconter et ce n'est pas le moment. Mais j'étais à la dérive, à la rue, devenue un jouet sexuel pour des garçons. Et j'ai pas envie de dire comment, elle m'a recueillie, redonné confiance en moi et fait retrouver le chemin des plaisirs que je peux tirer de mon corps. Elle est très gentille et je l'aime beaucoup. Et elle me laisse libre de partir quand je veux.
- C'est vrai qu'elle a l'air gentil. Tu fais quoi dans la vie ?
- Des études de philosophie.
- Et toi Anne ? Tu es arrivée comment dans les bras de cet homme ?
- J'étais aussi paumée. Pour me faire de l'argent, j'allais dans une boîte de nuit pour danser et faire du strip-tease... Et après, quand il ne nous restait que le string, on devait accepter, moyennant finance, de danser avec des hommes qui nous invitaient. Mais ils n'avaient pas le droit de toucher à ce qui restait caché. Et un jour, il m'a invitée.
Ça aurait pu être un autre. En dansant, il me parlait d'autre chose que de mes seins et de mon cul. Il me posait des questions sur ma vie, mes études. Il s'intéressait à moi. Et puis on s'est retrouvé un autre soir. Et là, il m'a attendue à la sortie. On a été boire un verre. On parlait. Jamais de sexe. J'avais de l'affection pour lui. Un jour, je lui ai dit que j'aimerais qu'il soit mon père ou une connerie comme ça, que j'aimerais vivre avec lui...
Il m'a dit que je serais malheureuse, qu'il avait plusieurs femmes qui lui étaient soumises... Comme j'étais curieuse, que je lui avais dit que je voulais savoir plus, un jour il m'a proposé un week-end. Comme toi tu vis là, Léa... C'était pas forcément le même programme mais comme toi j'ai dû surmonter la honte, d'être humiliée, d'être parfois considérée comme un objet... Mais il était là, solide, tendre, jamais vulgaire... Alors j'étais rassurée et j'ai aimé et j'ai continué à le voir de temps en temps. Mais il ne m'empêche pas de partir voir ailleurs. Mais quand je suis avec lui, je lui suis soumise. Et j'aime ça. Voilà.

- Qu'est-ce que tu as eu comme épreuve le premier week-end ?
- Il m'a fait promettre de ne rien te dire.

Pendant qu'elles parlaient, Wilfried avait lâché Zoé et s'occupait de Christine. Léa observe qu'il bande à nouveau et que Christine est bien réceptive à ses caresses. Zoé s'est assise sur la table basse face à elles trois. D'une voix douce, elle leur dit :
- Vous étiez belles quand vous étiez toutes les trois ensemble. Je n'ai jamais été caressée par une femme et je n'ai jamais caressé une femme.
- Et tu aurais envie ?
- Oh oui !

Sans attendre plus, Léa pose son assiette à côté d'elle, s'agenouille entre ses jambes et commence à lui offrir un cunni... Zoé est réceptive, elle se crispe. Léa aime son odeur, son goût... Elle introduit deux doigts dans le doux fourreau sans lâcher le clito qu'elle pince entre ses deux lèvres et titille avec le bout de la langue...

Soudain, Zoé se lève et pousse Léa vers le canapé. Léa se rend alors compte qu’Eléonore et Anne ne sont plus là. Elle n'a pas le temps de voir où elles sont. Zoé la fait s'allonger et se met à côté d'elle, tête-bêche. Les voilà parties dans un prodigieux soixante-neuf. Même si c'est pour elle la première fois, elle sait s'y prendre Zoé. Et rapidement, elles jouissent toutes les deux...

Quand elle se redresse, Léa voit que Eléonore est dans les bras de sa chère Mathilde, la tête en bas plongée entre les cuisses de son amie qui elle-même suce avec gourmandise son sexe... Plus loin, elle voit Wilfried assis sur une chaise, Anne sur ses genoux lui faisant face et ses mouvements ne laissent aucun doute : elle est empalée sur son vit. Couchée sur la moquette, Catherine se fait prendre par Marc et Christine par Luc... ou le contraire. Monsieur Léon semble somnoler sur son fauteuil en regardant le spectacle et en masturbant son sexe qui refuse de durcir. 

Ainsi se passe la soirée. Léa évite de recommencer l'expérience avec les hommes. Sauf avec Monsieur mais celui-ci ne lui demande rien. Elle passera encore dans les bras de Madame Mathilde qui n'attendait qu'elle...
Alors qu'elle est assise sur la canapé, rejointe par Anne, Wilfried vient vers elles.
- Il se fait tard et je pense qu'on a eu assez de jouissances pour ce soir, n'est-ce pas. Anne, vous raccompagnez Léa dans la chambre là-haut.
- Oui, monsieur.

Elles sortent donc discrètement. Léa regrette tout de même de ne pas avoir pu dire au revoir à Eléonore. Elles remontent l'escalier, toujours nues. Mais cette fois, Léa n'a aucune inquiétude. Ca l'amuserait même de croiser du monde.

- Prend une douche et couche-toi. Je pense que Monsieur va te rejoindre.
- Et toi ?
- J'ai une chambre à côté. A demain. Bonne nuit.

Léa se douche et se couche. Elle attend un peu inquiète la montée de Wilfried. Qu'est-ce qu'il va encore lui faire subir ? Mais épuisée, elle tombe dans une douce somnolence.

Elle se réveille alors que Wilfried sort de la salle de bain. Il est nu. Il sent bon. Il se couche près d'elle et, avec beaucoup de tendresse, il l'attire vers lui, la prend dans ses bras et l'embrasse. Et une dernière fois pour la journée, ils font l'amour.

 

Samedi

 

Il est tard lorsque Léa se réveille. Wilfried est toujours là, allongé sur le dos, les mains derrière la tête. Il a les yeux ouverts et regarde au plafond perdu dans ses pensées. Elle se blottit contre lui attendant quelques caresses. Mais, à sa surprise, il la repousse un peu violemment.

- Vous voilà enfin réveillée ! La liberté que je vous ai accordée en fin de soirée est terminée. Votre apprentissage reprend, Mademoiselle Léa. Levez-vous immédiatement  et allez chercher Mademoiselle Anne dans la chambre à côté. Dans deux minutes vous êtes là, au pied du lit, dans la position que je vous ai dictée. Allons ! Vous êtes encore là ?
Et joignant le geste à la parole, il la pousse sans ménagement hors du lit.

Les larmes aux yeux, elle sort dans le couloir, court jusqu'à la chambre à côté et y entre sans frapper. Ses larmes sont autant dues au dépit qu'à la colère. Elle réveille Anne. Pas le temps de lui faire des caresses. Pourtant, ça aurait pu la consoler. Elle lui explique en quelques mots la situation et toutes deux reviennent dans la chambre de Monsieur, se positionnent côte à côte, debout, face au lit, jambes écartées, mains derrière le dos. Wilfried ne leur jette pas un regard. Elles restent ainsi cinq bonnes minutes...

Il rejette les couvertures d'un violent coup de pieds. Son sexe est en érection, allongé sur son ventre, épais, puissant, tout en désir. Léa ne peut s'empêcher de le regarder. Elle aurait envie de le prendre, le caresser, l'embrasser, l'avoir en elle. Elle sait le plaisir qu'il lui a offert hier soir et cette nuit. Elle sent son sexe s'humidifier de désir...

- Mademoiselle Anne, venez vous allonger là, jambes ouvertes, mains sous les fesses.
C'est un ordre. Sec. Anne s'exécute. Il se met par-dessus elle sans la toucher, redressé sur ses bras tendus et il la pénètre d'un coup. Et il commence ses mouvements de va et vient, rapides, violents. Il se masturbe en elle comme s'il cherchait à jouir à tout prix sans se soucier de son plaisir à elle.
Rapidement il se cabre, se crispe, pousse un râle... Il jouit dans le sexe d'Anne.
Il a à peine fini, qu'il se recouche sur le dos à côté de la jeune fille.

- Ne bougez pas, Mademoiselle Anne. Mademoiselle Léa, venez nettoyer mon sexe avec votre langue...
Léa ne se pose pas de questions bien qu'elle n'aime pas cette situation. Elle s'approche, se penche au-dessus du sexe encore dur de Wilfried, le prend d'une main pour le redresser et entreprend de le lécher, sucer... Elle trouve le goût du sperme et aussi de la liqueur d'Anne. Ordinairement, quand elle offre cette caresse à un homme, c'est pour le faire bander encore plus, l'accompagner dans sa montée du plaisir. Là, au contraire, malgré ses caresses, le sexe perd de sa superbe, se dégonfle, se rapetisse, se ratatine... Elle continue tant que Wilfried ne lui demande pas d'arrêter...
- Ca va. Nettoyez maintenant le sexe de Mademoiselle Anne !

Elle monte sur le lit, se glisse entre les jambes d'Anne et plonge son  visage vers le sexe. Elle lèche d'abord les lèvres dégoulinantes du sperme que Wilfried y a laissé... Elle plonge sa langue au plus profond qu'elle peut, aspire, suce, lèche...
Wilfried se lève et va dans la salle de bain.
- Continuez jusqu'à ce que je vous le dise...

Elle entend l'eau de la douche. Elle profite qu'il ne soit plus là pour caresser les seins d'Anne tout en continuant de la lécher, ses fesses, ses cuisses... Anne lui caresse les mains là où elles se trouvent, sa tête... Elles ne disent rien. Goûtent l'instant. Y trouvent un certain plaisir.
Wilfried ressort de la salle de bain vêtu d'un peignoir.
- Allez vous doucher toutes les deux. Dans cinq minutes, vous êtes en bas.

Léa ose :
- Vous pouvez me rendre ma robe ?
Wilfried la fixe du regard, ne répond rien. Et il sort.
- Quel goujat! Il pourrait au moins me répondre...
- Calme toi, Léa. On l'a voulu. Il veut qu'on reste nues tant qu'on est dans la maison. Tout à l'heure, vous allez sortir et il te la donnera ta robe. Et tu verras, ce n'est pas désagréable de se promener nue.

Elles filent sous la douche. Pas le temps de s'offrir des caresses. Elles font vite, se sèchent et descendent, nues...

Elles trouvent Wilfried dans la cuisine. Il est habillé d'un pantalon clair et d'une chemisette. Il se met entre elles deux et leur met à chacune une claque sur leurs fesses, claque qui se veut affectueuse mais qui n'en est pas moins violente...

- Allez, les filles. Déjeunez copieusement, il est déjà tard. Mademoiselle Léa, nous partons dans une heure !

Et il sort, une tasse de café à la main. Les deux femmes s'installent à la table. Il y a là du jus d'orange, de la charcuterie, du fromage, du beurre, de la confiture, du miel, du lait, des céréales, différentes sortes de petits pains, du thé et du café...

- Profites-en bien, Léa. Tu risques de ne pas beaucoup manger de la journée. Et tu vas avoir besoin de force...
- Pourquoi ? Qu'est-ce qu'il va me faire ?
- Je ne sais pas. Et je ne peux rien te dire, il veut t'en faire la surprise. Il y aura des choses agréables. D'autres qui risquent de te faire peur. Mais rappelle-toi qu'il ne te veut pas de mal. Laisse-toi aller... Prends les choses comme elles viennent...

Elles mangent en silence. Léa se force un peu parce qu'elle a tout de même un peu l'estomac noué par l'angoisse. 

- Mademoiselle Léa. Enfilez votre robe que voici. On y va.
- Bien Monsieur.
- Et vous, Mademoiselle Anne, restez ici. Marc et Christine m'ont demandé s'ils pouvaient jouer avec vous aujourd'hui et j'ai dit oui. Ils vont venir dans un instant.

Anne pousse un soupir de dépit. Cette perspective ne semble pas la ravir.
- Pardon ? Jambes écartées et mains dans le dos ! Regardez-moi dans les yeux.
De mauvais cœur, Anne s'exécute.
- Marc et Christine vont venir et ils vont jouer avec votre corps, que cela vous plaise ou non.
- Oui Monsieur.
- Et je vous prie d'obéir aux moindres de leurs caprices, d'exécuter ce qu'ils vous demanderont et avec le sourire.
- Bien Monsieur.
- De toute façon, ils me raconteront et me diront s'ils ne sont pas satisfaits de vous. On est bien d'accord ?
- Oui Monsieur.

Léa a enfilé sa robe. Ça lui fait drôle de sentir le tissu sur sa peau...
Elle suit Wilfried dans le garage souterrain. Il lui ouvre la porte d'une petite Fiat qui ne paie pas de mine.

- Avant de vous asseoir, relevez votre robe jusqu'à la taille. Et écartez les genoux. Masturbez-vous pendant le trajet. Je veux vous entendre gémir de plaisir !

Et il démarre. Léa se caresse en regardant les scènes de la rue... Elle joue avec son petit bouton. Ca ne lui est pas désagréable de faire ça en pleine rue. Wilfried a descendu les deux vitres. Elle sent le courant d'air sur son minou... Quand il ne l'a pas sur le levier de vitesse ou sur le volant, il pose sa main droite sur le haut de la cuisse, tout contre sa main qui s'active en elle...

Il s'arrête non loin d'un magasin de vêtements.

- On va changer votre costume ! Suivez-moi.

 

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Ils rentrent dans le magasin. Il est vide sinon deux vendeuses et un jeune garçon qui porte une chemise de la même couleur que celles des deux femmes, sans doute un apprenti-vendeur. Les vendeuses semblent le connaître.
- Bonjour cher Monsieur. Bienvenue.

Elles dévisagent Léa et en mesurent la morphologie. Mais ne lui adressent ni la parole, ni le moindre sourire.
Wilfried va directement vers un rayon. Il a l'air de connaître le magasin. Il y a là toute une série de shorts, de toutes tailles, de toutes couleurs, de différents tissus... Il en prend cinq, différents. Puis il va vers un autre rayon et choisi également cinq petits hauts, tous à fines bretelles et qui semblent bien courts... Il appelle.
- Cédric ! Venez avec nous, on va essayer ces vêtements !
- Oui, Monsieur.

Mais pourquoi appelle-t-il quelqu'un ? Elle peut faire ces essais seule. Et pourquoi justement ce jeune garçon ? En plus, il semble bien le connaître puisqu'il l'appelle par son prénom. Léa commence à deviner et à mesurer toute la perversité de Wilfried...
Ils entrent tous les trois dans un petit salon d'essayage. Deux mètres sur deux, environ. Un petit fauteuil dans un coin sur lequel s'assoit Wilfried. Des glaces sur toute la hauteur et la largeur de deux parois.
- Enlevez votre robe !
Léa se doutait qu'elle devrait se montrer à ce garçon. Mais elle a tout de même un moment d'hésitation.
- Allons !
Elle enlève sa robe et met mécaniquement un bras sur ses seins et une main devant son pubis, comme pour se cacher.
- Ttttt ! Mettez vos mains sur votre tête, les coudes écartés pour bien faire pointer vos seins. Et écartez vos jambes. Alors, jeune homme, vous en pensez quoi de cette femme ?
Léa regarde le garçon. Il est rouge comme une pivoine ! Mais ne dit rien, avalant sa salive.
Wilfried se fait cruel.
- Je vous ai posé une question. J'attends...
- Euh !... Elle... elle est belle !
- C'est tout ?
- Euh... Elle est ma... magnifique...
- Caressez-la.

Il hésite. Partagé entre le désir de toucher ce corps et la honte de se retrouver dans cette situation. Il finit par avancer sa main, caresse rapidement un sein et recule.
- Non, jeune homme. Pas comme ça ! Collez-vous à elle, caressez-lui les seins en les prenant à pleines mains, caressez lui les fesses... Voilà.... Glissez votre main entre ses cuisses... Bien... C'est comment ?
- Je ne sais pas, Monsieur....
- Vous ne savez pas ?
- C'est chaud, doux, mouillé...
- Faites pénétrer un doigt dans son minou...

Léa s'amuse de voir le trouble du garçon et son inexpérience... Elle doit donner un léger coup de reins pour qu'il trouve son entrée dans laquelle il enfonce enfin brutalement son doigt comme s'il était aspiré à l'intérieur. Elle est certaine que c'est la première fois qu'il a ainsi une femme entre les bras. Il est certainement encore puceau. Ou peut-être est-il homo. Mais la barre dure qu'elle sent contre sa cuisse lui dit le contraire.
Wilfried s'est aussi aperçu de cette déformation de la braguette du malheureux garçon.

- Mademoiselle, veuillez soulager avec vos mains ce pauvre Cédric. Il va exploser dans son pantalon...
- Avec plaisir Monsieur.

Elle prend le garçon en l'agrippant par sa ceinture. Il veut s'échapper mais elle le tient solidement et il n'ose pas trop résister et faire violence à cette jolie femme nue. Sans attendre, elle déboutonne le haut du pantalon, descend le zip et fait descendre le vêtement à la moitié des cuisses. Le slip suit rapidement le même chemin. Le sexe raide, d'une taille et d'une épaisseur honorable, jaillit comme mu d'un ressort. Elle le prend à pleine main au milieu de la hampe. Elle aime ce contact. Elle le sent déjà palpiter, se gonfler. Elle comprend qu'il va très vite jouir.

Elle glisse son autre main le long des fesses du garçon, la glisse entre ses cuisses, caresse légèrement le périnée et l'arrière des bourses bien pleines... Elle est surprise de voir toute cette partie ainsi que le pubis parfaitement rasés. Il n'est donc pas si innocent que cela ! Elle se colle à lui, son sexe contre le haut de la cuisse. Elle donne de rapides pressions sur le vit qui gonfle encore. Elle sent sous ses doigts les sphincters qui se serrent. Il veut retenir ce qui lui échappe. Il cherche encore à se reculer mais elle le tient fermement. Alors un premier jet jaillit, violent, lourd et va s'écraser contre le miroir.

Il s'agrippe maladroitement à Léa, tous ses membres tremblent. Il se cache le visage de l'autre main en disant "J'ai honte, j'ai trop honte"... Un nouveau jet, tout aussi puissant. Elle accompagne maintenant la jouissance et les jets suivants de légers mouvements de va-et-vient... 
C'est fini. Elle dépose un baiser sur le cou. Le lâche, se met face à lui, l'enserre, prend ses fesses à pleines mains. Son sexe humide de désir contre le sexe de Cédric qui se relâche...

Wilfried rit.

- C'est bien mon garçon... Allez, rhabillez-vous et nettoyez tout cela sinon vous allez avoir des ennuis avec vos patronnes.

Et il lui lance un paquet de kleenex.
- Après, vous nous laisserez. Et vous, Mademoiselle Léa, essayez ces vêtements...
Pendant que Cédric se reculotte, nettoie son sperme sur le miroir et sur la moquette puis sort, Léa essaie les cinq shorts et les cinq hauts.

Lorsqu'ils sortent du salon d'essayage, elle porte ce qui a fait l'objet du choix de Wilfried. Un short en toile blanche dont la ceinture arrive au ras du pubis et le bas au ras des fesses. Il l'a voulu étroit, sans ouverture devant et la couture entrant entre les fesses et les lèvres, moulant ainsi parfaitement son anatomie. Le haut, à fines bretelles et très décolleté lui arrive juste au-dessus du nombril.

- Bravo, Monsieur ! Vous avez fait un beau choix. Vous êtes magnifique, Mademoiselle, et vous allez faire des envieux rigole l'une des vendeuses en lui lançant un regard narquois que Léa n'aime guère.
Cédric est occupé à ranger des vêtements à l'autre bout du magasin et ne leur jette pas un regard.

Wilfried paie et ils sortent. Dans la rue, des hommes se retournent sur Léa. Elle se sent nue, à leur disposition. Heureusement, la voiture n'est pas loin.

En redémarrant, Wilfried semble guilleret. Posant sa main sur le haut de la cuisse de Léa, tout contre le renflement que provoquent ses lèvres dans le tissu d'autant plus tendu qu'elle est assise.

- Vous êtes charmante et désirable. Ces vêtements mettent en valeur vos jambes magnifiques et votre buste majestueux... Vous ne croyez pas ?
Il faut lui répondre.
- Oui, Monsieur.
Mais elle regrette sa petite robe jetée dans un sac et qui se trouve sur le siège arrière. Même sans rien dessous, elle se sentait davantage habillée avec.
Il roule un moment en silence puis s'arrêtent de nouveau devant un immeuble. Wilfried coupe le contact et sort en prenant les clés.

- Je dois faire une petite visite à un ami. J'en ai pour dix minutes. Vous m'attendez là. Ne sortez surtout pas. Vous allez aguicher tous les jeunes mâles du quartier et ils sont chauds par ici. 

Léa commence donc l'attente, le bras nonchalamment posé sur le rebord de la fenêtre. Elle pense à tout ce qu'elle a vécu depuis qu'elle est à Paris il y a un peu plus de 24 heures. Même si elle a passé de mauvais moments - elle repense à la violence des hommes hier soir, au mépris de Wilfried ce matin, à l'exposition nue devant des inconnus qu'elle ne pouvait pas voir- elle est tout de même heureuse. Et sa pensée glisse vers Anne. Que vit-elle en ce moment avec Marc et Christine ? Et elle, qu'est-ce qui l'attend ? La journée est loin d'être finie.

Toute perdue dans ses pensées, elle n'a pas entendu ni vu les deux jeunes hommes d'environ 25 ans qui sont arrêtés à la hauteur de la voiture. 

- Eh, mec, t'as vu la meuf dans la voiture ?
- Ouais ! Plutôt mignonne et bien à mon goût... Bonjour Mademoiselle !
- Bonjour Messieurs.
- Dis donc, t'es pas bien habillée toi !
Il fait un mouvement vers les seins de Léa. Elle repousse la main brusquement.
- Laissez-moi tranquille. Mon mari va arriver.
- Ton mari ? Et il te laisse te promener toute nue comme ça ? Il te fait faire le trottoir ?
- Tu baises ? Combien tu prends ?
Léa prend peur. Elle crie :
- Je vous ai dit de me laisser tranquille.
S'adressant à son copain
- On la calme ? On la descend à la cave ?
- Oui, oui... On va s'amuser.
Cette fois, Léa hurle.
- Non, au secours, laissez-moi...

L'un des hommes ouvre la portière, passe son bras autour du coup de Léa et lui couvre sa bouche de sa main. Puis il la fait basculer l'obligeant à descendre de la voiture. Léa se débat mais rien à faire, il est costaud. L'autre vient à la rescousse, attrape ses pieds et c'est ainsi, en la portant, qu'ils descendent une rampe le long de l'immeuble et pénètrent dans la cave. 
Léa pleure maintenant. Elle a une peur comme elle n'a jamais eue. Mais pourquoi a-t-elle accepté tous ces jeux ? Elle aurait dû dire stop. Dans quel guêpier est-elle ?

Celui qui continue à lui fermer la bouche en profite pour glisser la main sous le vêtement et prend un sein à pleine main. L'autre monte sa main le long de la cuisse...
- On n'en a pas souvent des comme ça, pas  vrai cousin ?
- Tu l'as  dit. On va la mettre dans notre local et on va aller chercher les copains. On va passer une belle nuit avec cette petite salope.

Léa est remplie de terreur. Ella a entendu parler de ces femmes, victimes de tournantes, qui sont livrées à 10, 15, 20 hommes, jeunes souvent et avinés, et qui passent des heures et des heures de souffrance, de honte, d'humiliation dans un lieu immonde... Et voilà que ça lui arrive.

Ils rentrent dans un box. Ils commencent par lui bâillonner la bouche avec un linge plus que douteux. Léa a un haut le cœur. Puis ils lui bandent les yeux et la forcent à s'allonger sur un vieux sommier métallique lui attachant les deux mains ensemble au montant du lit... Ils remontent son haut jusqu'au-dessus de ses seins et lui arrachent son short.

- La salope ! T'es une vraie salope, toi. Même pas de culotte... Tu vas avoir ce que tu cherches, plein de queues qui vont juter en toi... Tu aimes ça, hein !
Puis ils lui attachent les deux pieds, écartés.
Elle attend leurs assauts. Rien. Même plus de mains baladeuses. Mais ce qu'elle entend l'inquiète.
- On te laisse là, mignonne. T'inquiète pas, on va revenir. On va chercher nos potes et quelques bonnes bouteilles.
Et ils sortent en éteignant la lumière et en fermant la porte à clé. Elle les entend s'éloigner en rigolant et en chantant...

 

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Léa ne saurait dire combien de temps elle est restée ainsi dans le noir, les yeux bandés, la bouche bâillonnée, attachée sur ce vieux sommier. Elle a peur, elle a pleuré, beaucoup pleuré. Elle pense à Wilfried, ce salaud, qui a déjà tant exigé d'elle. Que va-t-il penser quand il ne va pas la trouver ? Et comment va t'elle le retrouver, elle ne sait pas du tout où elle est, elle n'a pas un centime en poche, elle n'a pas de poche... Elle se sent perdue. Elle pense aussi à ses amis à Marseille, à sa famille... Et pourvu qu'ils ne la torturent pas, qu'ils ne l'amochent pas, qu'ils ne la frappent pas...

Elle entend des pas dans le couloir et des voix. Elle reconnaît les deux hommes qui l'ont kidnappée et il y a une troisième voix. Les pas s'arrêtent devant la porte. On ouvre le verrou.

- Tu vas voir ! Un vrai canon ! Ça va te plaire...
A travers sans bandeau, elle devine que la lumière est allumée. Elle entend un sifflement entre les dents.
- Waouh ! Bravo les mecs ! On va bien en profiter. Allez chercher les autres. Moi je commence, elle me fait trop bander !
- On y va ! Amuse-toi bien...

Les deux hommes sortent en riant et referment la porte derrière eux.
Une main se pose sur son genou, remonte le long de la cuisse, évite le sexe, va jusqu'à un sein qu'il caresse, triture... Léa frissonne de dégoût alors qu'en d'autres circonstances, elle aurait grandement apprécié cette caresse. Elle se cabre, essaie d'échapper à ce contact qui la révulse. Mais ses efforts sont vains...

- Allons mignonne, laisse-toi faire. Ça ne sert à rien de résister. De toute façon, tu vas y passer. Et plutôt cent fois qu'une... T'es trop bien foutue pour qu'on ne profite pas de toi... D'après ce que m'ont dit les copains, tu le cherches, non ? Presque à poil dans la rue, sans petite culotte ni sous-tif, un petit short qui montre ton petit cul et ta petite chatte. T'es une salope et tu veux pas le dire mais t'aime ça te faire bourrer par des mecs... Avoue...
Désespérément, Léa fait non de la tête.

- Mais si, t'aimes ça, tu vas voir...
Sa main revient vers le ventre. Un doigt la pénètre d'un coup, profondément. Elle se cabre de douleur et aussi pour rejeter cet intrus.
- Tu vois, que t'aimes. Tu vas être servie. On est une bonne bande de copains et je suis sûr que certains appellent déjà leurs copains et les copains des copains... La chambre n'est pas grande mais on se relaiera... T'inquiète, t'auras toujours une bite bien dure dans ta petite chatte. Et ton bide va gonfler tellement t'aura de foutre dedans...
Il continue à la caresser, à balader ses sales pattes sur son corps...
- Allez, je suis le chef, à moi l'honneur avant que les autres arrivent. Tous les deux seuls, comme des amoureux... Tout à l'heure, ce ne sera pas la même ambiance.

Léa l'entend défaire son ceinturon, puis des froissements de vêtements. Et il grimpe sur le sommier, se glisse entre ses deux cuisses et la pénètre d'un coup, jusqu'à la garde... Et il commence ses mouvements de va et vient...
- Hummm ! Qu'est-ce que t'es bonne !... Tu aimes ?
Léa ne ressent rien. Aucun plaisir. Elle est ailleurs. Elles s'est séparée de son corps. Elle reste parfaitement passive. Elle n'est qu'un trou dans lequel l'inconnu se masturbe...

Elle sent à peine quand il jouit... Elle se rend compte que c'est fini quand il se soulève, se retire et redescend du lit.
- Superbe. Ça fait du bien.
Elle l'entend se rhabiller.
- Avant que les autres arrivent, regarde-moi ma belle...
Et il lui retire son bandeau.
Au début, Léa ne veut pas regardez cette brute, ce salaud qui se dit le chef. Elle ferme les yeux et tourne sa tête vers le mur. Il lui prend le visage et l'oblige à tourner la tête vers lui.
- Allons, regarde-moi sinon je te bute... Dépêche-toi...

Effrayée, elle finit par ouvrir les yeux. Lui ! C'est lui ! Wilfried ! Léa est partagée... Ce salaud est complice de ces hommes qui vont arriver pour la violer... Enfin, il est là, c'est la fin de son calvaire !... Mais il semblait bien s'entendre avec ceux qui l'ont amenée ici...

Il la détache. D'abord les pieds puis les mains. Puis il lui donne un paquet de mouchoirs.
- Essuyez-vous et rhabillez-vous.
Et enfin, il lui enlève le bâillon.
- Vous ? Mais les autres vont arriver !...

23 décembre 2018

Le Week-end initiatique de Léa. Partie 2/7

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- Mettez-lui le bandeau qui est sur la chaise... dit une voix venant d'une autre pièce. Ainsi, Léa ne verra pas encore cet homme à qui elle s'est soumise ! 

Anne passe derrière Léa, lui attache solidement un bandeau sur les yeux. Puis elle fait glisser ses mains sur les seins, qu'elle caresse doucement. Elle lui souffle tout bas à l'oreille

- Allez ! Bon courage ! Laisse-toi aller ! Ça va être bon...
puis tout haut
- Voilà qui est fait Monsieur.
- Bien ! Amenez-la là et allez à la cuisine faire vos tâches.
- Bien Monsieur.

Anne pousse doucement Léa. Elles entrent dans le grand séjour... Anne la lâche en lui soufflant de nouveau dans l'oreille

- Jambes écartées, mains dans le dos.

Léa prend donc la position. Elle sait que Wilfried est là et la regarde. Y a-t-il d'autres personnes avec lui ? Elle n'en a pas l'impression. C'est le silence. Elle reste ainsi une ou deux minutes, elle ne saurait le dire... Elle voudrait dire quelque chose ne serait-ce que bonjour ou bien lui demander où il est... Mais elle se rappelle le conseil d'Anne, ne rien dire s'il ne demande rien, ne pas prendre d'initiatives, se laisser porter par les évènements. Etre docile. Alors, elle attend, se supposant observée...

Wilfried s'approche.

- C'est bien Mademoiselle. Vous êtes vraiment belle. Et Anne vous a bien enseigné.
Il la prend dans ses bras. La caresse. Ses seins, ses fesses. Sa main glisse entre ses cuisses ouvertes. Un doigt pénètre dans son intimité. Il pose un baiser au coin des lèvres. Le premier geste d'affection.
- Ce que vous avez vécu là-haut n'était qu'un petit aperçu de ce que je veux vous faire vivre. Ce que vous allez vivre ce soir va être beaucoup plus... disons... intense... je vous demande seulement d'être docile et d'obéir. On est bien d'accord ?
- Oui.
- Pardon ?
- Oui, Monsieur.
- Parfait.

Il la lâche, passe derrière elle et avec une petite cordelette lui attache les deux mains dans le dos. Puis il la pousse doucement jusqu'à un canapé.

- Montez-là. Mettez-vous à genoux, écartez vos genoux...
Elle s'exécute. Il l'aide à se mettre dans le bon axe, lui écarte un peu plus les jambes...
- Parfait ! Ne bougez plus.
Il lui donne une petite tape sur le pubis et s'écarte. 

Elle entend Wilfried qui va et vient dans la pièce. Elle l'entend parler dans la cuisine, sans doute avec Anne. Est-elle encore nue elle aussi ou s'est-elle habillée ? Ils rentrent tous les deux dans la pièce. Bruit de verres qui s'entrechoquent. Quelque chose est posé sur une table sans doute. Un bruit d'une petite tape sur de la peau nue.

- C'est bien Mademoiselle. Regardez notre nouvelle amie. Elle vous plait ?
- Oui, Monsieur.
- Avez-vous eu du plaisir à la faire jouir tout à l'heure là-haut ?
- Oui, Monsieur. Beaucoup de plaisir...
- Et quand je suis parti, qu'avez-vous fait ?
- Je l'ai libérée comme vous m'aviez demandé et on a pris notre douche...
- C'est tout ? Dites-moi la vérité.
- Nous nous sommes aussi embrassées et caressées. J'ai été chercher votre sperme dans son sexe avec mes doigts pour le goûter et le lui faire goûter aussi.
- Et vous avez aimé ?
- Beaucoup, Monsieur.
- Bien. Retournez à la cuisine. Je vous appellerai.
- Bien Monsieur.

A ce moment, coup de sonnette à l'entrée. Wilfried va ouvrir.

- Ah !  Voilà. Vous êtes les premiers. Entrez. Bonjour Marc. Bonjour Luc.
Embrassades.
- Bonjour, cher ami.
- Bonjour Maître !
Rire...
- Entrez donc. Vos jolies femmes ne sont pas avec vous ?
- Non, elles vont nous rejoindre et ne devraient pas tarder. Elles ont été faire du shopping ensemble cet après-midi.
- Et nous les soupçonnons de s'être aussi offert du bon temps entre elles deux.
Nouveaux rires.
- Elles sont insatiables, toutes les deux.
- Mais cher ami, vous n'y êtes pas pour rien !
- C'est un peu vrai. J'ai eu beaucoup de plaisir lorsque je les avais comme soumises toutes les deux ensemble. Mais vous ne le regrettez pas, semble-t-il.
- Oh que non !
Nouveaux rires. Ils rentrent dans la pièce.
- Waouh ! Voilà donc votre trouvaille !... Magnifique...
Léa ne sait où se mettre. A vrai dire, elle n'a guère le choix. Que celui de rester là, ainsi offerte à la vue de ces deux hommes dont elle ne sait rien. Elle voudrait se cacher... Et ce que lui a dit Anne tout à l'heure prend toute sa valeur.
Elle entend les deux hommes s'approcher d'elle.
- On peut toucher ?

- Oui, bien sûr. Elle est là pour cela et vous aussi. Mais avec les mains seulement. Du moins pour le moment.
- Déjà docile et offerte !

Deux mains se posent sur ses seins. Un homme s'assoit près d'elle et pose sa main sur l'arrière de sa cuisse. Cette main remonte vite, caresse les fesses, se faufile entre les cuisses... Une autre est posée en coquille sur son pubis. Un doigt la pénètre...
- Et réceptive la belle !
Les mains changent de place. Celle qui était sur un sein glisse sur le ventre et va directement se faufiler vers le sexe. Celle qui était là, remonte le long du sillon entre les deux fesses. Un doigt trouve l'entrée secrète et essaie d'y pénétrer...

Léa trouve que ces deux hommes sont un peu trop conquérants. Et que voulait dire Wilfried quand il dit qu'ils peuvent la toucher avec les mains seulement "au moins pour le moment" ? A-t-il l'intention de l'offrir en pâture à ces hommes ?
Elle essaie d'oublier sa honte et de concentrer sa pensée sur ces deux mains qui la caressent, la fouillent, la pénètrent... Elle cherche à goûter le plaisir de l'instant...

Nouveau coup de sonnette. Voix de femmes.
- Vous voilà ! Vos hommes sont là depuis un petit moment et sont déjà bien occupés... Vous êtes sexy en diable.
- Pour vous, Monsieur. Nos hommes explorent déjà votre dernière trouvaille ?
- Rentrez. Oui, ils explorent et vous pourrez faire de même...
- Ah la voilà donc ? Belle femme. Allons, laissez-nous la place...

Les hommes lâchent leur proie. Ce sont quatre nouvelles mains qui prennent possession de son corps. Des mains plus fines. Plus douces. Tout de suite, en experte, l'une d'elle trouve le clitoris et commence à le titiller tandis que d'autres caressent ses seins, ses fesses, ses cuisses...
- Elle est déjà trempée de désir, la petite chou !
Effectivement, Léa n'est pas insensible à ces caresses et elle sent un début de plaisir qui monte... Elle se laisse complètement aller. Elle voudrait elle aussi caresser, embrasser... Mais ça ne lui est pas possible...

Une main la prend par le cou et la fait basculer vers l'avant. Elle est maintenant plaquée contre un corps féminin, la tête posée contre les seins qu'elle devine libres sous le fin tissu... Deux doigts l'ont pénétrée, vont et viennent le long de son fourreau tandis que le doigt continue à jouer avec le clito... Elles sont expertes ces mains, variant l'intensité des mouvements, leur amplitude, leur rythme... Léa sent une douce chaleur la gagner... Elle ne peut plus maîtriser sa respiration, qui devient plus rapide, plus plaintive... Des doigts jouent avec ses tétons.
- Elle va jouir, la petite.
- Et bien qu'elle jouisse !
- On peut ?
- Bien sûr. On lui doit bien cela. Laissez-vous aller, Mademoiselle. Et vous aurez d'autres orgasmes dans la soirée et demain et après-demain, je vous le garantis...

Nouveau coup de sonnette. Léa entend de nouvelles voix dans l'entrée mais veut avoir sa jouissance. Les deux femmes ne se laissent pas distraire non plus et continuent leurs caresses.
Décharge électrique. Râle. Soupir profond... 

Heureusement, les deux femmes la soutiennent...

- C'est bien... Mais je suis toute trempée... Qui me soulage ? Une bouche, un sexe, une main... au secours...
- Ttttt ! Tout à l'heure. Calmez-vous ma petite. Je ne vous présente pas Monsieur Léon, vous le connaissez. Et sa soumise du moment, Mademoiselle... Comment déjà ?
- Zoé, répond une petite voix timide...
Echange de salutations, embrassades. Les mains lâchent Léa, la remettent d'aplomb...
- Et bien, cher ami, que voilà une belle femme. Je reconnais là votre bon goût...
- Mais, cher Maître, je vous dois tout. Asseyez-vous donc à côté d'elle.

Sonnette. Encore du monde qui arrive. Deux femmes. Léa est rouge de confusion sous son bandeau. Elle a aussi la honte d'avoir joui ainsi en public, en présence de personnes qu'elle ne connait pas et qu'elle ne peut même pas voir... Un homme s'assoit lourdement près d'elle. Une nouvelle main prend possession de son corps. Une main plus lourde, potelée, trapue... 

- Vous êtes les dernières. Entrez. Je ne vous présente pas Mademoiselle Eléonore qui a été ma soumise et qui est maintenant celle de Maîtresse Mathilde. Si Eléonore aime aussi se faire prendre par des hommes, Mathilde est une pure lesbienne et donc, Messieurs, inutile d'essayer quoi que ce soit avec elle.
Rires. Salutations...
- Mathilde, je suppose que vous me laisserez un instant reprendre possession de mon ex-soumise.
- Bien sûr, cher Monsieur.
- Alors dans ces conditions, Mademoiselle, déshabillez-vous. Nous allons commencer les festivités. Vous autres asseyez-vous, il y a de la place pour tout le monde... Monsieur Léon, voulez-vous laisser votre place et prendre ce beau fauteuil qui vous tend les bras. Vous aurez tout à l'heure tout loisir de vous amuser avec notre nouvelle amie.

Il appelle.
- Mademoiselle Anne ! Voulez-vous venir ?
Des sifflements d'admiration saluent son entrée dans la pièce.
- Mademoiselle Eléonore et Mademoiselle Anne, asseyez-vous de chaque côté de Mademoiselle Léa... Voilà. Ne sont-elles pas mignonnes toutes les trois ? Bien ! Déliez-lui les mains. Et maintenant, aidez-la à s'allonger, les genoux repliés et écartés... Voilà, comme ça. Vous connaissez la position ! Mademoiselle Eléonore, vous allez vous mettre à quatre pattes au-dessus d'elle, tête bêche, prête à plonger entre ses jambes quand je vous le dirai, pour lui procurer du plaisir.
- Oui Monsieur.
- Mademoiselle Anne, tout à l'heure là-haut vous avez su faire jouir Mademoiselle Léa avec votre bouche. Maintenant c'est elle qui va vous faire jouir. Et en recevant sa caresse, vous vous occuperez de procurer du plaisir à Mademoiselle Eléonore. Mettez-vous à genoux au-dessus du visage de Mademoiselle Léa...
- Bien Monsieur !
- Peut-être lui mettre des coussins sous la tête pour qu'elle soit au bon niveau... Vous pourrez aussi y mettre les doigts... Mais avant de commencer... Marc et Luc, que diriez-vous si vos femmes se mettaient aussi nues ?
- Tout à fait d'accord.
- Alors, Mesdemoiselles, mettez-vous nues, à côté de vos compagnons, debout, jambes écartées... Monsieur Léon ?
- Vous voulez que je me déshabille aussi ?
Rires.
- Non. Du moins pas maintenant.
- Oui, j'ai compris. Mademoiselle Zoé ! Comme les autres.
- Mathilde, je ne vous demande rien...
- ...mais par solidarité féminine, je vais aussi me mettre nue. Mais je resterai assise car je ne suis pas une soumise, moi...
- Bien entendu, chère amie...
Les femmes se déshabillent. Cela est assez vite fait car elles portent peu de vêtements. Et aucune ne porte de sous-vêtements.
- Mesdemoiselles Léa, Eléonore et Anne, allez-y... Et vous messieurs, en regardant, vous pouvez lutiner vos femmes. Avec les mains uniquement et à conditions qu'elles gardent la position !

Imaginez la scène... Léa allongée sur le dos, jambes ouvertes, lèche, suce le sexe d'Anne qui s'est agenouillée au niveau de sa tête qui elle-même lèche, suce le sexe d'Eléonore qui est à quatre patte, tête bêche avec Léa et qui lèche, suce le sexe de cette dernière... Le circuit fermé du plaisir... Monsieur Léon, Marc et Luc assis dans l'autre canapé et sur des fauteuils, comme au spectacle, ont posé négligemment une main sur l'arrière de la cuisse de leurs compagnes, elles-mêmes nues, debout, jambes écartées. Mathilde, également nue, assise sur un fauteuil, jambes ouvertes. Et Monsieur, s'est mis légèrement en retrait, debout, et regarde le spectacle que lui offrent ses hôtes et qu'il a mis en scène.

Léa se sent bien. D'abord, elle n'est plus la seule au centre de tous les regards. Elles sont trois. Et puis elle n'est plus la seule femme nue au milieu des autres. Toutes les femmes sont nues. Et cela promet une belle soirée. Elle ne sait pas comment elle va se poursuivre, qu'est-ce que Wilfried va encore inventer. Mais elle imagine qu'elle sera chaude. Et même si elle restera sans doute le centre de bien des intérêts, tous seront acteurs, elle n'en doute pas. Et cela lui donne envie de tout lâcher, d'oser comme le lui conseillait Anne tout à l'heure.

Et puis l'ambiance semble chaleureuse, amicale, sans violence. Mais ce qui plait par-dessus tout à Léa c'est qu'elle a la possibilité enfin de rendre à Anne, autant qu'elle le pourra, la douce caresse qu'elle lui a offerte tout à l'heure, dans la chambre du haut. Elle s'y applique du mieux qu'elle peut. Anne mouille beaucoup déjà. Elle aime son goût, son odeur.  Elle est aussi toute tendue vers la caresse que lui prodigue Eléonore. Elle ne sait rien de cette femme. Elle a osé explorer son corps penché au-dessus du sien... Elle a caressé ses cuisses, ses fesses, son dos, a effleuré ses seins... Cela lui fait penser qu'elle est plutôt jeune elle aussi. D'autant plus qu'elle a un coup de langue redoutable sur son clitoris et elle a deviné qu'elle avait une perle sur la langue comme en portent beaucoup de jeunes filles...

La tension monte. Les trois femmes commencent à pousser des soupirs et des gémissements de plaisir sous les caresses des partenaires... Personne ne parle. Léa ne voit pas les autres mais devine qu'ils ne perdent rien du spectacle.
Si elle voyait, elle verrait que les hommes sont en train de masturber presque distraitement leurs compagnes. Celles-ci ne peuvent guère bouger, elles respectent la règle de Wilfried, mais elles vont au-devant de la caresse de leur homme pour l'accentuer... Mathilde, seule, se masturbe ouvertement...
Ce ne sont que gémissements, soupirs, petits cris de plaisirs... Bruits de succion, grognements... Léa, Eléonore et Anne y vont avec leurs doigts aussi... Sans savoir laquelle des trois donne le tempo, elles vont au même rythme que la caresse qu'elles reçoivent...

C'est Anne qui la première succombe... Elle serre la tête de Léa avec ses genoux, à lui faire mal... Elle s'affaisse sur son visage, pousse un cri... Comme une onde de choc, sa jouissance se répercute sur les autres qui jouissent en même temps... Léa a alors la surprise de recevoir un liquide chaud sur ses seins... Eléonore est femme fontaine...
Toutes les trois, restent encore tendues un court moment puis Anne et Eléonore changent de positions, viennent s'allonger contre Léa et toutes trois s'enlacent. Eléonore embrasse à pleine bouche Léa en riant. Elle ne s'était pas trompée, elle a bien une perle sur la langue...

- Excuse-moi, Léa, je t'ai baptisée !...
Elles rient toutes les trois... D'autant plus qu'elles entendent les gémissements puis les cris d'orgasme des autres femmes.

- Allons, Mesdemoiselles. Un peu de tenue. Mademoiselle Léa, à genoux au milieu de canapé, genoux écartés, mains dans le dos. Mesdemoiselles Eléonore et Anne, debout de chaque côté du canapé dans la même position.

Wilfried a besoin de réaffirmer son autorité. Il s'approche du trio.

- Mais c'est bien les filles. Vous nous avez offert un beau spectacle, magnifique. N'est-ce pas, les amis ?
Les autres applaudissent...

- Mesdames, vous gardez la position. Mathilde, vous faites ce que vous voulez. Et vous, Messieurs, je pense que nous avons quelques petites tensions à soulager, n'est-ce pas. Alors, à notre tour de nous déshabiller. Et Mademoiselle Léa nous fera l'honneur de nous accueillir chacun notre tour... Monsieur Léon vous commencerez, puis Marc et Luc, dans l'ordre que vous voudrez. Et je terminerai. Vous faites de notre nouvelle soumise ce que bon vous semble. Sans violence, cela va sans dire et sans lui procurer des souffrances inutiles, ce n'est pas le genre de la maison, vous le savez bien. Et l'essentiel est aussi que Mademoiselle Léa ait sa dose de jouissance !

Le cœur de Léa bat fort... Recevoir quatre hommes à tour de rôle ! Elle n'a jamais vécu cela. Et si elle a eu un petit aperçu du corps et du sexe de Wilfried, elle ignore tout des trois autres. Mais elle veut jouer le jeu. Elle attend donc, docile. Elle entend des bruits de vêtements qu'on enlève, qu'on jette à terre. Bruits de ceinturons qu'on enlève, de souliers qui tombent à terre.

Deux femmes explosent de rire. Sans doute les compagnes de Marc et Luc...

- Waouh, ils sont tous au garde-à-vous !...
- Mesdames, s'il vous plait. On se calme. Et ne vous moquez pas de notre membre que vous aimez mettre dans cet état, en jouer et en jouir. Monsieur Léon, vous êtes prêt ?
- Bien sûr. Est-ce que je peux m'offrir une petite fellation ?
- Mais oui, cher ami. Faites ce que bon vous semble. 

Monsieur Léon s'approche de Léa, la fait doucement descendre du canapé et la serre contre lui.

- Faites connaissance avec mon corps puisque vous ne me voyez pas. Et ensuite vous me sucerez, n'est-ce pas ?... Allons ! Caressez-moi ! J'espère que je ne vous dégoûte pas !...
Léa retient un mouvement de recul. L'homme qui la serre contre lui est petit, gros, le ventre tombant. Et surtout, il est couvert de poils. Un véritable ours... Elle contourne le ventre énorme et atteint du bout des doigts le sexe... Il pend entre les jambes, gonflé et lourd...
Elle s'agenouille pour le prendre en bouche.
- Non, non, ma petite. Restez debout et penchez-vous. Pendant que vous m'offrirez cette fellation, je veux pouvoir caresser vos gentilles petites fesses, ça m'excitera...

Léa, à cause du gros ventre a du mal à trouver une manière de faire. Elle y parvient cependant mais en se contorsionnant. Elle espère que le bonhomme jouira rapidement car sa position n'est vraiment pas confortable.
Elle s'y connait en fellation. Souvent ses partenaires d'un ou deux soirs lui demandent cette caresse plus préoccupés par leur propre jouissance que par la sienne. Doucement, elle décalotte le gland, le gobe, le lèche comme elle le ferait d'une glace, le suce... Puis elle enfonce le sexe entièrement dans sa bouche, le recrache, le reprend... Puis s'attarde de nouveau sur le gland, titille le méat du bout de la langue, s'attarde sur le frein... Une main va et vient doucement le long de la hampe tandis que l'autre joue avec les testicules, caresse le périnée, se faufile plus loin longeant la raie des fesses... Léa varie la pression de ses mains, le rythme, l'amplitude de ses gestes...

Léon ne reste pas inactif... Il caresse le sexe tendu de Léa avec précision. Elle apprécie... Il charge ses doigts de cyprine puis va en lubrifier l'anus qu'il masse doucement de mouvements circulaires. Il fait ainsi plusieurs allers retours entre le con et le cul. Et soudainement il fait pénétrer l'entièreté de son majeur dans ce passage secret. Léa aime beaucoup moins. De douleur, elle manque mordre ce qu'elle a en bouche... Le doigt s'agite en elle, ressort en partie, repart à la conquête des fondements de Léa... La douleur est passée... Léa ressent même un certain bien-être...

Le sexe gonfle dans sa bouche, palpite.... Léon va jouir... Elle rejette le sexe et se prépare à le masturber pour l'aider jusqu'à l'explosion...

- Non, non, non... Je veux jouir dans votre bouche, Mademoiselle. Je veux que vous avaliez ma liqueur... Allons !

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Léa n'aime guère cette autorité. Mais elle se soumet, reprend le sexe dans sa bouche. Pour bien marquer sa domination et sa volonté, Léon appuie sur sa tête en l'agrippant par les cheveux et plaque son visage contre son pubis...
Et il jouit au fond de la gorge de Léa... Un premier jet puissant, puis un deuxième... Léa a du mal à avaler, a peur de s'étouffer... Un troisième jet, plus petit... Et c'est fini !

Léon retire son doigt et repousse un peu brutalement Léa. Il dit quand même un petit "Merci".

- Bravo ! A qui maintenant ? Marc ? Luc ?
- C'est moi qui y vais.
- Très bien, Luc. Et toi, que veux-tu ?
- Monsieur Léon a ouvert le chemin. Je veux l'enculer !

Léa se sent vraiment réduite à l'état d'objet... Elle a à peine le temps de se rétablir, ayant peu apprécié l'attitude et presque brutalité de Monsieur Léon que c'est une montagne de muscles qui se saisit fermement d'elle et la plaque contre lui. Grand, massif... A croire que Luc passe ses journées dans les salles de gym... Mais c'est avec un certain plaisir qu'elle a à caresser ce corps après celui de Léon... Et là, pas un seul poil... Même le pubis, les bourses sont rasés de près. Elle sent le vit entre son ventre et celui de l'homme. Elle glisse sa main pour s'en saisir. Long, très long, arrivant presque au nombril, mais étonnement fin... Au moins, il ne lui fera pas trop mal en la pénétrant !

Luc, la retourne un peu brusquement, plaque son corps contre son dos, le sexe glissé entre ses deux fesses... Il lui triture sans ménagement les seins, pince les tétons, puis glisse entre ses cuisses, la pénètre de deux doigts. Puis il la pousse vers le canapé.
- A genoux ! Ton corps contre le dossier. Cabre-toi, pointe ton cul que je te défonce...
Léa a peur de cette brutalité, de cette presque méchanceté qui tranche tellement avec l'ambiance bon enfant de tout à l'heure... Il enfonce un doigt dans l'anus encore ouvert après les assauts de Léon. Elle l'entend cracher dans son autre main, sans doute pour lubrifier son sexe.

Il retire son doigt, présente son sexe à l'entrée et la pénètre d'un coup, jusqu'à la garde. Et il vient et il va, tenant Léa par la taille. Il halète. Léa ne ressent rien. Ni douleur, ni plaisir non plus, pas le moindre petit frisson... Sous son bandeau, les larmes lui montent aux yeux. La soirée prend une vilaine tournure. Elle avait compris que ce ne serait pas facile, mais cette violence, cette vulgarité, c'est trop pour elle...

Elle sent le sexe gonfler en elle et les jets de sperme... Luc en rajoute en poussant le cri de Tarzan. La voilà Cheetah ! Il se retire aussitôt lui assénant une violente fessée qui provoque un cri de Léa et un "Ohhhh" de désapprobation des autres... 

Il s'est à peine retiré, que Marc prend la relève prenant Léa par les pieds, la forçant à se retourner sur le dos et il la tire de sorte qu'elle soit allongée, les fesses reposant sur l'accoudoir. Il la prend alors sous les cuisses, la soulève et la pénètre d'un coup provoquant un nouveau cri de douleur... Son sexe semble énorme à Léa. Il lui déchire les chairs... Mais petit à petit, la douleur se calme et elle commence à ressentir une douce chaleur... Mais elle a à faire à des éjaculateurs précoces ! Marc jouit lui aussi très vite. Et il se retire laissant Léa frustrée et sanglotante. 

Silence. Puis une main douce l'aide à se redresser et Wilfried la prend contre lui avec presque de la tendresse.

- Mademoiselle Léa, ces hommes ne vous ont pas méritée, ils me déçoivent.
Il y a comme une colère froide dans sa voix. Il poursuit, tout en caressant le corps blotti contre lui :
- Messieurs, j'avais demandé qu'on fasse attention à ce que Mademoiselle Léa ait elle aussi sa dose de jouissance. Vous vous êtes masturbés en elle comme des adolescents ! Je vous ai connus avec plus d'imagination et d'attention. Elle veut être soumise, certes, mais pas pour autant un objet. Les femmes soumises ne le sont pas seulement pour satisfaire nos instincts bestiaux. Vous savez que je n'aime pas cette violence, cette brutalité, ce manque de respect et d'attention à la partenaire...
Silence qui semble durer un long moment... Puis il s'adresse à Léa :

- Mademoiselle, votre épreuve n'est pas terminée pour autant. Il y a encore moi à satisfaire. Donc je vous demande de me faire jouir comme je n'ai jamais joui mais c'est vous qui allez prendre les initiatives, qui allez assurer votre tempo. Débrouillez-vous pour que nous jouissions ensemble... en en prenant le temps. Je vais m'allonger sur ce canapé et je ne bouge plus. Vous n'aurez pas une caresse de moi. Vous, vous allez vous asseoir à califourchon sur moi et... faites ce que bon vous semble.

Il la prend par la main, l'attire vers le canapé. Elle l'entend s'allonger, la tire doucement vers lui...

- Allons, venez Mademoiselle Léa !
- Oui, Monsieur.

Elle s'installe à califourchon sur lui, les pieds repliés vers l'arrière... ses genoux enserrant le corps de Wilfried... Elle n'a pas trop apprécié la manière dont les trois hommes se sont emparés d'elle, en ont pris possession. Mais maintenant, elle se retrouve au pied du mur. Elle doit montrer tout son talent. Et cela l'intimide... Surtout en public. Surtout devant ces hommes qui l'ont violentée et qui doivent encore jouir de sa vue... Elle aurait presque préféré que Wilfried la prenne avec tendresse mais que ce soit lui qui soit l'actif. Elle n'a jamais été avec un homme passif. Et elle pense à Anne, Eléonore, Mathilde la lesbienne qui doit fort avoir envie d'elle, à Zoé dont elle ne sait rien, qu'elle a à peine entendue, aux deux compagnes de Marc et Luc qui lui semblent extravagantes... Et cela lui donne du courage.

Elle se rend compte qu'elle est assise sur le ventre de Wilfried. La pointe de son sexe, dur, est tout contre sa raie des fesses... Ce sexe, elle l'a eu en elle tout à l'heure dans la chambre. Elle l'a senti contre ses hanches quand il l'a enlacée. Elle veut le prendre en mains, en mesurer la longueur, les contours, la forme... Elle veut sentir aux creux de ses mains sa chaleur, ses palpitations. Alors, en prenant appui sur la poitrine velue de Wilfried, elle se recule, s'assoit sur ses cuisses. Et elle prend ce sexe en main.

Il est chaud, épais, dur, gonflé... Elle aime en même temps sa douceur. Elle pose sa paume dessus le couvrant complètement et elle imprime une légère pression, le faisant rouler sur le ventre. Son autre main glisse dessous et prend la mesure des testicules qu'elle fait rouler entre ses doigts... Elle reste ainsi un moment, gestes imperceptibles mais que Wilfried perçoit car elle sent ses muscles des cuisses, sous ses fesses, qui se contractent, son ventre qui se durcit encore un peu plus... Elle imagine ce vit en elle... Tout à l'heure... Elle veut prendre son temps. Mais cette pensée du moment où elle se pénètrera elle-même avec ce sexe majestueux la trouble et elle sent ses parois intimes se préparer à l'accueillir en se lubrifiant...

Elle se soulève légèrement, glisse une main entre ses cuisses et se caresse au même rythme qu'elle caresse Wilfried de l'autre main... Puis, elle décalotte doucement le gland et l'enduit de sa cyprine puisée en elle... Et elle le masse entre trois doigts, légèrement, très légèrement tandis que deux doigts de son autre main vont et viennent le long de la tige... Wilfried n'est pas insensible à la caresse... Sa respiration devient plus forte, plus bruyante... Mais fidèle à la règle qu'il a imposé lui-même, il ne fait pas le moindre geste... Il se laisse faire, se livre entièrement au savoir-faire de sa "soumise"...

Léa prend son temps. Le gland gonfle entre ses doigts. Il ne faudrait pas le faire jouir trop vite alors elle change de position et veut aussi avoir sa part de plaisir... Elle s'avance, écarte ses lèvres entre ses doigts et cale le phallus entre elles, de sorte que l'extrémité effleure son clitoris... Et elle commence à donner des petits coups de reins... Elle cherche son propre plaisir, cherche le contact entre ces deux parties les plus sensibles de l'homme et de la femme... Elle prend appui contre la poitrine de Wilfried mais prend conscience que, si elle ne le voit pas, lui la voit. Alors, elle veut l'exciter aussi par la vue et, tout en continuant à se masturber contre ce sexe, elle pose ses deux mains sur son corps à elle, se caresse du pubis aux seins, tout en serrant plus fort le corps de j'homme entre ses genoux...

Elle sent le plaisir monter en elle et que Wilfried ne reste pas non plus de marbre... Trahit-il sa règle en donnant des légers coups de reins, allant à la rencontre de la caresse de ce sexe humide sur le sien, accentuant ou éloignant le contact entre ces deux sexes... Léa se rappelle furtivement que d'autres la regardent. C'est d'ailleurs le grand silence dans la pièce. Mais elle n'en a cure, l'esprit tout concentré sur le bas de son ventre...

La jouissance monte, plus précise... Wilfried lui a demandé qu'ils jouissent ensemble. Se retenir... Mais au bout d'un temps, elle sent qu'elle approche du point de non-retour, de ce moment où on ne peut plus retenir l'explosion. Alors elle se redresse, prend le sexe de Wilfried à pleine main, le met à la verticale et elle s'y empale d'un coup, le plus profondément qu'elle peut. Petit cri d'extrême plaisir de sa part. Râle de contentement de Wilfried...

Elle va prendre les épaules posant ses avant-bras contre la poitrine, la pointe de ses seins effleurant la peau... Et elle commence quelques mouvements de va-et-vient, parfois en donnant des petits coups saccadés puis faisant aller son sexe tout le long de la hampe, de la racine à l'extrême bout... Le plaisir monte, la tête lui tourne légèrement, picotements dans le bas du ventre, petites décharges électriques... Le sexe qu'elle a en elle gonfle encore, elle l'enserre autant qu'elle peut entre ses muqueuses...

Soudain, Wilfried pose ses deux mains sur le bas de ses reins et y imprime une forte pression. Et Léa sent son sexe qui explose, un premier jet de sperme au fond d'elle... La jouissance de Wilfried achève la montée de la sienne et à son tour elle explose... Ensemble ils jouissent, longuement, intensément...

Ils restent ainsi, sans bouger, un moment, chacun reprenant son souffle. Et Wilfried lui fait doucement lâcher prise, la fait s'allonger complètement contre lui, entoure ses épaules de ses  bras, son sexe toujours fiché en elle. Elle sent sa bouche contre son visage qui cherche la sienne. Elle la lui tend. Contact des lèvres. La langue de Wilfried s'insinue entre ses lèvres et ils s'embrassent.

Puis il la repousse doucement, la fait se redresser, se redresse lui-même. Sans la lâcher, il la fait se mettre debout, se lève à son tour, la colle contre lui pour un  nouveau baiser...
Les applaudissements des autres ramènent Léa à la réalité...

- Merci Léa. Vous êtes magnifique. Pour le reste de la soirée, je vous rends la liberté. Vous faites ce que bon vous semble. Et je vous rends la vue
Et joignant le geste à la parole, il lui enlève le bandeau. Et elle les voit, tous, qui la regardent. Nouveaux applaudissements. Mais surtout, enfin, elle le voit, lui ! 

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